[RESULTAT CONCOURS] Les nouvelles aventures des soeurs Giana !

Publié le par Dr Floyd

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J'avais oublié de vous causer du retour du retour des soeurs Giana ! Alors j'en profite via un petit concours !

Pour rappel The Great Giana Sisters est un jeu culte de l'époque 8-16 bit (voir notre dossier) remastérisé il y a quelques temps en HD sous le nom de Giana Sisters Twisted Dreams. Et bien voici Rise of the Owlverlord (PC - Steam) du studio Black Forest, tout simplement la nouvelle suite des aventures des soeurs Giana !
7 nouveaux niveaux qui peuvent se jouer sans posséder le jeu original, avec nouveaux décors, nouvelles musiques et nouvelle histoire. Un bundle regroupant les deux jeux est également au programme.

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Nintendo envisage de porter plainte à nouveau... non je déconne.

[Le lien vers Steam]


Et j'ai donc un code Steam à vous offrir pour ce jeu ! Pour gagner c'est très simple, il suffit de répondre à cette question dans les commentaires ci-dessous :

En quelle année est sorti The Great Giana Sisters sur Commodore 64 ?


N'oubliez pas de mettre votre mail dans le formulaire. Une bonne réponse sera choisie au hasard. Vous pouvez jouer jusqu'au mardi 15 octobre 22h.

RESULTATS
Le gagnant est Boumchakal. Merci à tous les participants et à Black Forest pour ce concours !
 

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Need for Mario Kart

Publié le par Dr Floyd

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Le film Need for Speed peut aller se rhabiller, voici la bande-annonce de la version Mario Kart ! Ce qui permet en même temps de se moquer un peu du futur bousin à éviter absolument dans les salles obscures... Les fans de Vin Diesel vont me tomber dessus.

 

Publié dans HUMOUR

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[TEST] Beyond: Two Souls / PS3

Publié le par Dr Floyd

BEYOND : TWO SOULS
Support : PS3
Développeur : Quantic Dreams
Editeur : Sony
Sortie : 9 octobre 2013

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Heavy Rain, le précédent jeu de David Cage et Quantum Studio a été diversement accueilli. Entre jeu vidéo et film interactif le concept a logiquement divisé les joueurs, et ce n'est surement pas Beyond Two Souls qui va les réunir car on repart sur un concept totalement identique, à part que l'on passe du thriller au paranormal.

Et cet aspect film est encore plus renforcé ici car le studio s'est payé les services de deux acteurs assez connus : Willem Dafoe et Ellen Page, superbement modélisés. Alors rassurez-vous, le scénario et la structure du jeu sont assez différents de Heavy Rain, ici vous ne jouez pas de multiples personnages et l'action de déroule sur une très longue période de 15 années. Vous jouez le rôle de Jodie Holmes qui n'est pas une fille comme les autres, elle a des dons surnaturels, elle vit en quelque sorte avec un fantôme en elle. Elle est entre deux "souls", comme le précise le titre du jeu.

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Au niveau du gameplay pas de surprise si vous connaissez Heavy Rain : des phases de contemplation très nombreuses, des phases de déplacement classique au stick, des phases de mini-scènes d'action, avec des déplacement fantomatiques en rab (je vais y revenir), le tout avec moins de dialogues à sélectionner que dans le jeu précédent. L'interface a été réduit à sa plus simple expression, au mieux il y aura un point ou un icône à l'écran qui indique une interaction. C'est assez intuitif, il suffit de déplacer le stick droit dans la direction du point pour interagir. Fans de Gradius ou Megaman passez votre chemin ! Idem pour les phases de combat et poursuite, ça se résume à du QTE au ralenti... 

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La réelle nouveauté de Beyond c'est donc votre fantôme, celui-ci se nomme Aiden. Un esprit qui permet de sortir du corps de Jodie, pour passer d'une vue TPS à une vue subjective de type FPS (si j'ose dire). Et là vous allez ainsi pouvoir vous ballader dans les airs, passer au travers des murs, écouter les conversations, allez prendre possession des PJN, ou déplacer des objets à distance. Vous avez alors vraiment l'impression de jouer au fantôme, c'est assez sympa. Ce sont les phases de jeux les plus développées.


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Comme dans Heavy Rain la difficulté est quasi absente. Mais ici le scénario est assez ouvert... certes c'est subtil, ne vous attendez pas à faire ce que vous voulez, vous êtes quand même sur de vrais rails... malgré les 23 fins possibles annoncées. Si vous refaites le jeu vous verrez peu de changements si ce n'est lors des 2 dernières heures environ (à 80% de la partie). On peut clairement parler de film interactif tant le "skill" est absent, comme si la PS3 était une console CD-I moderne (les collectionneurs de consoles rétro comprendront tout de suite !)

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Techniquement, il est clair que Quantic Dream maitrise à donf la "performance Capture" (à prononcer avec l'accent américain bien sur), avec des mouvements plus vrais que nature et des visages surprenants de réalisme. Le tout est parfaitement mis en scènes avec des plans très cinématiques et une bande son très travaillée. C'est du travail de pro. A noter que vous pouvez jouer en VOST, pour plus de naturel (à vous de voir). Graphiquement c'est parfois impressionnant, mais quelque fois moyen avec quelques textures un peu grossières.

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Aussi il y a des baisses de framerate sur certaines scènes, pas gênant du tout pour le "gameplay", mais rappelant que c'est un jeu (pas top pour l'immersion). Idem pour les animations et les plans, ils sont tellement travaillés que l'on repère régulièrement les petits "bugs" visuels et les petits défauts interactifs.... Ce n'est pas une critique négative, au contraire, la PS3 est à son max, mais comme on à l'impression d'être dans un film, tout ce qui rappelle le jeu vidéo attire le regard. C'est une expérience étrange en fait. Je ne sais pas trop si j'aime, ou pas.


Beyond Two Souls est le digne successeur de Heavy Rain, et il divisera tout autant la communauté des gamers. Est-ce réellement intéressant de "jouer" à un quasi film interactif ? L'investissement en vaut-il la peine ? Toute la question est là et c'est à vous de répondre en vivant l'expérience. Il se dégage quand même au final l'impression d avoir vécu quelque chose de fort et aussi immersif qu'un bon film. Mais peut-être pas autant qu'avec Heavy Rain, mais là c'est assez subjectif et cela n'engage que moi. Un concept "impossible" à noter... mais on va le faire quand même.

SUPPOS : 4,5/6
si on adhere au concept instauré avec Heavy Rain (sinon moins !)
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Publié dans TESTS

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Watchdogs repoussé à 2014 !

Publié le par Dr Floyd

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Suite aux annonces un peu hésitantes d'Ubisoft sur son prochain bébé Watchdogs (problèmes de finition, framerate à 30 ims/s, etc...), l'éditeur français a finalement confirmé la nouvelle depuis son forum. Son nouveau bébé sera donc repoussé à 2014, et s'intégrera finalement à l'exercice fiscal 2014/2015 (à l'instar de The Crew). La société s'est fendue d'un communiqué officiel:


Depuis le début, notre ambition avec Watch_Dogs est de développer un jeu qui incarne notre vision de l’expérience de jeu nouvelle-génération. C’est dans cette optique que nous avons pris la décision difficile de décaler le lancement de Watch_Dogs au printemps 2014.

Vous vous demandez certainement ‘pourquoi’ et ‘pourquoi maintenant’? Nous avons hésité sur la meilleure décision à prendre mais depuis le début nous avons choisi de ne jamais sacrifier la qualité de ce jeu. A l’approche du lancement, lorsque toutes les pièces du puzzle s’assemblaient, il nous est apparu évident que nous avions besoin de plus de temps pour peaufiner et sublimer chaque détail afin de vous offrir une expérience de jeu mémorable et exceptionnelle.

Nous voudrions profiter de ce message pour vous remercier. Nous apprécions sincèrement votre engouement pour le jeu, sur le web, lors des salons, des conférences de presse et autres occasions que nous avons d’interagir avec vous. Votre passion est un vrai moteur pour nous ! Nous avons hâte de vous retrouver à Chicago le printemps prochain. Nous sommes confiants que vous aimerez Watch_Dogs autant que nous aimons le développer.

GTA V ne serait pas passé par là ? ;) Peur de la comparaison Mr Rubisoft ?

Et quid des packs avec la PS4 qui ont été précommandé ? Les acheteurs devront aussi attendre 2014 avant de recevoir la console de Sony ? Ca valait bien la peine de troller Rockstar. Ce sera donc à AC IV: Black Flags de porter le studio à bout de bras en cette fin d'année et sur les consoles current et next-gen.

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NBA 2K14, Lebron trop beau en super-full-HD !

Publié le par Dr Floyd

Et voici le tout premier screenshot de NBA 2K14 sur "next-gen", ici sur PS4. Oh qu'il est beau !



NBA 2K14 sort le 22 novembre sur BoBox One et le 28 novembre sur PS4. Et 2K France vient de me préciser en plus que la bande-annonce avec des images qui bougent déboule cette semaine... Je n'en peux plus !

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La basket sur Atari 2600 prend un sacré coup de vieux, non ?

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[RETROGAMING] Road Rash / Game Gear

Publié le par Sylesis

ROAD RASH

Support : Game Gear
Existe aussi sur Master System, Megadrive, Atari ST, Amiga, Game Boy...
Éditeur : US Gold Game Gear
Développeur : Probe, Krisalis pour la partie audio
Originalement développé par Electronic Arts
Genre : course de moto sauvage
Nombre de joueurs : deux joueurs
Sortie : 1993

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Si vous roulez toujours à vélo avec des roulettes ou si vous devenez vert en voiture dès que le compteur dépasse les 30 kilomètres par heure, passez ce test. Si par contre vous vous droguez à l'adrénaline, lisez ceci. Ma rencontre avec Road Rash s'est faite en Juillet 1994 au détour d'un magasin : j'avais entendu parler du titre Megadrive, il n'en a pas fallu plus pour titiller ma curiosité.

Si vous ne connaissez pas le genre, l'écran titre raconte tout : vous êtes à moto et tous les coups sont permis pour gagner. Chose surprenante, le livret comporte même un récit de l'origine de ces courses. Il est initialement question de deux motards, Fang et Polygon qui se défiaient sans cesse sur les circuits. Un jour et sur la suggestion de sa copine, Polygon sabota la moto de son adversaire qui finit dans le décor. Fang lanca alors un défi : pas de circuit, pas de règle, juste la route et tous les moyens pour gagner. Le premier Road Rash.

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Voici un écran de course typique. Qu'avons nous donc dans l'interface ?
- la barre verte au dessus de Player A correspond à la santé de votre personnage. Elle diminuera en cas de mauvais coup, mais se rechargera progressivement.
- la barre au dessus de Bike est l'état de votre moto et diminuera à mesure de vos gamelles avec les voitures, poteaux et animaux (c'est dangereux une vache). Celle ci ne se régénérera pas et une barre vide signifiera une course terminée.
- enfin, à droite, se trouve la barre de santé de votre adversaire le plus proche. Il est possible de blesser un ennemi en lui donnant des coups de poing (bouton 2) ou de matraque si vous en avez volé une. Une barre de santé vide = une chute de moto. Outre le coup de poing ou de matraque, vous pourrez donner des coups de pied (haut+2) pour pousser l'adversaire, si possible dans un obstacle.
En dessous se trouvent les rétroviseurs, le compteur de vitesse, le chronomètre, le compteur de distance et votre place dans la course.

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L'interface est à la fois exhaustive et peu encombrante, laissant une bonne portion de l'écran. Pour du 8 bits, les graphismes sont relativement soignés : même sur le petit écran, les sprites des véhicules et des pilotes sont reconnaissables de même que les divers décors. C'est encore plus vrai au début de chaque course où vous verrez le portrait d'un personnage et un petit message de sa part (sympa ou menaçant). Du coup, ça apporte une identité au jeu. Oh, tous les concurrents n'ont pas un portrait, mais vous en viendrez à vous souvenir des plus importants comme Biff, ou Natasha.

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Si vous terminez dans les trois premiers (et c'est nécessaire si vous voulez avancer), vous obtiendrez de l'argent qui pourra être investi dans l'achat d'une moto. Lorsque vous examinerez les différentes montures, une description défilera en dessous. Les différentes machines ne se distinguent pas juste par leur vitesse : certaines accélèrent plus vite que d'autres, et les maniabilités sont diverses. Ici par exemple, je possède la plus chère et la meilleure machine : très bonne vitesse et maniabilité. Sur la piste, les différentes motos se distingueront par leur couleur et celle de la combinaison du pilote.

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Le titre est divisé en 5 niveaux, chacun comprenant 5 courses. Le but est de finir dans les trois premiers de chaque course pour passer au niveau suivant. Il est possible de refaire chaque course autant de fois qu'on veut, pour améliorer son classement ou amasser un pécule. Les courses ne changeront pas d'un niveau à l'autre, mais elles seront de plus en plus longues. Les dernières tiennent véritablement de la course d'endurance.

L'argent dans le jeu ne sert pas juste à l'achat de motos. Voyez-vous, le pays a des lois sur la circulation et la police motorisée est là pour tenter de les faire respecter. Chaque niveau, un policier plus ou moins hargneux tentera de vous rattraper. Si c'est le cas, la course est terminée et vous devrez payer une amende (ouch !). Éviter un policier n'est en général pas excessivement dur avec une bonne moto, mais il suffit d'une chute au mauvais moment pour se faire arrêter. Du coup on aura beau connaitre les différentes courses ou avoir une machine puissante, il faudra toujours rester vigilant. Niveau violence, on pourra repousser la maréchaussée à coup de pied, mais pas à coup de poings.

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Entre deux courses, il est également possible d'aller dans les options. C'est là qu'on obtient ou qu'on entre les mots de passe permettant d'enregistrer l'avancée. Il est possible de jouer à deux, mais uniquement en alternance, dommage. Il est également possible d'écouter l'une des 7 musiques du jeu. En fait ce n'est pas juste possible mais très agréable. La partie audio a été travaillée par un studio différent du reste de l'adaptation, ce qui est assez rare mais donne au bilan une bande-son de qualité. Chaque course dispose de sa musique propre, particulièrement dynamique et qui convient à merveille au rythme effréné du pilotage. Pour dire, je tape ce test avec la console positionnée sur cet écran en alternant les morceaux.

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Il me reste donc à parler d'un élément très important dans un jeu de course : l'animation.
L'animation de la moto est absente. En effet, on ne voit pas la roue arrière tourner.
Est ce que ça gène ? Absolument pas. D'une part parce que vous serez tellement concentré sur ce qui arrive que vous n'y prêterez pas attention, mais surtout parce que le reste donne une très bonne sensation de vitesse : le défilement du décor est très rapide et fluide, et on a une sensation de vitesse grisante renforcée par la musique qui comblera tous les amateurs de frissons. Outre les virages endiablés, le trafic, la signalisation et la faune à éviter, le relief contribuera aux sensations : avec une bonne vitesse, votre engin au sommet d'une côte sera capable de faire des bonds impressionnants. Il est également possible de rebondir sur des pierres et des panneaux : il m'est déjà arrivé d'enchainer trois bonds sans toucher terre !

Avec sa réalisation technique irréprochable, Road Rash est un jeu de course atypique. Non seulement parce que la sensation de vitesse est véritablement bluffante pour une console portable, parce que sa bande-son est un bonheur pour les oreilles, mais aussi parce vous êtes libre dans la course : vous pouvez très bien foncer comme dans un jeu de course classique, ou laisser parler la brute en vous et vous amuser à frapper vos petits camarades pour les faire tomber. Voire plus vicieux : les pousser contre les voitures pour abimer leur monture. Quelle que soit votre façon de jouer, une chose restera commune : la décharge d'adrénaline tandis que vous lutterez pour éviter les voitures ou échapper à la police.

SUPPOS : 6/6
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Publié dans RETROGAMING

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Démo du bâton de joie Steam Box

Publié le par Dr Floyd

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Mais que peut bien valoir le "bâton de joie" de la Steam Box ? Celui ci est sensé être largement plus efficace qu'une manette console, et quasi aussi efficace qu'un couple clavier-souris de gros geek. On demande à voir... Et justement voici une vidéo de démonstration qui tentera de vous convaincre de l'efficacité du bousin....




Il doit en effet être possible de faire mieux qu'une manette X360 ou Dualshock. Moi qui déteste de toute façon le duo clavier-souris (à mon sens une configuration casuale improbable pour les geeks fan de click'n play rapide), je demande donc à voir... ou plutôt à manipuler !

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Dragon Quest VIII pour les geeks

Publié le par Dr Floyd

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Dragon Quest VIII
a récemment été annoncé sur iOS et Android, une bonne nouvelle car finalement ce type de jeu est très bien adapté au support. Il n'y a pas réellement d'action directe (à part les déplacements) et le côté levelling de fou furieux de ce RPG est parfait pour du support mobile et de petites sessions de jeux rapides (plutôt que de squatter 120 heures la télé familiale).


Et qu'est-ce que peut donner DQ8 sur tablette ou mobile ? Bah quasiment la même chose que sur PS2 avec bien sûr un interface remanié. Allez hop petite vidéo postée par Square Enix.



On attend juste la date de sortie.

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[TEST] NBA 2K14 / Xbox 360

Publié le par Warhol

NBA 2K14

Support :XBOX 360
Existe aussi sur : PS3, PC, et bientôt sur PS4 et XONE
Éditeur : 2K Sports
Développeur : Visual Concepts
Sortie : 4 octobre 2013

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Depuis plusieurs années déjà, chaque début du mois d’octobre a une saveur particulière pour tous les gamers fans de basket. Tout d’abord parce que le début de la saison NBA (dernier week-end d’octobre) approche à grands pas, avec son lot de matchs de préparation, mais aussi parce que c’est la traditionnelle date de sortie du nouveau NBA 2K. Véritable référence de la simulation sportive, joué par un très grand nombre et surtout reconnu de tous, le jeu de Visual Concepts a souvent réussi, malgré le vide de concurrence, à se renouveler.  Cependant, l’année passée, le titre semblait "marquer une pause" dans sa progression (Test NBA 2k13), tant par son contenu que par son aspect visuel, et l'imminente sortie de la "vraie" nouvelle génération de consoles nous laisse à penser que l’équipe de développement se concentre déjà sur les versions "Next Gen" du titre. Ainsi, NBA 2K14 "Current Gen" ne serait qu’une simple MAJ ? Presque... mais pas que!

Effectivement, le premier ressenti face à cet opus ne plaide pas en la faveur d’un renouveau.
Tout d’abord visuellement, et dès le menu, les possesseurs d’NBA 2k13 ne seront pas du tout dépaysés, c’est le moins que l’on puisse dire, tant la page d'accueil est similaire à celle de l’an passé, mais en bleu. On navigue toujours de la même façon dans les différentes strates du menu, certains aiment, d’autres moins, mais rien n’est fondamentalement différent.

Dès la première partie engagée, la sensation de se trouver en face d’NBA 2K13 continue. Le jeu reste graphiquement le même que l’année passée, avec tout de même quelques animations en plus, sur les contacts principalement, confirmant l’idée que Visual Concepts avait surement déjà atteint depuis plusieurs années les limites techniques de son support.
Le tout reste donc à la pointe de ce qui se fait sur XBOX 360/PS3, et on est toujours autant bluffé par la beauté et le réalisme des animations, autant que par la fluidité des actions. Pas de doute dans ce domaine, NBA 2K, même inchangé, reste LA référence de la simulation sportive.

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De la même manière, le contenu du jeu est toujours aussi riche avec ses désormais classiques modes de jeux : Carrière, Association, Bitume, etc … Ces derniers utilisant l'immense base de données avec toutes les franchises NBA (actuelles + 34 équipes "classiques"), tous les joueurs, toutes les chaussures (avec, pour la première fois, toutes les marques) et, chose nouvelle, les 14 meilleures équipes d’Euroleague (donc, aucune française). On peut toutefois regretter que ces nouvelles équipes européennes n’aient pas leur propre tournoi ou championnat, et ne soient donc jouables qu’en matchs d’exhibition, ceci aurait été une belle nouveauté... Mais non.

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La grande nouveauté, affichée sur le dos de la pochette, tourne autour du meilleur joueur du monde : Lebron James (le monsieur en couverture). À travers un mode de jeu comparable à ce qu’était le mode Jordan dans 2K11 et 12, vous pouvez désormais suivre le futur de la Star du Heat - là où vous rejouiez la carrière passée de Jordan. Sur le papier, tout cela semble fort intéressant, avec deux scénarios proposés (rester où partir de Miami), une succession de matchs avec différents défis à réaliser, mais le réel manque de challenge (tellement Lebron est surnoté dans le jeu) et quelques choix scénaristique douteux, comme le fait de lutter cette saison avec Kobe pour le titre de MVP alors que celui-ci est actuellement en convalescence pour une grave blessure, rendent l’ensemble trop peu attractif...

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Reste donc le gameplay, où à nouveau, quelques changements plus ou moins convainquant ont été apportés. Et comme à chaque opus depuis 2K11, ces changements concernent principalement le stick analogique droit, pompeusement nommé «Prostick», et consistent à regrouper le dribble, le tir et les passes en ce seul stick. Si cela peut paraitre compliqué pour le néophyte, c’est en fait ce dernier qui est visé par les développeurs puisque ceci permet d'exécuter des dribbles (censés être) adaptés à la situation (grâce à des mouvements rapides du stick) puis de shooter dans la foulée en restant orienté (toujours avec le stick) d’un coté. Aussi, et toujours avec ce stick, vous pouvez exécuter une passe en pressant simultanément la gâchette gauche, vous me suivez toujours ?

Au final, ce système paraîtra beaucoup trop approximatif pour les aficionados de la franchise qui préfèreront, pour plus de précision, utiliser les boutons A X B Y (croix, carré, triangle, rond) ou encore plus simplement revenir à la configuration classique (mais là, plus d’Alley-Oop), dans les options. A noter tout de même une très bonne idée avec l'apparition cette année d’une touche de tactique rapide qui permet en "deux clics" d’obtenir un système pour le joueur de son choix. Mais là encore, pas de quoi y déceler une révolution.

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En fait, ce qui est intéressant avec ce millésime 2K14, c’est que sa principale amélioration n’est ni inscrite au dos de la pochette, ni visible par le néophyte, et pourtant, elle est très importante : le rééquilibrage de l’IA en faveur de la défense. En effet, NBA 2K13 et ses prédécesseurs, une fois les commandes maîtrisées, souffrait d’un trop grand laxisme vis-à-vis de l’attaque, et il était fréquemment trop aisé de rentrer "scorer" dans la raquette, par exemple. Désormais, même s’il reste quelques rares petites bizarreries (des tirs ratés à 2 centimètres du cercle par des grands, les "contre illégaux" imaginaires), le jeu est plus réaliste que jamais dans le domaine.
Les défenses sont bien resserrées et il va vous falloir utiliser les très nombreuses et réelles tactiques pour placer vos joueurs en position d’attaque favorable, notamment en multi.
Si cela risque d’en rebuter certains, les fans de simulation en seront ravi.

Pour conclure, il nous faut admettre que, faute de réelle nouveauté, NBA 2K14 ne restera pas dans les annales de la série, et ressemble au premier abord à une jolie mise à jour. Toutefois, les quelques petites améliorations graphiques, mais surtout, l'amélioration de la défense, ont enrichi un titre qui semblait de toute façon, avoir déjà atteint les limites de la perfection sur "Current Gen". Il ne nous reste donc plus qu'à attendre de jouer aux versions PS4/XONE qui semblent avoir retenu toute l'attention de Visual Concepts, vivement novembre...

CONTENU : Il a très peu évolué mais reste toujours aussi riche, et la seule "vraie" nouveauté, le mode "Lebron : un pied dans l’Histoire", n’est pas une grande réussite.



GRAPHISMES : Là encore, la majeure partie de l’ensemble reprend les bases de l’an dernier tout en les affinant. Ainsi, les graphismes n’ont pas fondamentalement changé, mais l’animation, elle, a gagné en richesse et en fluidité, pour un résultat toujours aussi bluffant.



SONS : Très très "mainstream", de "Get Lucky" (que je vais finir par haïr si ça continue) à Kanye West, en passant par Gorillaz, il n’y aucune prise de risque, mais ça suffit. Par contre, si comme moi, vous aimez le "gros rock" (jamais encore entendu en 22 ans de carrière), vous resterez un peu sur votre faim. A coté de cela, l’ambiance des matchs est toujours aussi réaliste, et c’est le principal.



JOUABILITÉ : C’est là que se situe la plus grande nouveauté du titre, avec l’utilisation du stick analogique droit (Prostick) pour tout (dribbles, passes et tir). Plus abordable pour un public moins assidu, moins précis pour les "vieux de la vieille" !



DURÉE DE VIE : Grâce à un rééquilibrage de la défense (moins perméable ) de l’IA, les parties ont gagné en réalisme, et l’utilisation des tactiques vous sera obligatoire pour gagner en difficulté "Hall of Fame". Ce titre vous réserve donc de très longues heures, journées, de jeu. Comme bien souvent avec les simulations sportives, tout dépend à quel point vous êtes fan de la NBA.

SUPPOS : 5/6
ou 6/6 si vous n’avez ni NBA 2K12 ni NBA 2K13

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[INTERMISSION] Return to Zebes

Publié le par Dr Floyd

Super Metroid remixé par les rockstars de Flying Penguins !

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[RETROGAMING] Power Blade / Nes

Publié le par AntonioMontana71

POWER BLADE
Support : Nes / Famicom
Développeur : Natsume
Editeur : Taito
Support : cartouche
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 23 Janvier 1992 (Mars 1991 pour les USA, Avril 1990 pour le Japon)

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Holà la populace ! Réveillez-vous, j’ai deux nouvelles pour vous, une bonne et une mauvaise !
– Ouais bah commence par la mauvaise.
- La fin du monde approche !!! Des extraterrestres ont pris le contrôle du système de gestion de la planète Terre ! Non vous ne rêvez pas, vous êtes bien en 2191 et il vous reste à peine une journée pour dire au revoir à ceux que vous aimez.
- OK, cool, et c’est quoi la bonne alors ?
– Eh bien Schwarzy est toujours vivant et il est accessoirement notre seul espoir !!!

Alors oui, le synopsis n’est pas très reluisant, mais le jeu vaut le coup d’œil. TEST !

Vous incarnez donc un homme dont l’apparence est proche du colosse autrichien Arnold Schwarzenegger dénommé Nova. Habillé d’un jean de métal et d’un marcel noir très saillant, notre héros part à la rencontre des différents extra-terrestres s’étant  introduits dans la ville afin de les éliminer un par un. Et pour l’aider dans sa tâche, il sera armé d’un boomerang (en 2191 je rappelle, m’enfin …). Le jeu se décompose en six niveaux, plus un niveau "suprême" une fois les six premiers niveaux terminés. Vous me direz "donc il y a sept niveaux ?". Oui il y a sept niveaux mais les six premiers niveaux sont accessibles dans n’importe quel ordre à la manière d’un Megaman.

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Chaque niveau se décompose en deux étapes. La première est un scrolling fighter où chaque ennemi battu est susceptible de laisser tomber un item : hamburger pour la régénération, bombes pour tuer les ennemis présents à l’écran, mais aussi des étoiles, des multi-boomerang et le "special item" : le Power Blade (c’est le nom du jeu, magique, non ?). Le Power Blade est une armure spécial permettant à Nova de pouvoir encaisser trois coups sans dégât, mais également d’être plus puissant en attaque. Bref, autant vous dire que vous ne l’avez pas à tout bout de champ au travers du niveau, mais revenons à nos moutons. Donc la première partie est comme je viens de vous l’expliquer, et elle se concrétise par la rencontre de Nova avec un de ses potes. Ce dernier lui remet une clé lui permettant d’atteindre la seconde partie : le boss. Donc autant de boss que de niveaux avec une difficulté assez inégale entre eux, bien que le jeu soit relativement facile.


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Et c’est peut être là son plus gros point faible. Un bon joueur le terminera en 1H/1H30 grand max. La jouabilité en elle même est aussi assez simple mais efficace comme la plupart des jeux sortis sur NES : un bouton pour sauter, un bouton pour lancer le boomerang, la croix directionnelle pour se déplacer et le bouton Start pour les bombes.

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Au niveau graphique, on fait face à un des plus beau jeu de la NES. Des images hautes en couleurs, des sprites magnifiques et des personnages assez bien réalisés. On sent que la console est exploitée au maximum à tel point qu’on est proche d’un rendu 16 bits.

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Les sons font également partie intégrante de la beauté du jeu. Les musiques sont toutes plus somptueuses les unes que les autres avec une réelle détermination a donner du punch au jeu, et pour cause, elles ont été réalisées par la talentueuse Kinuyo Yamashita, qui fut la compositrice notamment de Castlevania et de Megaman X3. On notera que chaque niveau a droit à sa propre mélodie ce qui est assez rare pour l’époque pour autant de niveau.

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Power Blade est un excellent jeu, assez méconnu, que certains voient comme une copie de Megaman. Techniquement très au point, on appréciera l’exploitation totale de la puissance de la 8bit. Cependant, deux points faibles sont à notifier. Tout d’abord le scénario qui est vraiment tiré par les cheveux et où se côtoient boomerang, extraterrestres et hamburgers. Son second point faible est la durée de jeu qui est extrêmement faible et qui laissera forcément le joueur sur sa faim, surtout de la part d’un jeu Taito.

SUPPOS : 5/6
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[SORTIE] Au secours revoilà Pikachu !!!

Publié le par Vavalboss



C'est la fête au pays de Pikachu, le nouveau Pokémon est disponibles dès aujourd'hui. A vous les joies de choisir pour la énième fois votre "starter" (ah oui, il y en aura deux, c'est vrai), de vous perdre dans les herbes hautes, de faire des génocides de Rattata pour monter au niveau 10 et de sauvegarder devant chaque Pokemon légendaire au cas ou vous loupez sa capture.


- Mais dis moi Steve, ce Pokemon, c'est une révolution?

- Et oui John, pour la première fois sur console portable, un jeu Pokemon sera entièrement en 3D ! De plus, vous pourrez stocker vos bébêtes sur le Cloud moyennant paiement. Ceci, mes amis, est une révolution.

- Les bras m'en tombent Steve... Je retourne sur Pokemon argent.

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