THE ELDER SCROLL V : SKYRIM
Support : PC
Existe également sur PS3 et Xbox 360
Éditeur / Développeur : Bethesda Softworks
Sortie : 11 novembre 2011
"Un test de Skyrim, quelques jours après sa sortie ?! Il se fout de nous, lui... ou alors c'est que le jeu est très mauvais
?!" Je plaide NON COUPABLE, votre honneur !! Non, je ne me fous pas de vous. Il vous faut comprendre que je fais ce test après avoir achevé la quête principale mais qu'il m'est évident que
j'ai encore beaucoup à voir car, si vous en doutez, vous allez comprendre en me lisant et en y jouant que Skyrim est plus qu'un bon jeu de fin d'année... Maintenant comme dans 6 mois, le contenu
de Skyrim sera toujours aussi riche et palpitant, mais rassurez vous je ne souhaite pas vous spoiler ;)
Après Morrowind, Région des Elfes Noirs, et Cyrodiil, région des Impériaux dans Oblivion, place à Bordeciel (Skyrim en VO donc), région
Nordique. Qui dit région Nordique dit région enneigée. En effet, je dirais que bien 80% du jeu, or donjons et grottes diverses, se passe dans un décors de neige. C'est un peu comme Red Dead
Redemption et son désert, il faut adhérer. Mais si au contraire vous adhérez, vous allez être comblé. Alors qu'en trollant un
peu je pourrais dénoncer Oblivion comme étant un jeu aux paysages de type Walt Disney, je pourrais déclarer Skyrim plus proche d'un Morrowind; plus sombre et mature... Cela se traduit
immédiatement lorsqu'on lance le jeu par un écran titre sobre comportant simplement le logo du titre et les choix classiques d'un menu... sans oublier une des fabuleuses musiques composées par
Jeremy Soule (Secret of Evermore, Guild Wars, Morrowind, Oblivion...).
A peine le bouton de nouvelle partie sélectionné, vous découvrez une introduction qui se déroule façon Half Life (tu regardes où tu
veux mais tu joues pas, t'écoutes) où vous apprenez que le Haut Roi de la région a été assassiné par un certain Ulfric Sombrage, captif à vos côtés, ce qui a déclenché une guerre entre
l'Empire et les Sombrages, chaque camp ayant ses causes à défendre et ses croyances propres. Si on veut être méchant, mais réaliste toutefois, on peut résumer ça à "c'est les bleus à droite
contre les rouges à gauche". Alors qu'Ulfric, les autres prisonniers et vous-même, êtes sur le point de vous faire trancher la tête dans la ville de Helgen, un Dragon attaque et saccage
complètement la cité, ce qui vous permet de vous enfuir...
Dès cette introduction, la mise en scène est immédiatement dans le domaine de l'épique : vous allez devoir vous échapper, ligoté, en évitant les flammes de la bête, ses hurlements et ses cris
raisonnant à vos oreilles. Un script grand spectacle qui annonce la couleur ! Les combats contre les Dragons seront des éléments que vous n'avez jamais vécu dans un jeu vidéo, car ces dragons
oubliés de tous sont de retour en Tamriel (le monde de la saga Elder Scrolls) comme dans les anciennes légendes... et comme dans les anciennes légendes, le futur du monde dépendra d'un Enfant de
Dragon, le Dovakhiin, Vous. En effet, dès le premier trailer c'est cela qui a été mis en avant : les dragons !! Il faut dire que dans le background de la saga ils sont largement évoqués et c'est
un accomplissement pour de nombreux fans que de les trouver enfin devant eux dans cet épisode. Votre quête principale sera donc de comprendre comment et pourquoi les dragons sont de retour et, en
les abattant, d'acquérir le mystérieux pouvoir de la Voix...
Cependant, soyons clair immédiatement si vous êtes novice (c'est le premier Elder Scrolls dans lequel je fini la quête principale, je
suis donc moi-même un novice) : cette quête principale n'est qu'une quête parmi tant d'autres dans le monde de Bordeciel. Il ne vous faut pas aborder ce jeu façon "je crée mon personnage, je
prends les armes et je suis une ligne droite pour aller vers une cinématique de fin", c'est le meilleur moyen d'être déçu. Alors que la quête principale prendra entre 15 et 25 heures de votre
temps si vous ne vous occupez pas du reste du jeu et que vous rushez, faire le tour du jeu vous prendra certainement des centaines d'heures !
Maintenant réfléchissons ensemble... Au fond, qu'elle est la raison qui fait que vous entendez partout que ce jeu est génial ?!
Qu'est-ce qui fait que la critique à été aussi unanime et pourquoi le jeu se vend-t-il si bien ?! Skyrim, comme tous les Elder
Scrolls, est un jeu de rôle dans lequel vous êtes libre. La notion de liberté... C'est pas un truc dont les devs profitent pour nous faire sortir
des couloirs des Final Fantasy et Call of mais qui au final rend le jeu vide et parfois fade comme dans Xenoblade ?! Non mon petit, la liberté chez Bethesda, tu peux déjà en avoir un aperçu dans
Fallout New Vegas, c'est la liberté de choisir. Vas-tu t'impliquer dans le scénario principal ou vas-tu errer dans le monde en aidant la veuve et l'orphelin, en
t'enfonçant dans des donjons qui sont très différents les uns des autres ?! Vas-tu simplement devenir un expert dans l'art de créer des potions ou pourquoi pas un forgeron ? Ne seras-tu pas un
Mercenaire ? Peut-être seras-tu un chasseur de vampire et autres créatures... peut-être vas-tu devenir toi-même un de ces êtres ?! Peut-être seras-tu le plus habile des archers ou le plus craint
des voleurs ? Peut-être seras-tu tout cela en même temps ! Skyrim, c'est la liberté d'être ce que le monde de Skyrim contient.
Le jeu de rôle ultime ? Certainement pas à cause des quelques lacunes que je vais exposer... Le meilleur jeu de rôle jamais créé jusqu'à présent ? C'est possible. Même si on peut lui reprocher
d'être trop classique dans son approche il a une identité propre et même si c'est facile de dire ça car ça fait toujours mouche, Skyrim a SON ambiance et SON univers. La liberté est l'utopie de
l'homme et voilà pourquoi le jeu se vend si bien : un monde crédible, esthétique, dans lequel tu as la liberté d'être ce que tu veux et de jouer comme tu le veux. Un jeu où il n'y a pas de
manière de jouer bonne ou mauvaise mais juste TA manière de jouer et jamais personne pour te remettre dans des rails en te regardant de haut... Skyrim est notre ultime utopie.
Cependant, la région de Bordeciel est peu moins utopiste. Même si le jeu n'est pas aussi vaste que certains l'espéraient, il est assez
emplis d'éléments aléatoires (Guild Wars 2 avant l'heure) et de quêtes diverses ainsi que de donjons et grottes à parcourir pour être largement plaisant. D'autant qu'il y a pas mal d'ennemis en
tout genre et une gestion jour/nuit. Vous pourrez aussi vous adonner au plaisir de la cueillette voir à attraper du poisson ou chasser du gibier mais il est par ailleurs assez regrettable que la
faune soit moins développées que dans un Red Dead Redemption par exemple. A contrario, je trouve la flore d'une richesse incroyable et ça fera le bonheur des alchimistes en herbes... haha. Mais
le plus important dans un monde ouvert c'est la crédibilité et comme je l'ai déjà dit plus haut, c'est plutôt réussi, si on excuse certains bugs d'IA. L'histoire politique de la région n'est
qu'un prétexte à enrichir le background et ça marche avec brio ; chaque PNJ a sa petite vie et ses problèmes qui lui sont propres. Chaque personnage parait vivant... oui enfin sauf ceux qui n'ont
pas de nom... C'est dommage mais classique ; dans un jeu de rôle, si un personnage s'appelle "bandit", c'est qu'il ne sert le background qu'en aspect extérieur et n'a qu'une personnalité de
base
Quant au nouveau moteur de jeu, on ressent tout de suite que Skyrim a été nivelé par le bas pour tourner sur console. Le jeu n'est pas
moche mais il est loin d'être une claque visuelle. Esthétiquement, c'est le perfect et il n'y a rien à redire mais quand on s'approche de certaines textures, on a parfois l'impression de se
retrouver sur Nintendo 64 ! Ce n'est bien sûr pas un drame car globalement le jeu se tient largement non seulement au niveau des décors mais aussi au niveau de l'animation des personnages (et de
toutes façons sur PC on a les mods pour arranger ça hihi), ce n'est pas parfait mais ça reste dans la bonne moyenne des productions actuelles... Même si il y a encore des lacunes donnant lieu à
des bugs de collisions plus où moins grave (mon cheval en a fait les frais... en étant éjecté depuis une montagne !) qui seront réglés (peut-être) via des mises à jour prochaines.
Les p'tits gars de chez Bethesda avaient un challenge de taille à relever avec ce nouvel opus de leur saga fétiche... Là où Oblivion a
divisé les joueurs plus que jamais, ils se devaient de faire revenir les Anciens tout en attirant de Nouveaux Joueurs... Ils devaient réussir à créer un jeu qui soit agréable à jouer aussi bien
sur console que sur PC... Double Objectif, double réussite ?
Si il y a bien une chose dont j'avais peur avec Skyrim, c'était la simplification à outrance du Gameplay... C'est en réalité beaucoup
plus fin que ça : le gameplay de Skyrim est simple, soyons honnête, mais il est cependant pas décevant. La simplicité n'est pas synonyme de mauvaise qualité.
Alors concrètement, comment se passe la création et l'évolution de votre personnage ? Tout d'abord, vous allez devoir choisir votre
race, ce qui de base, aura une incidence directe sur la vision qu'on les populaces de vous (n'oubliez pas que la région est une région Nordique). Une fois ceci fait... Fini, vous voilà lancé dans
le jeu ! Au diable les caractéristiques principales et secondaires moisies de chez Oblivion faisant, grosso merdo, que si vous choisissiez d'être archer au début du jeu (je vous le
déconseille...) pour devenir plutôt mage ensuite, vous étiez bon pour un reroll (création d'un personnage secondaire). Dans Skyrim, vous êtes ce que vous faites. Pour faire simple, plus vous
allez taper à l'épée à deux mains, plus votre Arbre de Compétences "Armes à Deux Mains" va augmenter. Il y a 18 Arbres de Compétences en tout, tous très variés. Chaque arbre de compétences a sa
barre d'expérience et son niveau qui lui est propre (100 maximum). En gagnant un niveau dans un arbre de compétences, vous gagnez ce que j'appellerai de l'expérience majeure. Une fois votre barre
d'expérience majeure remplis, votre personnage gagne un niveau général. Quand votre personnage gagne ce niveau, vous êtes invité à choisir d'améliorer l'une des trois caractéristiques du jeu : Le
Mana qui représente bien sûr votre barre d'énergie magique, votre Santé ou votre Vigueur qui est donc votre endurance qui vous permet de courir plus où moins longtemps par exemple. Une fois ceci
fait, vous gagnez à chaque niveau un point d'Atout. Il vous restera alors à choisir parmi les 18 Arbre de Compétences, quel atout de quel Arbre vous souhaitez augmenter.
Ah, je vois certains qui me disent qu'ils ne comprennent pas que je ne parle pas des Signes Astrologiques... Ne vous en faites pas, ces
Astres sont toujours présents... mais plus comme avant. Avant, dans la création de son personnage, on devait choisir si notre personnage était né sous tel ou tel astre apportant X bonus de
manière définitive comme la possibilité de se rendre invisible une fois par jour pendant un temps déterminé. Ici, on retrouvera aux quatre coins de Bordeciel des Pierres qui représentent les
Astres tel que La Tour par exemple. Vous pourrez alors activer le pouvoir de l'astre par cette pierre mais attention vous ne pouvez bien sûr pas cumuler les avantages des différents
astres. Tout ceci vous permettra de créer un personnage qui vous ressemblera, aussi polyvalent, ou non, que vous le
souhaiterez.
En ce qui concerne le Gameplay, le jeu est franchement ce que je considère comme une petite prouesse car il est tout aussi jouable et
plaisant sur PC que sur Console. Sauf que j'ai l'impression d'être un peu isolé sur ce point de vue... Outre le menu qui n'est pas très pratique bien que très clair, je ne vois vraiment pas
comment Bethesda aurait pu mieux adapter la prise en main du jeu. A partir du moment où vous comprenez sur PC qu'il vous faut utiliser, comme en jeu, à la fois la souris et le clavier, c'est un
vrai plaisir de naviguer dans le menu et c'est même plus intuitif qu'avec une manette. Le menu n'est pas forcément pratique quand vous cherchez un objet précis parmi tout ce que vous portez, mais
Bethesda a trouvé une petite parade : les Favoris. Concrètement, ça vous permet, au lieu d'aller dans le menu général puis dans le menu des armes pour trouver un arc, d'y accéder directement.
Ainsi, en quelques secondes (durant lequel le temps en jeu est gelé ce qui casse à mon sens l'immersion et c'est bien dommage), vous pourrez sortir votre épée après avoir planté une flèche dans
un ennemi non loin.
Quid des voyages rapides ? Ils sont encore présent, et heureusement mais ils ne sont pas aussi simple que dans Oblivion qui vous permettait dès le début de vous rendre dans les villes principales
en vous "téléportant". Là, il vous faut découvrir le lieu avant de pouvoir vous y rendre par voyage rapide. Si vous souhaitez vous rendre rapidement dans telle ou telle cité, vous pourrez
toujours louer les services d'un "chauffeur" qui se trouve à l'entrée de chaque grandes villes. Si vous voulez découvrir rapidement le jeu, c'est une des premières choses à faire. En parlant de
location, vous pourrez aussi louer les services d'un mercenaire dans une auberge pour vous accompagnez. Il vous servira alors dans les combats mais pas seulement puisqu'il pourra aussi jouer le
rôle de "coffre sur pattes", votre inventaire étant toujours limité par un système de Poids, vous pourrez donc mettre dans l'inventaire du bon bougre ce que vous ne souhaitez pas porter pour
revendre le tout ensuite en ville. Sachez d'ailleurs que l’interaction avec le décors est toujours aussi poussée : vous pourrez prendre/voler la fourchette de la ménagère si ça vous chante
!
Il est important de signaler que le jeu est doté d'un système de Niveau Calibré. Le niveau des PNJs sera modifié en fonction de votre
niveau. Cela n'influe pas sur le fait qu'il vous sera cependant, au début comme à la fin du jeu, beaucoup plus simple d'abattre un pauvre loup plutôt qu'un géant. Cependant certains ennemis comme
les Bandits peuvent alors être carrément remplacés par des Brigands un peu à la manière des vieux Beat Them All type Streets of Rage où les racailles en costume bleu devenaient par la suite des
racailles en costume rouge.
Pour les combats, vous pouvez aborder les choses de différentes manières. Être furtif avec l'arc et cribler les ennemis de flèches sans
qu'ils ne comprennent d'où cela peut provenir parce qu'il faut bien avouer qu'ils sont un peu con-con, être diabolique en utilisant vos sorts ou en invoquant des créatures, être bourrin avec une
bonne grosse massue ou alors un peu plus chevaleresque avec un épée et un bouclier... Vous pourrez bien sûr, là encore, être tout cela à votre guise ! Les combats au corps à corps sont très
dynamiques et même si ils peuvent paraître brouillon, le jeu dispose tout de même d'une légère gestion des dégâts mais ça n'est pas bien développé. Vous ne pouvez pas démembrer l'ennemi si vous
ne débloquez pas une compétence et encore c'est un démembrement très partiel puisqu'il s'agit d'une décapitation qui se déroule durant l'un des éléments de style du combat : la fatalité !!! Pour
faire encore plus rager les puristes, sachez qu'elles se déroulent d'ailleurs en vue à la 3ème personne (comme d'habitude vous pouvez jouer à tout instant en vue à la 1ère ou à la 3ème personne).
Elles sont assez différentes, se déclenchent plutôt aléatoirement et on vraiment de la gueule avec un effet de Bullet Time qui va bien. Et puis, Bethesda l'avait promis, Bethesda l'a fait : le
jeu est vraiment plaisant à parcourir aussi bien en temps que Guerrier que Mage ou Archer (ou les 3). Je vous invite à essayer d'être un archer, vous verrez que c'est assez jouissif.
Au niveau des possibilités, vous avez pas mal de chose à faire mais j'ai un regret, c'est de ne pas retrouver un mode Hardcore à la
Fallout New Vegas avec une gestion de la faim, de la soif et de la fatigue... Pourtant on peut être cuisinier dans le jeu alors c'est vraiment dommage ! Mais je pense que la communauté apportera
un Mod sous peu pour combler les joueurs comme moi, aucun doute là-dessus... et je pense que Bethesda ont eux-même choisi de confier cela aux amateurs afin de sortir le jeu dans les temps, malgré
une fois encore les bugs inhérents à la série mais aussi aux Open World en règle général, les plus gênants étant les crashs, bien sûr, toujours présent mais finalement assez peu
nombreux.
Skyrim est bien un Elder Scrolls avec tout ce que ça implique : vaste et varié avec des possibilités bien poussées, de nombreux
donjons qui ne sont enfin plus des clones les uns des autres, quelques bugs et une très bonne liberté d'action. Au delà de ça, le jeu est aussi bien plus simplifié dans son approche mais là où ça
aurait pu nuire au plaisir de jeu à long terme, c'est l'effet contraire qui se produit. Pour la première fois, on ne se dit pas qu'on veut se refaire un personnage parce que celui que nous jouons
est injouable mais uniquement pour savoir quel impact cela produit dans le jeu de jouer avec telle ou telle race, de choisir tel ou tel élément dans un discours, de tuer ou d'épargner tel ou tel
PNJ... Doté d'une mise en scène des plus épiques The Elder Scrolls V Skyrim possède tous les ingrédients pour entrer dans l'histoire du jeu vidéo comme l'un des plus grands, si ce n'est le plus
grand, RPG jamais crée.
SUPPOS : 5/6
L'AVIS DU DOC (VERSION XBOX 360)
Le gamer PC est peut-être trop exigeant, il annonce un des plus grands jeux de
rôle de tous les temps, si ce n'est le meilleur, mais ne colle qu'un "petit" 5/6. Il faut bien se mettre en tête que ce jeu est totalement open-world, pas simplement dans sa surface de jeu, mais
également, et surtout, dans ses possibilités : vous faites réellement ce que vous voulez, et comme le dit très justement mon cher patient : "Skyrim c'est la liberté d'être ce que le monde de Skyrim contient". On regrettera juste l'absence de gestion de la faim/soif/fatigue, quel
dommage. Donc malgré ses défauts inévitables (bugs, textures pas toujours au top) ce jeu est tellement ambitieux et tellement en
dehors du circuit des daubes commerciales qu'on nous sort toute l'année, que je colle facilement un perfect à la version console. Juste une précision sur la gestion de la barre de vie (non abordé
dans le test) : le niveau de vie remonte automatiquement après chaque coup reçu, certes de manière très lente, mais trop rapidement malgré tout, gâchant un peu l'immersion et le réalisme des
combats. SUPPOS : 6/6