Microsoft veut Switcher ?

Publié le par Dr Floyd

Microsoft veut Switcher ?

Une console Xbox Nomade, retour de la rumeur. Sauf que Microsoft n'aurait pas les c... pour produire l'engin et cela pourrait être Asus (dans un premier temps) qui s'en chargerait. Un peu comme si "on va pas en vendre des masses, donc on va filer ça à Taïwan". Bon, après des PC console portables, ça existe déjà... Alors si c'est juste pour rajouter un autocollant Xbox dessus... D'après le site cochon The Verge, le premier modèle sortirait dès cette fin d'année.

Mais il y a une autre rumeur : dans les milieux autorisés on parle malgré tout d'une nomade du R&D de Microsoft pour 2027 qui accompagnerait la Xbox Next Gen (la Xbox XS Series OneX ?)...

Nintendo et sa Switch rendent fou la concurrence. D'ailleurs Amstrad lui aussi aurait décidé de réagir et pourrait sortir en 2029 la GX4000 nomade avec le jeu Copter 271 offert.

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[RANDOM] Alien³ / Mega Drive

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[RANDOM] Alien³ / Mega Drive

1992 : Après une production bordélique et coûteuse où scénaristes et réalisateurs se sont enchainés durant plusieurs années, la Fox s’apprête enfin à sortir dans les salles le troisième volet d’Alien. Alors que l’on parle d’une production capable de mettre le studio dans la panade, celui-ci développe volontiers sa licence pour les « besoins » du merchandising afin de (potentiellement) sauver les meubles. Rapidement, figurines, novélisations, pub pepsi (!) et… jeux-vidéo se déploient progressivement.

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[TEST] KHOLAT / Switch

Publié le par Dami1

KHOLAT
Support : Switch

Existe sur PC, XOne, PS4
Développeur : IMGN.PRO
Sortie : 2020

[TEST] KHOLAT / Switch

Inspiré d'un fait divers énigmatique, Kholat a trouvé tardivement son chemin vers la Nintendo Switch après avoir été porté sur plusieurs autres plateformes. Si l'idée de braver le froid glacial, d'affronter des marches solitaires interminables et de sentir la menace de la mort à chaque pas ne vous effraie pas, alors ce jeu pourrait bien devenir le compagnon idéal de vos soirées d'hiver…

Depuis plus d’un demi-siècle, le mystère du col Dyatlov alimente les théories les plus folles et inspire artistes et créateurs en tout genre. À la fin des années 1950, un groupe d’étudiants russes entreprend une expédition scientifique dans les montagnes glaciales de l’Oural, connues sous le nom de Kholat Syakhl, soit la « Montagne des morts ». Portés disparus, leurs corps sont retrouvés peu après dans des conditions troublantes, poussant les autorités soviétiques à conclure à une mort provoquée par une 'force irrésistible' inconnue, une déclaration laissant libre cours à toutes les spéculations.

[TEST] KHOLAT / Switch

Rebaptisé « le col Dyatlov » en hommage au chef de l’expédition, Igor Dyatlov, ce lieu tragique a profondément marqué la culture populaire, inspirant romans, musiques et films. Il était donc presque inévitable que le jeu vidéo finisse, lui aussi, par se confronter à cette énigme glaçante…

Un échantillon du col Dyatlov dans la culture populaire

Un échantillon du col Dyatlov dans la culture populaire

Une longue marche…

Pour adapter l’histoire macabre de cette expédition, il fallait l’audace d’un petit studio indépendant polonais : IMGN.PRO. Bien loin de la notoriété d’un mastodonte comme CD Projekt, le studio dispose d’un parcours modeste, et Kholat demeure à ce jour son titre le plus emblématique. Initialement sorti sur PC en 2015, le jeu s’est ensuite invité sur consoles de salon à un rythme régulier : PlayStation 4 en 2016, Xbox One en 2017, avant de trouver un refuge plus tardif sur Switch en 2020. Un délai qui semble avoir été mis à profit pour proposer un portage soigné.

[TEST] KHOLAT / Switch

D’autant que le soft appartient à un genre encore rare sur la console de Nintendo : le walking simulator, que l’on traduirait plus élégamment par de « l’exploration narrative ». Ici, point d’armes ni de combats. Le joueur est invité à arpenter un environnement hostile, à explorer, à découvrir des indices et à assembler les pièces d’un récit énigmatique. Une approche minimaliste qui laisse la part belle à la contemplation et à l’immersion. Néanmoins, le jeu ne se limite pas à une simple promenade contemplative. Une dimension surnaturelle vient ajouter une tension palpable : des "anomalies" menaçantes surgissent de manière aléatoire, rappelant le fonctionnement du monstre dans Alien: Isolation. Sans être un exemple, l'intelligence artificielle de ces créatures arrive à surprendre parfois le joueur, renforçant ainsi l'atmosphère oppressante et le sentiment de vulnérabilité.

Côté contenu, le portage Switch reprend (trop) fidèlement les options des autres versions avec deux options de langue proposées (anglais ou polonais), la customisation des commandes et du volume sonore et un écran de crédits. Luxe suprême pour ce petit studio, c’est toujours la voix de Sean Bean qui sert la narration principale.

[TEST] KHOLAT / Switch

Un portage plaisant mais frustrant

Lors de sa sortie en 2015 sur MAC et PC, Kholat avait su flatter les rétines malgré les moyens limités du petit studio indépendant. Aujourd’hui, bien que le temps ait fait son œuvre, la Switch prouve une fois de plus qu’elle est capable d’accueillir des titres initialement conçus pour des machines plus puissantes. Et Kholat en fait partie. Si vous avez déjà arpenté les montagnes de l’Oural sur PS4 ou Xbox One, vous ne serez clairement pas déçu : le portage Switch se montre propre et agréable, particulièrement en mode nomade.

Dès les premières minutes, le charme opère à nouveau. Le premier acte nous dépose dans une petite gare russe balayée par le vent glacial, offrant une carte postale photoréaliste, bien qu’entachée d’un flou léger jusque-là inédit sur les autres supports. En poursuivant notre périple, on remarque cependant les limites techniques de ce portage : un aliasing plus prononcé qu’autrefois et de petits temps de chargement viennent s’inviter au périple. Rien de rédhibitoire même si forcément cela entache la progression générale.

[TEST] KHOLAT / Switch
[TEST] KHOLAT / Switch

Plus gênant, cinq ans après la sortie initiale du soft, on aurait espéré voir certains défauts corrigés. Ainsi, les checkpoints, symbolisés par les feuillets de journal disséminés dans l’immense carte, restent les seuls points de sauvegarde. Une mécanique qui peut rapidement se montrer frustrante : échouer loin de son dernier point de passage signifie souvent devoir recommencer de longs segments. Pire encore, si vous n’avez aucun sens de l’orientation (croyez-en l’expérience de votre serviteur), vous risquez de perdre patience en errant dans ces montagnes hostiles. La map, censée nous aider à nous diriger est plutôt illisible et on ne sait toujours pas où l’on se dirige. Autant de choix de gameplay, qui auraient pu être adoucis par l’ajout d’un mode facile ou de quelques aides optionnelles pour cette version Nintendo.

En somme, ce portage Switch reste globalement très jouable, relativement fluide et reprend fidèlement l’expérience d’origine, mais sans apporter d’améliorations ni de bonus spécifiques pour séduire les joueurs familiers du titre. Un léger goût d’inachevé, donc, qui n’enlève rien au charme du jeu, mais qui trahit une certaine paresse de la part des développeurs.

[TEST] KHOLAT / Switch

Une ambiance unique

C’est dans la pénombre, casque vissé sur les oreilles, que Kholat parvient à déployer tout son potentiel grâce à une ambiance tout simplement unique. Malgré son côté dirigiste (ne vous attendez pas à un « vrai open-world » ; l’immense carte se révèle plutôt linéaire, balisée par des couloirs naturels), l’exploration de la nature sauvage à la recherche d’indices et d’éléments permettant de reconstituer l’histoire s’avère un défi savoureux.

La dimension sonore est sans conteste l’élément le plus abouti du jeu. Le silence pesant de la neige, les cris lointains des loups, ou encore les bruits inquiétants émanant de cet environnement nous tiennent constamment en alerte. En prime, la sublime bande-son signée Arkadiusz Reikowski (compositeur des Layers of Fear et The Medium) transforme notre excursion en une promenade mélancolique, rendant l’expérience encore plus immersive et envoûtante. Efficace.

 
Malgré l'absence de nouveautés, Kholat parvient à proposer efficacement sur Switch une formule qui a déjà fait ses preuves sur d'autres plateformes. Même si l'on aurait apprécié quelques améliorations ou bonus ici et là, le jeu reste une expérience intéressante et largement accessible (autour des 3 €, selon les périodes), ce qui en fait, de facto, un must-have ou une curiosité à explorer sur la console de Nintendo.

J'ai testé ce jeu, je donne mon avis :
Notation
Une fois le vote validé, il n'est plus modifiable.
8 Votants

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Un pack Bonux PS5 Astro Bot

Publié le par Dr Floyd

Un pack Bonux PS5 Astro Bot

Il fallait s'en douter, un pack PS5 + Astro Bot (meilleur jeu de 2024, Gamopat d'Or) était inévitable.

PS5 bluray + Astro Bot : 499 boules
PS5 Digitale + Astro Bot : 399 boules

Ce n'est un prix de ouf, on est toujours au prix de lancement de la console quasi 5 ans après ! Bon c'est toujours mieux que le prix officiel 50 boules plus cher sans jeu... Mais ne rêvez pas : Astro Bot c'est juste un code de téléchargement... Ce qui fait bien sourire pour le pack avec lecteur ;) Sortie dès cette semaine.

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[CRITIQUE CINEMA] Prometheus de Ridley Scott

Publié le par lessthantod

PROMETHEUS
Réalisateur : Ridley Scott
Pays : USA
Sortie : 2012

[CRITIQUE CINEMA] Prometheus de Ridley Scott

Une véritable bouffée d'air frais dans la saga Alien

J'avais beaucoup aimé Prometheus à sa sortie en 2012, avec le temps et les multiples visionnage du film ... je l'aime encore plus maintenant. A mes yeux, Prometheus a été démoli par la critique et encore plus par les fans de la saga Alien, parce qu'ils n'avaient rien compris au film. Prometheus n'est pas un film Alien, mais un film qui prend place dans l'univers Alien et sur le mythe de Prométhée. Prometheus est un film très personnel qui soulève le questionnement de Ridley Scott sur l'origine de la vie, lui qui se fait âgé et lui qui a connu une terrible épreuve familiale (le suicide de son frère Tony).

Bref, j'aime beaucoup ce film, pour sa direction artistique sublime, pour ses effets spéciaux à l'ancienne, pour ses décors naturels, pour son ambiance et sa BO ultra soignée, pour son casting impeccable (Noomi Rapace et Michael Fassbender en tête), pour les ingénieurs (un magnifique design) et surtout pour David et les questionnements philosophiques qu'il suscite. David l’androïde est vraiment le gros point fort du film, grâce à sa répartie bien sentie, son comportement parfois inquiétant, ambivalent et imprévisible ... un excellent personnage, parfaitement écrit et qui doit beaucoup à la parfaite interprétation de Michael Fassbender. Certaines scènes sont sacrément impressionnantes, notamment la césarienne de Shaw et le crash du vaisseau ingénieurs.

[CRITIQUE CINEMA] Prometheus de Ridley Scott

Alors certes, on pourrait lui reprocher quelques lourdeurs et facilités scénaristiques, deux ou trois comportements incohérents de plusieurs personnages (le biologiste est d'une stupidité pas possible), une narration parfois confuse et un final trop vite expédié. Mais voilà, Prometheus est un film chère à mon cœur, parce que beau à en pleurer et pour son approche singulière du genre film de science-fiction ... une véritable bouffée d'air frais.

[CRITIQUE CINEMA] Prometheus de Ridley Scott

La seule grosse erreur de Ridley Scott dans la conception et dans la communication du film (en dehors des grosses facilités scénaristiques), c'est de prétendre vouloir faire un film de science-fiction "pur et dur" et une préquelle à Alien, ce que Prometheus n’est clairement pas. En réalité, c'est un film de science-fiction "philosophique" qui joue avec des concepts très stimulants (le mythe de Prométhée et la création de l'Homme), mais qui se souvient un peu trop tard qu’il veut aussi être un film de monstres. Bien que ce soit un film très imparfait, il regorge d’idées intéressantes et novatrices. Et puis sur un plan purement visuel, c’est un régal.

Prometheus est un film original, contemplatif, ambitieux et intense qui par conséquent mérite d'être réhabilité.

Qu'avez-vous pensé de ce film ?
Notation
Une fois le vote validé, il n'est plus modifiable.
44 Votants

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Bomb Jack extra sucré sur CPC6128 !!!

Publié le par Dr Floyd

Bomb Jack extra sucré sur CPC6128 !!!

Bomb Jack sur Amstrad CPC fut un très bon jeu à l'époque... Mais Bomb Jack Extra Sugar, le remake sur Amstrad CPC6128, troue définitivement le slip ! Le remake de Anthony Flack est terminé et c'est de bombe (Jack) atomique ! Si on avait vu ça à l'époque on y aurait pas cru :


Nom d'un sprite poilu ! Tout y est : Gameplay et level design quasi identiques à l'arcade, exploitation des 128Ko, 50hz, overscan vertical, techniques pour utiliser plusieurs fois 4 couleurs en mode 1, et plein de bonus comme la sauvegarde des scores, 4 niveaux de difficulté, de nouveaux backgrounds et modes, des achievements, etc... C'est totalement dingue ! Un jeu qui rentre selon moi dans le top 3 des plus grands homebrews de l'histoire sur CPC. C'est en téléchargement potentiellement gratuit sur itch.io, mais bordel, offrez quelques deniers à l'auteur !

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Street Fighter II, l'impossible conversion sur CPC

Publié le par Dr Floyd

Street Fighter II, l'impossible conversion sur CPC

Street Fighter II sur Amstrad CPC, une conversion impossible... de gros sprites, beaucoup d'animations, un fond qui scrolle... Sauf à revoir totalement le jeu. Mais c'est ce que tente depuis quelques temps DadMan (graphismes) et AugustoRuiz (code) sur CPC6128, tout en respectant totalement le jeu d'arcade.

Voici un nouveau work in progress/technical demo de Street Fighter II CPC Edition avec 5 perso jouables :


Franchement c'est pas mal, il ne manque que le son, difficile de faire beaucoup mieux. Et c'est téléchargeable et jouable. Un projet à suivre de près !

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[CRITIQUE CINEMA] Your Name de Makoto Shinkai

Publié le par lessthantod

YOUR NAME
Réaliateur : Makoto Shinkai
Pays : Japon
Année : 2016

[CRITIQUE CINEMA] Your Name de Makoto Shinkai

Sorti en 2016 et réalisé par Makoto Shinkai, Your Name c'est "on peut le dire" le point culminant de la carrière du jeune réalisateur. C'est un film qui reprend toutes les thématiques qui lui sont chères, l'amour adolescente, la distance, le temps qui passe et une petite dose de fantastique. Comme dans le cinéma d'Hayao Miyazaki et de Mamoru Hosoda, il aime que le fantastique s'entremêle avec la réalité. D'ailleurs, Your Name ressemble beaucoup à un autre de ses films, à savoir 5 centimètres par seconde (2007), un film qui racontait lui aussi une histoire d'amour impossible entre deux jeunes séparés par la distance, mais jamais par le cœur. La seule différence, c'est cette petite touche de fantastique en plus. Tout est là pour un chef-d'œuvre de la comédie romantique et fantastique.

Très vite, on comprend que nos deux protagonistes principaux, un garçon et une fille, s'échangent leur rôle. Mitsuha est une jeune lycéenne qui vit dans le japon rural et qui rêve d'aller à la ville. Taki quant à lui est un étudiant qui vit à Tokyo et qui semble plus réservé que Mitsuha. On a donc deux personnages que tout oppose, l'un rêveur et vivant à la campagne, l'autre solitaire et vivant dans la ville. C'est la tradition (le japon rural) qui s'oppose à la modernité (Tokyo). Mais voilà qu'un matin, l'un se réveille dans le corps de l'autre et vice-versa. Durant plusieurs semaines, ils vont alors apprendre à se connaitre dans le corps de l'autre. Et à cela s'ajoute une histoire de comète qui relie les deux ados.

 

[CRITIQUE CINEMA] Your Name de Makoto Shinkai

Le ciel et les étoiles, les relations amoureuses à l'adolescence et le temps qui passe, nous sommes bien en terrain connu. Aprés un Voyage vers Agartha (2011) qui lorgnait beaucoup trop sur du Miyazaki, Makoto Shinkai revient à ses fondamentaux. On retrouve tout de même cette notion de traditions vs modernité entre le vieux japon et le japon plus moderne. Cette ode aux traditions, c'est quelque chose qu'on voit beaucoup dans le cinéma de Miyazaki. Mais là où Makoto Shinkai se démarque de son maître, cette dans cette fusion qu'il fait des deux japons (ancien et moderne) à travers deux personnages qui fusionnent ensemble. Chacun des deux protagonistes rêve de vivre dans l'autre monde. Mitsuha par exemple est toute excitée de vivre une journée dans le corps de Taki, d'être à Tokyo, d'aller au café avec les potes de Taki. Pareil pour Taki, qui apprend les traditions enseignées par la grand mère de Mitsuha et qui semble apprécier d'être dans le corps d'une fille (la scène très drôle en mode running gag où il découvre qu'il a des seins).

[CRITIQUE CINEMA] Your Name de Makoto Shinkai

Il y a aussi dans Your Name une fusion entre le passé et le futur, mais ça on le découvre beaucoup plus tard dans le film. C'est à ce moment là, vers la fin du film, qu'un autre élément fantastique entre en jeu, avec cette notion de distance temporelle qui se rajoute à la distance spatiale. C'est difficile d'en parler plus sans spoiler. Toujours est-il que Makoto Shinkai arrive à raconter une histoire d'amour entre deux adolescents de façon originale, en les faisant vivre dans le corps de l'autre. C'est quand même pas commun comme concept, deux adolescents qui s'aiment, mais sans jamais se voir. Ils sont prêts à s'aimer, mais ils ne le peuvent pas, à cause de la distance (temporelle et physique) qui les dépare.

[CRITIQUE CINEMA] Your Name de Makoto Shinkai

J'ai beaucoup pensé à 5 centimètres par seconde (mon Makoto Shinkai préféré) en regardant Your Name. On y retrouve à peu de chose prés la même histoire, avec cette même notion de distance spatiale et temporelle et sous la même forme "feuilletonnée". En effet, 5 centimètres par seconde racontait trois histoires liées en un film et on retrouve un peu cet esprit dans Your Name, qui semble se diviser en plusieurs épisodes ou chapitres. Même la fin est très semblable, sur la forme comme sur le fond. On a ce générique de fin qui ressemble à un clip musical, avec ces images saccadées qui reprennent des moments clés du film. Je continue quand même à préférer 5 centimètres par seconde, parce que l'histoire est plus simple et donc plus touchante selon moi, et parce que la fin est plus triste et mélancolique et m'a finalement plus marqué. Bref, 5 centimètres par seconde semble avoir été un (magnifique) brouillon pour Your Name, qui en reprend tous les éléments pour les magnifier, un film beau, romantique et poétique qui touche au cœur.

Qu'avez-vous pensé de ce film ?
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9 Votants

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Super Mario World... Unreal Engine

Publié le par Dr Floyd

Super Mario World... Unreal Engine

Un fan totalement givré nommé Bobby Ivar nous a recréé le Super Mario World de la SNES en 3D sur PC avec l'Unreal Engine 5 ! Un an de boulot à priori, il nous explique dans la seconde vidéo comment il a fait. Bientôt sur Steam en téléchargement ! Je déconne, Nintendo ne serait pas content du tout ;)

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Defender identique à l'arcade sur Atari ST

Publié le par Dr Floyd

Defender identique à l'arcade sur Atari ST

Defender, le célèbre jeu d'arcade de Williams sorti en 1981, déboule dans une nouvelle version sur... Atari ST ! Une version quasi identique à l'arcade, c'est sympa, très sympa, mais il faut quand même 1Mo de RAM sur STF, voire 2 sur STE si vous voulez des sons DMA. On ne va pas bouder notre plaisir, un homebrew ST c'est rare, et de plus ce jeu est indémodable !

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Les fans de Motörhead en extase !

Publié le par Dr Floyd

Les fans de Motörhead en extase !

C'etait un secret de polichinelle, Tony Hawk's Pro Skater 3+4, vient d'être officiellement annoncé. Une compilation des 2 jeux 128bit remastérisés avec en rab des parcs inédits, un mode online, un éditeur, de nouveaus défis, etc... Des images qui bougent :


Ouais ça bouge mais ce n'est pas vraiment du gameplay... Je ne sais pas si cette mini compil peut avoir du succès après le semi échec de la première qui pourtant proposait 2 jeux bien plus cultes (beaucoup kiffent Tony Hawk's 2). Moi je retiens la bande son : The Ace of Spades ! The Ace of Spades !!!!!! Beuuahhhh !!! Sortie le 11 juillet sur PS, XS et Switch.

Que pensez-vous de ce revival ?
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20 Votants

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