La XBox One est magique ?

Publié le par Dr Floyd

La XBox One est magique ?

Microsoft ne sait plus quoi faire pour relancer... sauver... la Xbox One et la tablette Surface 2... jusqu'à sortir des éditions spéciales PSG !

La XBox One est magique ?

La Xbox One Edition Spéciale PSG propose la console aux couleurs du club (oups), un maillot dédicacé (avec flocage gratuit), un abonnement d’un an à PSG TV (attention pas au stade !), et trois stickers, le tout pour 580 € chez Micromania en quantités limitées, début mai.

Le pack bonux qui vaudra bientôt 20 000€ sur Ebay ! Vite achetez-le !

Le pack bonux qui vaudra bientôt 20 000€ sur Ebay ! Vite achetez-le !

A quand l'Edition OM avec un Big Mac et un nain de jardin dans le packaging ? (humour... hum).

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Le retour de l'Amstrad CPC avec l'OPC One !

Publié le par Dr Floyd

L'Amstrad CPC a donc 30 ans, et qu'est ce que je découvre sur Facebook via les commentaire de notre pige-anniversaire : un projet d'Amstrad CPC moderne existe : le projet OPC One.

Pas vraiment un Amstrad CPC, mais un ordinateur moderne qui reprendrait toute sa philosophie : un tout-en-un, un design coloré, une machine sans OS à charger, une grande facilité d'utilisation, un basic moderne puissant et simple, et une rétro-compatibilité bien sûr... Bref tout ce qui a fait le succès du CPC à partir de 1984.

Le clavier moderne, qui rappelle bien le CPC464

Le clavier moderne, qui rappelle bien le CPC464

L'interface moderne du CPC !

L'interface moderne du CPC !

Mais ce n'est qu'un concept ! On découvre en fait ce que pourrait être un CPC en 2014... un peu comme si Amstrad n'avait jamais quitté le marché, c'est assez troublant ! Tout ceci n'est donc qu'un rêve fou (pour l'instant ?), mais un rêve à absolument découvrir sur le site officiel !

Le gars derrière tout ça s'appelle Frédéric Bellec... C'est un peu son projet Mars One de l'informatique ;)

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[BROCANTE] Enorme lot Oric Atmos !

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[BROCANTE] Enorme lot Oric Atmos !
[BROCANTE] Enorme lot Oric Atmos !

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[BONNES AFFAIRES] Ys: Memories of Celceta à 29,99€

Publié le par Dr Floyd

[BONNES AFFAIRES] Ys: Memories of Celceta à 29,99€

Peu de jeux sur PSVita, certes, mais de grands titres, comme ce RPG Ys: Memories of Celceta proposé 29,99€ sur Amazon, port gratuit.

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[RETROGAMING] Ristar / Game Gear

Publié le par Sylesis

RISTAR
Support : Game Gear
Existe aussi sur :
Megadrive, console virtuelle Wii, Playstation 2 (déblocable dans Sonic Mega Collection Plus) et Gamecube (déblocable dans Sonic Mega Collection)

Éditeur : Sega
Développeur : Sonic Team
Genre : plateforme
Nombre de joueurs : un
Sortie : 1995

[RETROGAMING] Ristar / Game Gear

1995, une année où les joueurs découvraient ébahis la Playstation et la Saturn, raz de marée 32 bits avec support CD. Le front de la guerre des consoles semble s'être déplacé et pourtant à la même époque, Sega sortait encore un jeu pour sa Megadrive et sa Game Gear. Ultime chant du cygne ou pétard mouillé, nous allons découvrir ça.

Ristar est donc l'un des derniers jeux Sega officiels sortis sur cartouche. Le titre met en scène une étoile filante réveillée pour protéger le système solaire de Valdi envahi par le pirate de l'espace Greedy. Ristar devra nettoyer 6 planètes, et ce n'est pas parce qu'elle a une bouille adorable qu'elle est sans défense !

[RETROGAMING] Ristar / Game Gear

Après une petite introduction vous expliquant le contexte du jeu, vous accédez à l'écran titre où vous pouvez aller dans les options : pas de de niveaux de difficultés sélectionnables, mais la possibilité d'écouter les différentes musiques du jeu et de rentrer un mot de passe pour reprendre votre progression. On notera au passage que les versions Game Gear et Megadrive se distinguent au niveau du level design : posséder les deux n'est donc pas superflu. De même les mots de passe ne sont identiques.

[RETROGAMING] Ristar / Game Gear

Chaque niveau sera présenté par une petite image montrant l'ambiance de la planète et son nom : votre première mise en jambe se fera sur la planète Flora. L'interface du jeu est très sobre, de manière à ne pas gâcher de la précieuse place sur le petit écran de la Game Gear :
- en haut à droite les points de vie de l'héroïne représentés par plusieurs étoiles,
- en bas à gauche, le nombre de vies, suivi du nombre d'étoiles récoltés : vous gagnez une vie à chaque fois que vous en avez 100 ( je sais, c'est pas original).
Il est également possible de voir le score en appuyant sur Start pour mettre le jeu en pause.

Les commandes du jeu sont simples : le bouton 1 sert à étirer les bras ressorts de Ristar, le bouton 2 sert à sauter. Simples, mais diaboliques de richesse. Pour éliminer ses ennemis, votre personnage devra étirer ses bras pour attraper sa cible, puis se projeter vers elle en lui assénant un magnifique coup de boule, mais ce n'est pas la seule utilité de ces bras.
Si votre adversaire est dans les airs alors que vous l'attrapez, vous pouvez vous en servir comme d'un point d'attache pour vous vous balancer et vous propulser plus haut. Les bras permettent également d'attraper des attaches fixées aux parois et aux plafonds, et de s'accrocher à divers branches et plateformes pour se hisser dessus. Si la paroi est verticale sans attaches, il est tout de même possible de l'escalader avec la technique dite du "coup de de boule ascendant" : attraper la paroi en diagonal et se laisser tirer par les ressorts pour donner un coup de tête, puis rapidement réétirer les bras en diagonal afin de progresser.

Enfin certains ennemis laissent parfois un objet après avoir été éliminé : il est possible de l'attraper et de l'utiliser plus loin. Une lance plantée dans un support peut servir de plateforme flexible, un casque de projectile ou de poids pour se catapulter grâce à certains mécanismes.

Quand on y regarde finalement, c'est tout une palette d'acrobaties que peut réaliser le personnage. Les mouvements sont tels qu'il est régulièrement possible de se déplacer sans mettre un pied à terre pendant quelques temps : cela procure un sentiment grisant de légèreté, et on en vient à tenter de rester en l'air le plus longtemps possible.

[RETROGAMING] Ristar / Game Gear

Les niveaux comportent aussi régulièrement des points d'attache que Ristar peut attraper et autour desquels elle peut tourner en accélérant. Après avoir gagner suffisamment de vélocité, lâchez vous pour que le personnage s'envole comme une étoile filante, détruisant ennemis et blocs cassables sur son passage dans un état d'invincibilité temporaire ( les piques ne vous blesseront pas). C'est l'occasion parfaite pour atteindre certains endroits en hauteur autrement dur d'accès.

Chaque planète a son ambiance propre et aucune ne se ressemble. La première, Flora, est dominée par les plantes, et vous pouvez vous y déplacer de branche en branche, en vous accrochant à des graines emportées par le vent. La deuxième, Terra, est un gigantesque bateau pirate : cordages, mats et poulies sont au rendez-vous.

Les différences ne sont pas juste au niveau des graphismes ou des musiques, mais également au niveau de la progression. par exemple dans l'un des stages de la planète Sonata, vous serez régulièrement bloqué dans votre progression par un oiseau. Il n'y a qu'une solution pour lui rendre la joie de chanter ( et le faire partir au passage) : transporter jusque lui un métronome trouvé plus en avant. Sur la planète Fréon, vous devrez régulièrement réaliser des courses contre la montre pour ne pas être blessé.

Quelque soit la planète, une chose reste constante : chacun de ses rounds comporte un bonus en forme de sphère bleue, sans effets immédiats. Ramassez toutes les sphères d'une planète et vous aurez droit, une fois son boss terrassé, à un niveau bonus. Ces niveaux sont des exercices de voltige, où il faut collecter le plus d'étoiles possible sans tomber dans le vide. Avec de l'entrainement, il est possible de se faire plusieurs vies par ce moyen.

[RETROGAMING] Ristar / Game Gear

Tout comme aucun niveau ne se ressemble, aucun boss n'est identique, et chacun a sa façon unique de le vaincre qu'il faudra déduire avec observation et essais. Le deuxième boss notamment ne peut être blessé qu'une fois réveillé de son cauchemar.

Au niveau de la réalisation technique, on touche au chef d'oeuvre. J'ai déjà mentionné en partie la maniabilité qui se révèle exemplaire : le personnage répond parfaitement aux commandes et fait ce que vous désirez, enchainant acrobatie sur acrobatie.

Deuxième point remarquable : les graphismes. C'est de la Game Gear et pourtant ils sont extrêmement fins, détaillés, et variés. Même les rounds d'une même planète sont différents visuellement. Je citerais également en exemple les musiques. Les bruitage ne sont pas exceptionnels, mais les musiques des niveaux sont très réussies, et on les écoute avec plaisir.

Mais finalement LE point mémorable du titre, ce qui m'a fait penser à ressortir ma cartouche/émulateur, c'est l'animation. Non seulement elle est toujours fluide durant le jeu, sans jamais un ralentissement pour gêner, mais en plus on se rend compte que Ristar est une véritable diva : au bord d'une plateforme, elle tentera à tout prix de ne pas tomber. Le mieux est encore de la laisser inactive : sur Sonata la planète musicale, elle battra la mesure; sur Fréon la planète froide, elle s'amusera en faisant un bonhomme de neige. Et sur la première planète, elle se balancera puis se tournera vers le joueur pour l'encourager.

Le seul défaut que je peux voir au jeu se trouve dans ses niveaux qui semblent assez courts. On atteint sans grande difficulté le quatrième monde, même si le tout dernier boss est particulièrement coriace. Des niveaux plus longs, rendant l'utilisation des mots de passe vraiment utile, aurait été apprécié. Peut être que la version Megadrive est plus consistante, à voir.

Un mot au sujet de ces fameux password : ils s'obtiennent après un GameOver : vu la facilité du jeu au début, ne vous étonnez pas de pas voir ceux des premières planètes.

Finalement devant ce constat, je ne peux que me demander : pourquoi si tard ? Pourquoi en 1995, alors que les consoles sur lesquelles le jeu est sorti sont en fin de vie, et que les joueurs se sont déjà tournés ailleurs ? Ristar est un jeu méconnu, alors que la petite étoile avait tout de la mascotte réussie : un personnage adorable, des animations très réussies, et un gameplay riche. Une sortie quelques années plus tôt, une bonne suite, et on se serait souvenue de cette star.

Une réalisation technique sans faille, un gameplay riche, des niveaux variés et des boss originaux : voici les ingrédients de Ristar. Nous avons ici un des meilleurs jeux de plateforme de la console, dont le seule défaut est d'être sorti trop tard. Preuve s'il en fallait, il est disponible sur la console virtuelle de Nintendo, et en bonus sur PS2 et Gamecube dans les Sonic MegaCollection. Il n'est pas trop tard pour rendre hommage à un titre dont le seul tort est d'avoir été publié à une époque où les joueurs rêvaient déjà devant les promesses polygonées.

SUPPOS : 5,5/6
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Publié dans RETROGAMING, UNE

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[RANDOM] Megaman / Nes

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MEGAMAN
Support : Nes
Editeur : Capcom

Developpeur : Capcom
Année : 1987 (Japon, US) et 1989 (Europe)



Le Docteur Light et son assistant, le docteur Willy ont créé une poignée de robots destinés à sauver le monde. Se rendant compte des facultés de 6 de ces robots, le docteur Willy se les accapare et les reprogramme pour conquérir le monde. Le docteur Light choisit donc de transformer Megaman (un robot qui ne semblait valoir pas grand-chose aux yeux de Willy) en robot de combat. Il est le seul espoir pour mettre fin aux ambitions du vil docteur. Sa capacité la plus importante est de pouvoir utiliser les armes des robots qu’il battra.

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[BONNES AFFAIRES] Mario Golf World Tour à 34,99€

Publié le par Dr Floyd

[BONNES AFFAIRES] Mario Golf World Tour à 34,99€

Mario Gold World Tour sort le 2 mai prochain sur Nintendo 3DS, et l'heure des précommandes a débuté, Amazon le proposant directement à 34,99€ port offert.

Publié dans BONNES AFFAIRES !

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[BROCANTE GEEK] 32 films Laser Disc !

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Super Réel Mario Bros

Publié le par Dr Floyd

Ah si Super Marios Bros avait été un jeu réaliste, il aurait surement été moins drôle à jouer... et Mario aurait de sacrés mal de crâne...

Publié dans HUMOUR

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L'histoire des machines à sous

Publié le par Dr Floyd

Les machines à sous ont été inventées il y a quasiment 120 ans et restent parmi les jeux les plus populaires dans les casinos. Des machines qui peuvent aussi fasciner les fans de flippers et bornes d'arcade que nous sommes.

Le précurseur de la machine à sous fut inventé en 1891 par la société Sittman et Pitt. Le jeu basé sur le poker était composé de cinq tambours tournants avec 50 cartes à jouer. Les joueurs devaient insérer des pièces et tirer un levier qui faisait démarrer la rotation des tambours. En 1894 un certain Charles Fey construit sa première machine à disque rotatif : la Horseshoe.

L'histoire des machines à sous

Puis Charles Fey conçut la "4-11-44" à cadrans concentriques, avec trois rouleaux et dix symboles. Les joueurs devaient insérer une pièce et tirer un levier pour faire tourner les rouleaux et étaient récompensés pour trois symboles alignés. La combinaison maximale rapportait alors 5$. Placée dans un bar le succès fut énorme et l'inventeur monta sa société pour créer la Card Bell puis son chef d'oeuvre : La Liberty Bell.

La Liberty Bell est révolutionnaire avec son paiement automatique. Le concept est tellement au point qu'il sera quasi identique jusque les années 60 !

L'histoire des machines à sous

En 1963, la première machine à sous électromécanique fut créée par Bally, le fameux fabricant de flippers. Une machine électrique avec effets sonores. Un programmeur informatique, Inge Telnaes, fut embauché pour créer un générateur de nombres aléatoires qui est toujours utilisé de nos jours. Puis les premières machines à sous avec vidéo seront introduites à Las Vegas en 1975 pour devenir populaires dans les années 80.

L'histoire des machines à sous

Aujourd'hui, vous pouvez aussi jouer aux machines à sous en ligne avec une énorme offre de possibilités et d'options, aussi bien les machines à sous classiques, les machines à sous vidéo, les machines à sous progressives, etc... Les machines à sous gratuites sont également très populaires en ligne.

Les graphismes et les sons varient beaucoup, chacun des jeux offre des combinaisons de caractéristiques et de fonctions légèrement différentes. Les caractéristiques communes peuvent inclure des symboles wild, des symboles scatter, des multiplicateurs, des spins gratuits et des jeux bonus.

Le tout reste de savoir gérer son argent ! Y jouer sur console est moins risqué avec par exemple Adventure in Vegas: Slot Machine sur le Eshop de la DS ou pour rester dans le retrogaming : Hot Slot sur Nes. "Big chance !" ;)

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[RETROGAMING] Quake 2 / PC

Publié le par Sylesis

QUAKE 2
Support : PC (Win 95, 98, Linux), Mac OS, Nintendo 64, Playstation, Xbox 360
Media : 1 CD ROM

Éditeur : Activision
Développeur : ID Software
Genre : FPS
Nombre de joueurs : un joueur, multijoueur
Sortie : 1997 (PC)

[RETROGAMING] Quake 2 / PC

En 1996, ID Software sortait un jeu qui a été une petite révolution dans le genre : Quake. Quake est un jeu de tir à la première personne comme son ainé Doom, mais avec de la modélisation en véritable 3D permettant de regarder les environnements et les ennemis sous différents angles. Le succès a été tel que le genre qu'on appelait Doom-like fut appelé Quake-like. Le titre nous parlait d'une menace extra-terrestre sur le point d'envahir la Terre : une équipe dont seul le joueur a survécu est envoyé dans les dimensions de l'ennemi afin de le repousser. Et cela à travers quatre mondes indépendants et un boss. En 1997, le studio ID Software a réalisé une suite, Quake2, basée sur un moteur plus performant.

Quake 2 nous propose à nouveau un combat contre des extra-terrestres, mais cette fois le scénario est différent. La menace s'appelle Les Stroggs : des créatures alliant mécanique et organique. Des cyborgs au degré de mécanisation variant d'une famille à l'autre. La Terre est à nouveau menacée et l'armée profite d'un générateur de trou noir ennemi pour lancer une invasion de la planète hostile. Bien sûr les choses ne vont pas bien se passer à cause du système de défense Big Gun, et le joueur se retrouve seul avec pour unique compagnon son blaster personnel aux munitions illimitées. Objectif 1 : survivre. Objectif 2 : gagner la guerre à vous tout seul.

[RETROGAMING] Quake 2 / PC

J'ai été un peu surpris quand j'ai remis mon cd dans le lecteur après presque seize ans. Non pas qu'il fonctionne encore ( je prend soin de mes disques, moi môssieur !), mais que finalement, pour faire tourner le jeu correctement, je n'ai rien eu à faire. Mode "Default opengl", résolution 640*480 et fullscreen : ça m'a suffit. J'aurais pu pousser mais non, pas besoin pour dégommer du méchant. Pardon, j'ai quand même dû faire une manip trouvée sur internet et créer un petit fichier me permettant d'avoir plus de luminosité - le jeu étant sombre sur les systèmes modernes - mais c'est tout.

Le jeu est donc un FPS, si vous n'aviez pas suivi, et donc vous avez des armes à feu. Nous avons dans l'armurerie :
- le blaster de base : plus puissant qu'il n'y parait si on vise bien, et illimité.
- le shotgun : classique
- le super shotgun : deux cartouches tirées d'un coup. L'une de mes armes favorites
- la mitraillette : beaucoup de recul.
- le chaingun : ca nettoie, mais attention aux munitions.
- le lance-grenade
- le lance-roquette
- le railgun
- l'hyperblaster : ma deuxième arme favorite. Très précis et efficace.
- Enfin, la BFG 10K. Et là je cite directement le manuel : "Big, uh, freakin’ gun. This weapon redefines the word "wallpaper." Simply fire the BFG into a small room of unsuspecting Strogg and observe the new red paint job"

Les commandes sont restées simples : le personnage peut sauter, s'accroupir, straffer, courir. Pas besoin de recharger les armes, ce qui est salutaire : dans le feu de l'action, vous aurez plusieurs fois l'occasion de vider vos stocks de munitions.

[RETROGAMING] Quake 2 / PC

Quake 2, ce n'est pas une simple succession de niveau avec des environnements qui changent : vous avez une mission à accomplir. Très régulièrement, le jeu vous demande d'appuyer sur F1, ce qui vous amène à un écran de ce genre. On y voit les objectifs primaires et secondaires : primaire pour indiquer le fil conducteur de la région, secondaire pour avoir l'objectif immédiat. Ils demandent généralement d'appuyer sur un bouton ou un levier ou juste de traverser un niveau, mais parfois de trouver certains objets importants ou de se placer à un endroit pour les utiliser automatiquement.

C'est également dans cette fenêtre qu'on voit le nombre d'ennemis tués, le nombre de buts à accomplir dans la carte, et le nombre de secrets. Dans le cas présent, uniquement trois ennemis, 0 secrets à trouver : ca sent le boss. En effet : le gros boss qui tâche.
Les niveaux ne sont pas purement linéaires, dans le sens où vous devez régulièrement revenir sur des cartes précédentes pour avancer et accéder à d'autres endroits : on a vraiment l'impression de suivre une trame scénaristique, pas juste un prétexte à mutiler du pixel. Une trame bourrine, OK... Les secrets à trouver sont généralement des petites caches : sous un escalier, derrière une porte fissurée ou dans une réserve ouverte via un interrupteur bien caché. Il existe également trois niveaux secrets : le premier vous permet de trouver assez tôt une super-arme, un autre vous envoie littéralement dans l'espace.

Les missions vous amèneront en direction de la capitale, où vous affronterez le chef des Stroggs. A mesure de votre avancée, vous verrez de l'opposition de plus en plus puissante : au début simples soldats, vos adversaires disposeront pas la suite de grenades pour les Gunners, de railgun pour les Gladiators (ouch !) ou de lance-roquette pour les iron-maiden. Les Tank eux disposent de blaster, de mitraillette et de lance-roquette en plus de leur épais blindage ( ben voyons). Et encore, ce serait sans compter sur l'aviation et les mutants.
Dans Quake 2, vous pouvez évaluer les dégâts subis par un ennemi à son apparence qui deviendra sanguinolente à mesure des tirs. S'il subit des dégâts lourds, un ennemi explosera; sinon il sera juste à terre : dans ce cas, prenez votre blaster et tirez dessus jusqu'à en faire de la pulpe.

Acharnement gratuit kevinesque ? Pas vraiment. Voyez vous, l'ennemi compte parmi ses rangs une unité appelée le Médic, qui a la fâcheuse habitude de ressusciter les camarades à terre qu'il rencontre : s'il n'y a plus rien à ressusciter, vous êtes tranquille, mais si vous devez retuer un Tank ou deux ... Par chance le Medic est assez rare mais bon, on ne sait jamais ( et puis ca fait du bien). Quelque soit votre sauvagerie, vous devrez faire attention aux ennemis fraichement tués : certains vous tireront dessus même décapité, dans un soubresaut nerveux post-mortem : attention donc à ne pas vous faire blesser inutilement.
Parfois vous rencontrerez des soldats terriens, par exemple dans les centres de détention. Dans ce cas n'hésitez pas... et abattez les. 1) pour abréger leurs souffrances face aux tortures subies 2) parce que parfois ils donnent des bonus, santé ou munition. Ce n'est pas comme s'ils en avaient encore besoin après tout.

Pour ce qui est des bonus, le jeu propose les habituels kits de soins, fioles de santé pour dépasser le maximum, les armures et fragments d'armure. Il y a un autre bonus que je ne saurais trop vous recommander de pour chasser : l'adrénaline. Il s'agit d'une fiole tournoyante plus grosse que les classiques ampoules de soin, qui augmente de manière permanente votre maximum de vie de 1. Ca ne parait pas beaucoup, mais après en voir trouvé quelques, ca fait une augmentation substantielle de votre santé.
Je citerais également les très utiles "Bandoleer" et "Ammo pack", qui vous permettent d'augmenter de manière définitive le maximum de munitions transportables : très sympathique.

[RETROGAMING] Quake 2 / PC

Quake 2 introduit quelque chose de jamais vu auparavant (mais je peux me tromper) : le personnage dispose d'un inventaire. Dans les Doom et le premier quake, chaque objet était utilisé automatiquement au ramassage. Dans Quake 2, il est mis dans l'inventaire et vous pouvez l'utiliser au moment de votre choix. Et là c'est le drame pour le joueur de FPS : on lui demande de réfléchir !

Oui parce que qui dit utilisation au choix dit "est ce le bon moment pour utiliser tel objet ?" Les respirateurs et combinaisons environnementales ne causent pas de dilemme : vous êtes sous l'eau un moment, il faut respirer, on utilise le respirateur. Les autres objets seront par contre à réserver aux situations vraiment importantes, car ils ne sont pas communs.
Pour ce qui est de ces objets ramassables, j'en ai cité deux déjà, et j'ajouterais à la liste :
- le silencieux : pour ne pas se faire repérer pendant un laps de temps.
- l'invulnérabilité
- le champs de force : qui vous protège des dégâts énergétiques en puisant dans les munitions l'hyperblaster et de la BFG.
- le quad-damage : ce petit bijou est la marque de fabrique de la série, et il vous permet de multiplier par quatre les dégâts de vos armes pendant trente secondes. De quoi détruire une armée ou deux avant le petit-dej, ou un boss.

Autre possibilité du système d'inventaire : il est possible de sélectionner non pas un item consommable, mais une arme. A quoi ca sert ? A être toujours prêt à tout. Inutile de sortir le railgun contre un soldat de base, tout comme un fusil à pompe contre un tank ne vaudra pas grand chose, si ce n'est des ennuis. Par contre, un joueur intelligent peut très bien se battre au fusil à pompe en ayant sélectionné comme objet son railgun : pas de soucis contre la chair à canon et contre les boss, un bouton enfoncé et on a son gros bijou qui fait des trous.

Comme tout FPS qui se respecte, Quake 2 possède un mode multijoueur qui se résume à un Deathmatch. Le joueur peut personnaliser son personnage en choisissant le sexe, la skin ( ca change juste les couleurs) et la position de son arme : main droite, main gauche ou centrée. En dehors de ca, je n'ai jamais essayé le multi : la faute à une connexion 56k et un forfait internet trop court à l'époque.

Comme d'habitude, je termine par la partie technique. Même après toute ces années, l'aspect graphique reste correct. Les textures de l'environnement sont un peu floue et l'ensemble est anguleux. Les ennemis et les armes par contre sont réussies et assez lisses encore maintenant.

Pour la bande-son, nous avons des musiques très rythmées histoire de vous rappeler que vous ne jouez pas à Sim City. J'ai remarqué par contre que les musiques se coupaient régulièrement au cours des niveaux, pour reprendre au niveau suivant. Les bruitages sont les bienvenus, car ils vous indiquent très souvent la présence d'un ennemi avant de l'avoir vu. On peut également entendre les cris de souffrances, que ce soit des ennemis abattus ou des soldats terriens torturés/achevés par vos soins.

Mais finalement si je prend encore du plaisir à jouer à Quake 2 à cette époque, c'est parce que l'action est rapide : on vous tire dessus sans sommation et vous n'avez parfois qu'une fraction de seconde pour esquiver ou tirer au super-shotgun à bout-portant. Par chance, le personnage est très maniable, que ce soit pour sauter ou esquiver en straffant. Et ca heureusement, parce que contre les railgun des Gladiators, il ne faut surtout pas rester statique !

Finalement, Quake 2 n'est peut être pas le FPS du siècle, mais ce qu'il propose, il le propose bien. Un scénario qui donne une justification au massacre, des missions et des secrets pour briser la linéarité, des armes variées et un système d'inventaire utile. Avec celà une réalisation au top à l'époque, qui ne demandent pas trop d'efforts pour être jouable de nos jours. Bref un bon défouloir si on aime le sang, les treillis et le métal. Celui qui n'a pas connu à l'époque aura peut être du mal à s'y intéresser; moi j'aime toujours autant.

SUPPOS : 5/6
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L'Amstrad CPC464 fête ses 30 ans !

Publié le par DrFloyd

L'Amstrad CPC464 fête ses 30 ans !

C'était il y a 30 ans jour pour jour. Amstrad, boite anglaise alors spécialisée dans le HiFi, lançait son ordinateur 8 bits en Angleterre : l'Amstrad CPC464.

Alan Sugar, Le PDG de Amstrad vise alors le marché familial : concept tout-en-un (clavier, écran, lecteur K7), facilité d'utilisation, prix plancher. Amstrad réussira ainsi à trouver sa place en Europe sur ce marché féroce et casse gueule aux côtés de Commodore, Sinclair, Atari et autres MSX.

La France était un peu en retard en matière d'informatique : le To7 français est une daube immonde et austère, les Commodore et Atari ne se sont pas vraiment encore imposés et sont assez chers, du coup le succès sera total pour Amstrad en France où seront écoulées environ 1 million de machines (tous modèles confondus). Une véritable surprise pour l'un des derniers arrivants sur le marché.

Ses capacités ne sont pas exceptionnelles, la plupart des jeux seront des "inferiors" face à la concurrence, mais le public français n'est pas très connaisseur et se contente de cet ordinateur à prix abordable. Mais il faut dire que le concept du tout-en-un est vraiment séduisant, une prise à brancher à ça fonctionne. La télé familiale est enfin libérée, les ados peuvent brancher l'ordinateur dans leur chambre. De plus le basic est assez simple à utiliser et la catalogue de jeux deviendra vite immense.

Arkanoid, Barbarian, Fruity Frank, Sorcery+, Ikari Warriors, des titres qui restent gravés à tout jamais dans la mémoire des joueurs CPC !

Le déclin viendra vers 1990 où Amstrad décide de ne pas passer aux ordinateurs 16/32 bits, ils écouleront leurs stocks de pièces via la console GX4000, se concentrant alors sur le marché du PC qui devient vite saturé. Alan Sugar abandonnera alors ce secteur pour en revenir à la HiFI, video, décodeurs sat.

L'Amstrad CPC464 fête ses 30 ans !

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