[MICROBIDES] Goldorak (pas) Go !

Publié le par Dr Floyd

[MICROBIDES] Goldorak (pas) Go !

Goldorak (Grendizer pour les intimes) en approche sur nos consoles favorites ?! De quoi réveiller la fibre nostalgique du début des années 80 (voire de la fin des 70'!) chez le Gamopat poilu ! Sauf que ca se passe chez... Microbides, l"éditeur français spécialisé dans les daubes intergalactiques ! Arf ! On regarde quand même le Trailer ? Allez...


Ca ne ressemble à rien... un mélange entre Pokemon et Kakarot ? Gros gros navet en prévision ! Bordel, Goldorak mérite mieux que Microïds.

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Zeta Wing II se montre à nouveau sur C64

Publié le par Dr Floyd

Zeta Wing II se montre à nouveau sur C64

La plus grande star mondiale du homebrew sur C64 (avis personnel que je partage), Sarah Jane Avory, nous a pondu de sacrés jeux ces dernières années. Et elle ne s'arrête jamais : vous savez surement qu'elle bosse actuellement (entre autres) sur la suite du son shoot'em up vertical Zeta Wing. Et elle nous montre aujourd'hui sur Cui-cui quelques nouvelles images qui bougent du stage 3 de Zeta Wing II... qui s'annonce mons-tru-eux !

Je vous laisse, je dois demander Sarah Jane en mariage.

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Raystorm & Raycrisis se compilent !

Publié le par Dr Floyd

Raystorm & Raycrisis se compilent !

Avis aux fans de shoot'em up ! Raystorm x RayCrisis HD Collection passe en mode précommande (pour l'instant sur PS4, mais c'est prévu aussi sur Switch). La compil comprend les deux jeux d'arcade, en version originale ou HD. Sortie le 30 juin prochain.

> Lien vers la préco Amazon

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Tetris, le film !

Publié le par Dr Floyd

Tetris, le film !

j'ai cru au gag en découvrant l'info, imaginant De Niro relancer sa carrière en jouant le role d'un tétromino, s'adressant à un autre tétromino : "You'r tolkin to mi ???" "You'v fuckt my wife ?"... tout est possible désormais dans le cinéma US depuis les conneries d'Avengers. Mais si c'est possible ! Trailer !

Vous l'avez compris, c'est en fait l'histoire de la conception du jeu et de son auteur Russe, Axeley Pajitnov ! Un des jeux les plus célébre du monde avec Super Mario. Et franchement ça doit être très intéressant ! Sauf qu'il faudra être abonné au bouquet de kéké Apple TV+...

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[BROCANTE] Une brouette de jeux Gameboy en vente !

Publié le par Dr Floyd

[BROCANTE] Une brouette de jeux Gameboy en vente !

EnoooOOOOooorme vente de jeux Gameboy japonais sur le forum de Gamopat, par Guiguidu48. Fans de la console, et collectionneurs fous, ne zappez pas cette annonce !

> Lien vers l'annonce

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Ghosts'n Goblins en fait toujours + sur CPC+

Publié le par Dr Floyd

Le nouveau remake de Ghosts'n Goblins sur Amstrad CPC+ progresse encore et toujours, admirez moi cette sélection dingue de screenshots à rendre fou un fanatique pro C64 !

Ghosts'n Goblins en fait toujours + sur CPC+

Putain le graphisme ! Comme dirait hebdogiciel. Ces magnifiques screenshots viennent d'être publiés sur Face de Bouc par les auteurs. Le jeu est prévu pour sortir en démat' et en cartouche (bah oui le CPC+ dispose d'un port cartouche ne l'oublions pas !), espérons pour cette année ? Amstrad vaincra... un jour !

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[TEST] Wonder Boy Anniversary Collection / Switch

Publié le par Fellock

Wonder Boy Anniversary Collection / Switch
Editeur: Bliss Brain
Support: Switch, PS4, PS5
Sortie : 26 janvier 2023

[TEST] Wonder Boy Anniversary Collection / Switch

Depuis 2017 et le fabuleux remake de Wonder Boy : The Dragon’s Trap signé DotEmu, la licence Wonder Boy revient sur le devant de la scène avec notamment le nouvel opus Monster Boy and the Cursed Kingdom, des remakes de Monster World IV et du premier Wonder Boy. L’année dernière, pour fêter les 35 ans de la série, Bliss Brain avait édité une compilation assez radine en contenu, puisqu’elle ne proposait que quatre épisodes. Moins d'un an plus tard, l’éditeur revient avec une version Anniversary Collection, ce qui ne manque pas de faire grincer des dents. À juste titre…

Il était une fois Wonder Boy…

Wonder Boy est une série qui a vu le jour en 1986  grâce à Ryûichi Nishizawa et sa société Escape qui deviendra Westone dont le nom vient du “Nishi” de Nishizawa (qui signifie “ouest”) et du “Ishi” d’Ishizuka, le cofondateur, (qui signifie “pierre”).
Quand Nishizawa a conçu le premier “Wonder Boy”, il voulait un jeu d’action qui mette le joueur sous tension :  “J’avais commencé à faire un jeu de plateforme où le personnage ne pouvait pas s’arrêter, mais c’était trop difficile et je n’arrivais pas à y jouer correctement. Alors j’ai dû le modifier non sans regret. C’est ainsi qu’a été conçu Wonder Boy. D’ailleurs, le skateboard provient du concept de base de l’ancien jeu.” Ce titre est un peu spécial à mes yeux, parce qu'il s'agit du premier jeu auquel j'ai joué sur borne d'arcade. Un café qui faisait aussi épicerie près de chez moi avait cette borne et il m'arrivait d'en faire quelques parties en allant faire une course pour mes parents. Mais bon, j'avais du mal à passer le deuxième niveau à l'époque.

Lors de la sortie du deuxième opus, les joueurs ont été surpris par le fait qu’il ne s’agisse plus d’un jeu de plateformes, mais d’un Action-RPG. Nishizawa s’explique : “Après la sortie du premier Wonder Boy, nous jouions tellement à Wizardry que nous délaissions notre travail. J’ai voulu alors mélanger des mécaniques de RPG à notre prochain jeu d’action.” À noter que Tom-Tom, le héros du 1er opus s’appelle Bocke dans la version japonaise, exactement comme le héros du 2e Wonder Boy.
Vient ensuite Wonder Boy III: Monster Lair qui propose un gameplay beaucoup plus arcade que l’épisode précédent, avec des stages d’action/plateforme et des niveaux de shmups, le tout en autoscrolling. On pourrait penser que le défilement automatique dans cet opus était une revanche sur ce qui n’avait pas pu être fait dans le premier épisode, mais Nishizawa dément : “Le jeu est en autoscrolling, parce que c’est plus simple pour jouer à deux.”

Le boss du niveau 2 de Monster Lair n'est pas si difficile que ça

Le boss du niveau 2 de Monster Lair n'est pas si difficile que ça

Ce ne sera pas avec le 4e épisode que les fans arriveront au bout de leurs surprises, puisqu’il s’appelle aussi Wonder Boy III, mais ce n’est pas tout !  En effet, selon Yosuke Okunari, un producteur de chez Sega à qui l’on doit les Megadrive Mini et les Sega Ages : “Wonder Boy III: The Dragon’s Trap (ou Monster Land 2) débute juste avant le combat contre le dernier boss de l’opus précédent. Ça en fait un titre très spécial.” En effet, ce début original inspirera d’autres jeux comme le mythique Castlevania: Symphony of the Night ou encore l’excellent Gotzendiener sur PC Engine. Au fur de l’aventure proposée par The Dragon’s Trap, notre personnage peut se transformer en plusieurs animaux qui lui offrent diverses capacités pour emprunter de nouveaux passages.
Le 5e épisode qui reprend pas mal d’éléments au 2e sera le dernier à voir le jour en Occident, puisque Sega America et Sega Europe ont décidé de ne pas éditer le 6e volet qui ne sortira que sur les Megadrive nipponnes avant de voir le jour en dehors du Japon pour la première fois sur le PS Store de la PS3 et sur le Xbox Live. Ce titre n’échappe pas non plus à la règle. Pour surprendre les joueurs, les développeurs ont décidé de donner la vedette à une héroïne.

Bref, cette série propose d’excellents titres dont la conception regorge d’anecdotes passionnantes. Je pourrais m’étaler davantage en parlant de la série Takahashi Meijin/Adventure Island qui découle directement du premier Wonder Boy avant de suivre sa propre voix sur consoles Nintendo ou encore des portages PCE avec de nouveaux titres et personnages. Mais on va s’arrêter là et se concentrer sur cette fameuse compilation.

Inutile de vous dire qu'Asha a le feu aux fesses !

Inutile de vous dire qu'Asha a le feu aux fesses !

Du Wonder Boy en veux-tu en voilà

Comme je le disais plus haut, la compilation Wonder Boy Collection qui est sortie l’année dernière ne proposait que quatre titres, à savoir Wonder Boy et Wonder Boy in Monster Land (dans leur version arcade), Wonder Boy in Monster World et Monster World IV (sur MD). Les deux Wonder Boy III sont passés à la (Dragon’s) trappe sans aucune explication. Heureusement, Bliss Brain a décidé de rectifier le tir pour Wonder Boy Anniversary Collection, et de belle manière, puisque cette nouvelle compilation propose les six premiers titres de la licence, mais ce n’est pas tout ! En effet, chaque jeu est présent sous plusieurs versions et c’est un total de 21 versions qui s’offre aux joueurs !
Certaines d’entre elles sont identiques, par exemple, entre la version japonaise de Monster World IV et la version Genesis, il n’y a que la langue qui change (et c’est d’ailleurs une très bonne chose pour les non-nippophones). D’autres proposent des systèmes différents, on pense à la version occidentale de Wonder Boy in Monster World sur Megadrive qui affiche un Game Over en cas de mort et la possibilité de reprendre sa partie dans la dernière auberge qu’on a visitée après avoir relancé sa partie, alors que dans la version japonaise, le joueur est renvoyé dans la dernière auberge qu’il a visitée et il perd une partie de son argent durement gagné. Enfin, d’autres versions sont des jeux complètement différents comme Wonder Boy sur SG 1000, Dragon’s Trap sur Game Gear (ce dernier avait dû être reprogrammé par Nishizawa à l’époque pour coller à l’écran de la portable de Sega), etc. On a donc de quoi faire avec toutes ces versions à découvrir ou à redécouvrir. En termes de contenu, on ne peut être que satisfait de ce qui nous est offert dans cette compilation qui se hisse même au-dessus du Sega Ages series 2500 vol. 29 Monster World qui proposait tout de même, à sa sortie en 2007, les six jeux sur 16 versions sur PS2.

La générosité de cette compilation ne se limite pas qu’aux jeux. En effet, les options proposent tout un tas de paramètres avec notamment la possibilité de configurer les touches et même de créer des raccourcis pour les sorts sur certains titres. Les options de triches et de confort ne sont pas en reste avec le choix du nombre de vies, de la difficulté, les sauvegardes en plein jeu ou encore la possibilité de rembobiner la partie en cas de saut raté ou de l’accélérer quand on cherche à tuer 50 fois le même ennemi pour obtenir des pièces d’or. Enfin, les options d’affichage sont également de la partie. On peut choisir la dimension de l’image et lui mettre divers filtres. Le rendu cathodique est plutôt réussi.

Cet effet télé cathodique est vraiment sympa. On a même l'impression que els coins sont ronds et que l'écran est bombé… comme à l'époque, quoi !

Cet effet télé cathodique est vraiment sympa. On a même l'impression que els coins sont ronds et que l'écran est bombé… comme à l'époque, quoi !

Toutefois, les développeurs ne se sont pas foulés sur les menus qui ne sont pas très folichons, même si on peut saluer la présence du français dans le menu (pas dans les jeux malheureusement) parmi 5 autres langues. On s’y retrouve tout de même assez vite, mais il y avait franchement mieux à faire. Par exemple, chaque jeu est décrit, mais ces descriptions demeurent les mêmes pour toutes les versions d’un même jeu. Il aurait été bien plus intéressant de donner quelques anecdotes de conception et les différences entre toutes ces versions. De même, le sound test répond aux abonnés absents. La musique des menus nous est donc imposée. Mais pour la défense de l’équipe, je dirai qu’elle s’est rattrapée sur les bonus. Entre les diverses illustrations de conception et les notices de presque toutes les versions des jeux présents dans cette compilation, il y a de quoi faire verser la larmichette aux vieux barbus nostalgiques que nous sommes. De même, les développeurs ont créé les cartes des niveaux de chaque jeu. On peut y faire apparaître diverses informations comme les trésors et autres objets cachés. Rien de tel pour découvrir des secrets qui nous ont échappés tout au long de ces trente dernières années !

On aurait préféré des menus un peu plus élaborés

On aurait préféré des menus un peu plus élaborés

Les Wonder boules pour les premiers acheteurs

En résumé, ce Wonder Boy Anniversary Collection est la compilation que tous les fans de Wonder Boy se doivent de posséder. Et forcément, quand je dis ça, je pense aux acheteurs de la version sortie l’année dernière. Nombre d’entre eux ont l’impression d’être les dindons de la farce et je ne saurai leur donner tort. On regrettera l’absence d’effort de la part de Bliss Brain qui aurait au moins pu offrir une mise à jour ou un DLC à 10 ou 15 balles qui aurait permis aux acheteurs de la collection précédente (vendue 29,99 €) d’obtenir la toute dernière version. Que nenni ! Il leur faudra repasser à la caisse et payer le prix fort (49,99 €) pour en profiter. Ce genre de pratique commerciale plus que limite qui pénalise les premiers acheteurs n’encourage vraiment pas les gens à acheter un jeu le jour de sa sortie.
Notons enfin que SLG se réserve la distribution du jeu en occident. Cette compilation va également sortir en format physique sur Switch et PS4 au Japon sous le nom d'Ultimate Collection Wonder Boy, mais elle ne contiendra que les versions japonaises, (8 versions passent donc à la trappe).

L'option "accélérer" permet de fracasser plein de champignons dans Wonder Boy V. C'est peut-être de là que vient l'expression "appuyer sur le champignon"

L'option "accélérer" permet de fracasser plein de champignons dans Wonder Boy V. C'est peut-être de là que vient l'expression "appuyer sur le champignon"

Bref, Wonder Boy Anniversary Collection est la compilation incontournable que tous les fans de la licence attendaient. Malgré l'absence des derniers remakes pour des raisons évidentes, son contenu abondant saura titiller la fibre nostalgique des vétérans tout en étant susceptible d’intéresser les plus jeunes grâce à ses diverses options qui rendent ces titres plus accessibles. On regrettera tout de même un prix un peu élevé ainsi que l’absence d’empathie de l’éditeur envers les acheteurs de la compilation précédente qui se sentiront forcément léses.

SUPPOS : 5/6

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Publié dans TESTS

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[RETROPUB] Crise sociale, crise économique, conflits en Europe....

Publié le par Dr Floyd

C'était vraiment mieux en 1984... il va vraiment falloir que Amstrad relance sa gamme CPC !

[RETROPUB] Crise sociale, crise économique, conflits en Europe....

Publié dans RETROPUB!

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[RETROGAMING] The Legendary Axe 2 / PC Engine

Publié le par Cormano

The Legendary Axe 2 (US) / Dark Legend (JP)
Support : PC Engine
Editeur : Victor Musical Industries
Sortie : 1990
Action / Plateformes 1 joueur

Comme souvent avec les jaquettes PC Engine, le niveau artistique des graphistes de la version US laisse pantois

Comme souvent avec les jaquettes PC Engine, le niveau artistique des graphistes de la version US laisse pantois

Une suite par procuration

Malgré son nom, la parenté avec le premier opus de la série n’est pas flagrante. On est certes toujours dans dans un jeu d’action en scrolling 2D, avec un guerrier qui passe son temps à taper du monstre, mais l’univers et le héros sont totalement différents, de même que le style graphique, l’ambiance, les mécaniques de gameplay. Ça donne fort l’impression d’un jeu qui a été renommé pour coller à une licence dont le premier titre s’était plutôt bien vendu.

D’ailleurs, bien qu’au Japon aussi, l’éditeur Victor Musical Industries l’ait présenté comme une suite, son titre original japonais, "Ankoku Densetsu", qui se traduit par "Dark Legend", est plus adapté au thème, et surtout plus cohérent, puisque la hache, dans ce «The Legendary Hache 2», n’a rien de légendaire et n’est qu’une arme disponible parmi d’autres.

Conan contre les porcs volants

Le jeu nous accueille par une brève cinématique, réalisée avec le moteur du jeu (!), dans laquelle s’affrontent ce qu’on imagine être deux frères prétendants au royaume. L’un est en armure, et l’autre, celui qui a le dessous et chute dans les catacombes, en slip de bête. On incarne bien entendu ce dernier, pas content et bien décidé à retourner dire deux mots au frérot.

[RETROGAMING] The Legendary Axe 2 / PC Engine

Il va falloir taper du monstre pour se frayer notre chemin, on a pour ça trois armes typiques : Epée (moyenne portée / dégâts moyens), Chaîne (longue portée / dégâts faibles) et Hache (faible portée / gros dégâts). On pourra alterner entre elles en chopant leurs items relatifs sur notre route. On possède aussi des bombes qu’on pourra lancer pour éliminer tous les ennemis et projectiles à l’écran, accessibles elles aussi par des items, et stockables jusqu’à dix. Enfin, grâce à des power-up, on pourra gagner jusqu’à quatre niveaux de puissance, des vies supplémentaires qui augmentent notre jauge globale, et des points de vie pour se refaire une santé.

On part donc arme à la main, dans des dédales sombres et glauques, on met parfois les pieds dans des trucs gluants dont il est bien casse-pied de s’extirper en sautillant comme un débile, il y a aussi des passages aux sols inondés, d’autres dans lesquels il faudra sauter de rocher en rocher pour remonter une cascade, ou bien des plateformes constituées de cranes qui s’effritent sous nos pieds…

Et on rencontre bien sûr des ennemis en tout genre : du zombie qu’on coupe en deux et dont les morceaux continuent d’avancer, des insectes volants, des squelettes, des hommes en pagne portant des masques, qui lancent les mêmes bombes meurtrières que les nôtres, des vers géants, des fées qui donnent des coups de pied, des porcs volants, des robots...

[RETROGAMING] The Legendary Axe 2 / PC Engine

Les lieux et les monstres qu’ils contiennent n’ont aucune cohérence logique, mais forment un tout assez harmonieux dans un style kitsch tendance dark assumé et inspiré dans son genre, qui se marie bien aux belles sonorités musicales qui renforcent le côté sombre. On est dans de la dark fantasy façon Conan, avec un personnage qui s’en inspire fortement, dans une version (peut-être?) égyptienne d’après sa coiffure. Mais on est surtout dans un jeu qui sent à plein nez le nanard avec son côté fourre-tout rempli de clichés. En tout cas ces éléments sont au service du gameplay, avec un bestiaire bien exploité pour taquiner le joueur de façon variée et lui demander des approches différentes.

[RETROGAMING] The Legendary Axe 2 / PC Engine

La prise en main est bonne, nos coups partent vite, on fait des sauts démesurés et bizarres mais totalement efficaces, on peut même tuer des ennemis en leur sautant sur la tête façon Mario pour plus de fun. Le jeu est d’ailleurs beaucoup plus réussi que le premier Legendary Axe de ce point de vue.

Les niveaux, horizontaux et verticaux, sans être labyrinthiques, demandent parfois un peu de recherche pour trouver un passage, et permettent de les explorer pour trouver des power-up supplémentaires. Les stages ne sont pas trop longs et se renouvellent bien en proposant des approches et un gameplay différent, rien qu’on n’ait déjà vu dans d’autres jeux de plateformes, mais la variété de l’ensemble fonctionne bien pour ne pas lasser.

Enfin, un mot sur les boss, assez faciles à tuer une fois qu’on a compris le truc, mais qui demandent un peu d’essais avant de le comprendre. Dans l’ensemble le jeu possède une difficulté dans la moyenne d’un titre de l’époque : pas «facile» mais tout à fait faisable avec un peu de patience. Il n’est d’ailleurs pas très long (dans les 30 minutes quand on le connaît) et assez généreux en items et en continue qui permettent de recommencer sur le dernier niveau.

[RETROGAMING] The Legendary Axe 2 / PC Engine

The Legendary Axe 2 vs Dark Legend

On peut voir «The Legendary Axe 2» comme un titre de série B qui traîne au milieu de cartouches plus ou moins anonymes, une simple semi-suite au nom emprunté pour de basses raisons de marketing. Pour ma part j’ai plutôt vu un très honorable «Dark Legend», dans sa noirceur kitsch un peu ridicule mais attachante. Un jeu qui a pour lui un univers personnel et de superbes exploitations de la sonorité de la PC Engine, qui lui confèrent une ambiance bizarre et envoûtante. Avec un gameplay plus que correct pour le genre, un bon rythme et une difficulté bien dosée, et sans défauts majeurs.

Fan de jeux de barbare à la Conan, c’est peut-être mon titre préféré du genre, j’ai passé un excellent moment dessus jusqu’à son final bien nanardesque comme il se doit, et j’y reviendrai certainement.

SUPPOS : 4/6
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BONUS :
Pour tout savoir sur le mystère de la femme à poil, allez consulter le "spoiler" sur le forum :
https://www.gamopat-forum.com/t118842-test-the-legendary-axe-2-us-dark-legend-jp-pc-engine

Publié dans RETROGAMING

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Oh le jeu de cochon sur C64 !

Publié le par Dr Floyd

Oh le jeu de cochon sur C64 !

Voilà, on y est ! Un des jeux les plus attendus sur Commodore 64, est enfin arrivé ! Un jeu de cochon ?  Non non désolé, ce n'est pas un jeu de fesses, calmez-vous. A Pig Quest, superbe jeu de plateforme-aventure (200 écrans !) signé Protovision, est enfin disponible en téléchargement sur itch.io, au prix de 9,99 boules. Un des plus beaux jeux jamais vu sur la Rolls (?) des micros 8bit.

Publié dans RETRO NEWS

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[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Publié le par Killvan

MEGAMAN 3
Support : Gameboy
Editeur : Capcom
Sortie : 1992 (Japon)

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Tout commence par un appel à l’aide à Megaman.

"Appel à Megaman ! Appel à Megaman! Répondez Megaman!"
"Notre code rouge nous signale un état d'urgence sur la cote Nord. Le Dr Wily s'est emparé d'une plate-forme pétrolière et perfore la croûte terrestre.
Il a l'intention de détourner l'énergie générée par le magma terrestre pour alimenter sa dernière monstruosité robotique.
Vous devez vous atteler à cette nouvelle mission et réduire ce robot à néant"

"Mes sources d'informations disent que le Dr Wily a remis en état huit de vos anciens adversaire. C'est pourquoi je vous envoie Rush et Flip-top.
Allez, en route et bonne chance"

"Message terminé".

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Histoire :

Huit robots master revenus des limbes vous font de nouveau face. Bien entendu comme dans chaque épisode sur Game Boy seulement 4 boss sont accessibles au début du jeu, puis vient une séquence intermédiaire ou vous serez amenés à infiltrer le QG de Wily pour enfin arriver à l’écran de sélection des 4 derniers boss…
Ces 8 boss nous viennent tout droit, pour moitié, de Megaman 3 sur NES (à savoir Spark Man, Gemini Man, Snake Man et Shadow Man) et de Megaman 4, toujours sur NES ( Drill Man, Skull Man, Dive Man et Dust Man).
Wily est secondé par un redoutable chasseur, j’ai nommé Punk ! Il vous faudra d’abord en triompher avant d’aller bastonner du Doc.

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Jouabilité/ combat :

La série des Megaman est avant tout réputée pour nous offrir une jouabilité très travaillée, et cet opus fait honneur aux précédents. Megaman demeure facile à prendre en main et notre héros répond au doigt et à l’œil à vos actions.
Le système de combat demeure identique, vous devez faire tout un niveau parsemé de petits ennemis et d’embûches afin d’arriver à la salle du boss, ce dernier étant évidemment bien plus fort que les ennemis rencontrés préalablement. Battre un boss vous demandera souvent un peu de ruse, par expérience je recommanderai donc aux néophytes, quitte à perdre une vie, à bien observer les gestes et les déplacements des boss afin de trouver la meilleure stratégie pour les dégommer.

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Graphismes :

Les graphismes ont été revu quelque peu à la hausse par rapport au précédent opus, les décors sont moins vides et cela n’empêche nullement une bonne visualisation du jeu. Le jeu a été conçu par des développeurs qui ont mis l’accent sur la clarté du soft et le travail demeure très réussi.
A noter quelques animations sympathiques, tels que l’attaque de la forteresse de Wily ainsi que celle de la plateforme pétrolière.
Les graphismes et les animations des ennemis et les boss ont été aussi bien travaillés que leurs équivalents sur NES.

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Sons :

Comme d’habitude sur Game Boy le son n’est à recommander qu’aux amoureux des musiques de l'époque… Sinon les thèmes, repris directement des opus de la NES sont très bons et peuvent vous plonger dans l’action si bien sûr en fan que vous êtes vous aimez les thèmes mégamaniesques.
Les bruitages valent ce qu’ils valent : il est impossible d’exploiter davantage les capacités sonores de la Game Boy en terme de bruitages.

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Durée de vie/ Difficulté :

La durée du vie est très bonne. Le jeu nous propose 10 niveaux, et croyez moi, il y a de quoi faire !
Un grand merci à Capcom pour avoir rehausser la difficulté ! En effet celle-ci faisait grandement défaut dans l’opus précédent. Là on a quelques passages qui demanderont une grande dextérité de votre part. Notamment quand il s’agit d’éviter les mines qui parsèment le niveau de Dive Man…
Bien entendu on peut toujours collecter les e-tanks, ce qui est même recommandé pour progresser sereinement dans le jeu.
Le système de codes répond toujours présent, ce qui vous sera grandement utile quand il s’agira de vous relaxer entre 2 passages bien prise de tête. Attention, il n’y a plus de codes sitôt les 8 premiers boss vaincus ! Les continues sont infinis, je vous rassure…
On peut tabler sur quelques heures de jeu (une dizaine) pour un néophyte, quand aux joueurs plus expérimentés on pourra tabler sur 1 ou 2 heures pour le finir…Mais bien sûr comme tout grand fan de Megaman que vous êtes vous le referez plusieurs fois pour votre plus grand plaisir !

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Evolution :

Les graphismes quelque peu enrichis sur cet opus ne sont pas la seule évolution notable dans ce Megaman, l’apparition du mega buster pour la première fois dans un opus Game Boy apporte un plus non négligeable (quel plaisir de lâcher enfin autre chose que des tout petits missiles pour venir à bout de ses adversaires !)
Sinon Capcom nous ressert pour la 3ème fois la même formule que pour les deux précédents opus, bien sûr certains joueurs pourront être gagnés par la lassitude, quand aux autres ils en demanderont toujours plus !

[TEST RETRO] Megaman 3 / Gameboy

Les +
Jouabilité faisant honneur à la série.
L’ajout du Mega Buster, très jouissif.
Le retour de la difficulté.

Les –
quelques rares ralentissements quand trop d’ennemis sont présents à l’écran
les sons et musiques dans leur ensemble (bien que les capacités de la Game Boy ne peuvent permettre bien mieux)

Megaman 3 est, encore à ce jour, une référence pour moi parmi tout les hits plateformes qui existent, sur consoles portables. Ce 3ème opus apporte son (petit) lot de nouveautés (telles que l’apparition de Punk, ou encore celle du Mega Buster) et cela est loin d’être négligeable. Il fait honneur à la première génération de Game Boy et s’impose comme une valeur sûre aux cotés des Mario et autres stars de la plateforme.
Megaman 3 redore le blason de la série, qui s’était vu amputer de sa difficulté légendaire dans le précédent opus. Certains niveaux sont bien difficiles, tels que les niveaux de Dust Man et autre Dive Man, l’auteur de ce test ayant perdu un paquet de vie dans ces niveaux ! Un Megaman qui séduira autant les néophytes que les passionnés de la première heure.

Graphismes : 8/10
Animations : 7/10
Maniabilité : 9/10
Son : 6/10
Intérêt : 8/10

SUPPOS : 5/6

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Publié dans RETROGAMING

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[INTERMISSION] Stop Right Now !

Publié le par Fofo.Rider

Je pense que tout gamer Amstrad de 1986 aura reconnu la chanteuse ?

Publié dans HOT!

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