La PSP 2 envoie l'homme sur Mars...

Publié le par Dr Floyd

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... ou même guéri le cancer, car le site MCV affirme que la future console de Sony serait presque aussi puissante que la PS3 ! Non mais vous vous rendez compte ! Le futur dans votre poche ! D'ailleurs le rédacteur en chef du site a depuis quelques jours "gagné" un superbe écran Bravia dans son salon.

Autre chose : elle serait "compatible avec les supports physiques", bon là on attendra d'en savoir plus... sûrement le 27 janvier prochain où le monstre de puissance sera présenté, pour une sortie probable fin 2011.

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Nintendo 3DS : le plat de résistance !

Publié le par Dr Floyd

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Si Nintendo nous a dévoilé un line-up japonais assez moyen pour la Nintendo 3DS, la fameuse console qui va vous faire perdre la vue, ils essayent maintenant de se rattraper en dévoilant ce qui va sortir les semaines suivantes :


  • Pro Baseball Famisuta 2011 – 11 mars
  • Super Monkey Ball – 11 mars
  • Gundam The 3D Battle – 24 mars
  • BlazBlue Continuum Shift 2 – 31 mars
  • Asphalt 3D Nitro Racing – mars
  • Pro Baseball Spirits 2011 – mars
  • The Sims 3 – marsh
  • Tsukurou Ponta no Gardens 3D – mars
  • Shanghai 3D Cube – mars
  • Naruto Shippuuden Nin Rittai Emaki! Saikyou Ninkai Kessen! – mars
  • Virus Shooter XX – mars
  • Steel Diver – mars
  • Nikoli Puzzle – mars
  • Dead or Alive Dimensions
  • Splinter Cell 3DS
  • Raving Rabbids (Les Lapins Crétins)


Huuum, j'hésite entre Les Sims 3 et les Lapins Crétins.... Bah finalement c'est pas plus mal que la console soit zonée, parce que qui va importer ces daubes ?

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[RANDOMIZE] Shadow of the Beast, un jeu de kéké sur Amiga

Publié le

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En 1989 les fans d'Amiga se la pètent avec un jeu tout fraîchement édité par Psygnosis : Shadow of the Beast. Techniquement hallucinant, le gameplay de ce jeu s'avère cependant très décevant, générant des débats interminables entre les pro-Amiga et les Ataristes : est-ce un jeu ou une démo technique sans intérêt ?


> Lire le test

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Carnival : un jeu cochon ?

Publié le par Matth51

Aviez-vous déjà remarqué ce petit détail sur la notice du jeu Carnival de CBS & SEGA sur Atari VCS ?

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Croco-News

Publié le par Monsieur Sucre

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D'après différentes sources, Sony devrait présenter la PSP 2 le 27 janvier prochain à Tokyo. Ils n'ont de toute façon pas trop le choix face au déferlement médiatique autour de la Nintendo 3DS.

Même Bungie cède à la tentation du développement sur téléphone portable : sous iOS, Android et Windows Mobile. Ils sont à la recherche actuellement d'un Senior Mobile Application Programmer. Ne pensez pas à Halo, Bungie a abandonné la licence en filant chez Activision.

Ça y est c'est fait : l'application Playstation pour mobile (iOS et Android) est désormais disponible en téléchargement, gratuitement bien sûr. Vous allez pouvoir consulter vos trophées sur iPhone et savoir si vos amis kéké-gamers sont connectés sur leur PS3. Whaou.

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Gran Turismo 5, plus réel que la réalité ?

Publié le par Dr Floyd

Fini les humiliations vidéo pour Gran Turismo 5 : Sony a décidé de réagir et nous balance un comparatif entre la version GT5 du circuit de Nürburgring et une vidéo réelle. Alors on la ramène moins les pro Forza ?


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[RETROGAMING] Ayrton Senna's Super Monaco GP II / Megadrive

Publié le par Ouais Supère

Ayrton Senna's Super Monaco GP II
Support: Megadrive
Existe aussi sur Master System et Game Gear
Editeur: Sega
Développeur: Sega
Sortie: 1992

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Lorsqu'après des semaines de tannage intensif, ma mère consent à laisser choir Ayrton Senna's Super Monaco GP II dans son chariot Leclerc (à 12 ans, on croit vraiment que nos parents ne sont pas à 490 francs près), en moi s'insinue un sentiment proche d'une certaine plénitude qui me fait me demander un instant si mes deux pieds touchent bien encore par terre. Vérification faite, c'est bien le cas puisque ceux-ci me permettent, actionnés de façon parfaite et alternative, de franchir l'espace qui sépare l'entrée du parking de notre Renault 18 avec une rapidité qui m'effraiera moi-même (« M'man dépêche-toi!! »).

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Et pourtant, à cette époque, s'il en est un que je hais au milieu des héros de ma passion pour la F1 (qui dès le GP de Monaco 1992 laissera le football plusieurs longueurs en arrière, et ça dure depuis), c'est bien Ayrton Senna da Silva. Pour de mauvaises raisons, celles d'un gamin franchement chauvin qui sait qu'il est l'ennemi juré d'Alain Prost, « l'un des plus grands (oui, enfin...) Français qu'on ait eu du monde », et qui s'est pris de fanatisme pour un moustachu Anglais et sa sublime Williams FW14 à moteur Renault (et cocorico encore). Il faudra 1994, lorsque ces deux héros furent en retraite et qu'il ne restait plus que le Brésilien à qui s'accrocher face à un Schumacher que je n'aimais guère, et ce foutu 1er mai passé pour moitié à retenir mes larmes, pour me faire réaliser l'immensité de ma connerie.


Mais de ce titre à rallonge, je ne retenais en fait que trois mots : Super Monaco GP. J'avais eu le loisir de voir les grands jouer à cette borne alors fabuleuse. Je n'avais jamais passé le cap de l'insertion de pièce pour cette raison: ce siège baquet, ces graphismes, cette vitesse hallucinante, assurément ce jeu était pour les adultes, pas pour un gosse comme moi. Plus tard, possesseur d'une Megadrive, je me sentais enfin autorisé à m'y essayer dans sa version console. Que je n'ai jamais trouvée, d'ailleurs, mais peu importait puisqu'entre temps était sorti ce second opus.

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Une sortie en terrain conquis, d'ailleurs. La Super Nintendo arrive en Europe, mais son F1 Exhaust Heat qui promet déjà de dégueuler son mode 7 directement sur les pompes des Sega-maniaques, n'est prévu que pour plus tard, F1 Pole Position seulement en projet, ce qui, en attendant, laisse toute latitude à ce Super Monaco GP II pour se succéder à lui-même. Est-ce pour cette raison, renforcée par le pouvoir attractif d'une supervision (non, pas la console portable) par un charismatique triple champion du monde de F1 (Ayrton Senna, il faut le savoir, était un dieu vivant, au Japon) qu'il ne demeure qu'une mise à jour de son prédécesseur?

Car, en effet, si ce jeu fut parfois accueilli un peu fraîchement, malgré son indéniable qualité, par la critique vidéoludique, le reproche principal qui lui fut adressé n'est pas sans fondement. Si Super Monaco GP pouvait être considéré comme « en avance » lors de la parution de son adaptation Megadrive en 1989 (quoi qu'un petit Indianapolis 500 sur micro...), en 1992, ce n'était clairement plus le cas et l'on était en droit d'attendre mieux, si ce n'est (ou plutôt « non seulement ») techniquement, au moins pour ce qui concerne le contenu. Au lieu de ça, un mode Senna GP constitué de trois circuits choisis et commentés par Ayrton Senna lui-même remplace l'ancien Super Monaco GP pour ce qui concerne la partie « arcade » de la cartouche, et le mode World Championship ne s'enrichit que d'un mode débutant et d'une possibilité de sauvegarde par pile. C'est à dire pas grand chose. Toutefois, si ce dernier détail peut sembler anodin, il faut savoir que les sauvegardes du premier opus consistaient en un mot de passe de 64 caractères. Oui, j'ai bien dit 64 caractères, à noter (à une époque où on ne pouvait pas encore dégainer son iPhone pour prendre l'écran en photo), et évidemment à retranscrire lors de la reprise d'une partie. Il devait y avoir des moments où la tentation d'enfourner la cartouche dans le fion de Maître Sega devenait irrépressible.

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Si le mode Senna GP, à mon sens, notamment à cause de la faiblesse du challenge qu'il constitue, n'offre que peu d'attraits, le mode Championnat, pour semblable qu'il soit à celui du premier Super Monaco GP, demeure excellent. On retrouve avec malice, puisque ce jeu n'est pas sous licence officielle, les noms transformés de quelques uns des véritables pilotes de la saison 1991, ainsi que ceux, déformés, des écuries engagées : Madonna pour McLaren, Firenze pour Ferrari, Minarae pour Minardi, etc, ainsi que, pour faire le nombre, Serga pour... Sega ?!
Euh, attendez, stop.
Ça voudrait dire que Sega n'a même pas eu la licence pour utiliser son propre nom ?

On imagine le brainstorming chez Sega:
« - Chef, on commence à être à court de noms détournés pour les équipes, si on rajoutait un team Sega pour faire le nombre ?
- Non attendez, faites gaffe, les mecs, déconnez pas, on a pas la licence, si vous plaisantez avec ça c'est le chômdu pour toute l'équipe dans l'heure qui suit...
- … Euh... D'accord. »

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A chacune de ces écuries correspond une voiture aux caractéristiques propres, et, évidemment, plus celle-ci est haut dans la hiérarchie, plus elle est rapide et plus vous aurez de facilité à vous mêler à la lutte pour les gros points. Mais s'il est possible de quitter une écurie moyenne pour les sirènes d'une meilleure, n'oubliez pas que le risque demeure de vous faire lourder en cas de contre-performances répétées. Assurez-vous donc, avant d'accepter les alléchantes propositions qui vous seront faites, que vous êtes capables de régularité dans la performance. De même, les mécano qui vous accueilleront à la descente de voiture seront aussi prompt au reproche qu'au compliment, et vous songerez parfois que vous étiez bien plus à votre aise dans la piteuse écurie Moon, où quoi qu'il arrive votre staff accablait la voiture, que dans ce superbe top team qui ne vous pardonne pas grand chose. D'ailleurs, afin de bien faire le tour du jeu, je trouve pour ma part extrêmement amusant de commencer par me faire renvoyer des équipes huppées pour tenter de l'emporter avec une F1 de bas de tableau. Enfin, il est à noter que le système de défis vous permettant de soigner votre cote auprès des team managers est conservé dans ce Super Monaco GP II.

Techniquement, les améliorations sont faméliques, certes. Tout juste les graphismes paraissent-ils un peu plus fins, peut-être, que dans le premier opus. En revanche, là où l'intérêt d'avoir accolé le nom d'Ayrton Senna à ce titre est palpable, c'est qu'il nous donne droit à de superbes photos digitalisées du champion. L'animation est excellente, fluide, rapide, et, couplée à une profondeur de champ parfaite, rend le jeu tout à fait immersif (comme pouvait l'être un jeu de F1 à l'époque, bien entendu). La maniabilité est impeccable, au bémol près que, à titre personnel (et merci le pad Megadrive), j'ai toujours eu de grosses difficultés, dans les virages, à n'appuyer strictement que sur « gauche » et « droite », et plutôt tendance, inconsciemment, à naviguer de « gauche-bas » à « bas-droite ». Dit comme ça, ça ne vous parle peut-être pas, mais il faut savoir que « bas » et « haut » servent, selon la configuration, à monter ou descendre les rapports, et que du coup il me faut systématiquement régler la manette pour que « bas » serve à passer la vitesse supérieure plutôt qu'à rétrograder, car rétrograder dix fois par tour de façon involontaire est absolument insupportable, nerveusement, parce que ponctué d'une grondement sonore immonde censé exprimer le sur-régime moteur. D'ailleurs, passons rapidement sur le son, médiocre, et peu réaliste, mais précisons qu'une nouvelle fois Ayrton sauve la mise par sa voix, digitalisée elle aussi, et dont l'accent Brésilien reconnaissable entre mille apporte le proverbial petit supplément d'âme à coup de « congratulations », « keep it up » et autre « final lap ».

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En ce qui concerne la difficulté du jeu, il faut avouer qu'elle est réduite. 90% des virages se passent à fond absolu pour peu que l'on se mette bien à l'intérieur, et les autres ne nécessitent qu'une rétrogradation sauvage sans même décélérer, ce qui, dans la réalité, donnerait lieu à de sublimes et étincelants envols de culasse. La pluie (très jolie), qui, c'est nouveau, s'invite sur certaines courses, ne modifie pas fondamentalement (voire... pas, tout court) le comportement de votre auto, ce qui est dommage car le moyen était tout trouvé pour relever quelque peu le challenge. Percuter les éléments du décors est toujours aussi peu pénalisant, et il faut vraiment le vouloir ou bien être distrait pour aller faire valser la traditionnelle roue qui casse dans le bas-côté, grand classique des jeux de F1 de l'époque, et qui fait systématiquement se demander si les concepteurs ont vraiment déjà vu la tronche d'une F1 qui heurte un muret (à deux ans près, ils auraient pu demander à Senna, tiens).

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Alors, oui, Ayrton Senna's Super Monaco GP II n'est pas très difficile. Oui, il n'est qu'à peine une mise à jour de son prédécesseur, qui accuse pourtant trois ans de plus. Oui, il est plus que probable qu'il ait joué de l'aura du triple champion du monde de F1 Brésilien pour se tailler un succès facile. Pour autant, il m'est impossible, à moins de me renier totalement, de ne pas prendre la défense de ce jeu. Quand bien même il a évidemment souffert des évolutions technologiques ultérieures (les simulations de course automobile -les simulations tout court, d'ailleurs-, vieillissent vite, très vite, parce qu'elles sont basées sur une imitation de la réalité, et que la réalité s'imite chaque jour mieux que la veille), j'ai pris un plaisir énorme à m'y replonger. Le caractère immédiat et agréable de sa prise en main en font un défi qu'il est bien agréable de relever de temps en temps. Par ailleurs, il est un fait qu'il est resté, sur Megadrive, à peu près inégalé jusqu'à l'extinction de cette console, le F1 de Domark (l'adaptation déguisée de Vroom) constituant, à mon sens, sa seule alternative valable. Et, enfin, c'est sans doute là son principal attrait, il est empreint de la fameuse « patte Sega », aujourd'hui reléguée au rang des lointains souvenirs par ceux même qui prétendent perpétuer son nom, ce feeling arcade et éminemment ludique qui fait qu'il est impossible de le confondre avec n'importe quel autre jeu du même genre.


« Nice driving », crachote Ayrton Senna depuis les cieux de son repos éternel au travers des minces processeurs sonores de l'élégante 16 bits. Il a tout dit.

SUPPOS : 5/6

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La France, l'autre pays du jeu vidéo...

Publié le par Dr Floyd

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On le sait, les français sont considérés comme des spécialistes du jeu vidéo, les hardcore gamers on les trouve chez les fromages qui puent et nulle part ailleurs. Et le top des jeux achetés par les frogs fin 2010, publié par GfK, démontre à nouveau nous n'avons à recevoir de leçons de personne, jugez plutôt :


TOP 52e SEMAINE 2010 FRANCE - JEUX CONSOLE
1. Call of Duty Black Ops
2. Just Dance 2
3. Gran Turismo 5

TOP 52e SEMAINE 2010 FRANCE - JEUX PC
1. Les Sims 3
2. Call of Duty Black Ops
3. Les Sims 3 Accès VIP


On en reste sans voix.

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[FLASH-BACK] AHL, les initiales d'une "légende" du jeu vidéo

Publié le par Dr Floyd

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AHL
, trois lettres qui ne diront rien aux jeunes bytos imberbes, mais que connaissent bien les vieux barbus des années 80. Alain Huyghues Lacour, pigiste pour le célèbre Magazine Tilt de 1987 à 1990 il participera activement à sa déchéance en dénigrant tous les meilleurs jeux consoles de l'époque pour favoriser les daubes immondes sur Amiga ou ST... Il fallait bien remercier l'éditeur Ocean qui inondait les pages de belles publicités pour jeux micro !


En effet à cette époque Tilt pense que le jeu vidéo sur console est mort et descend systématiquement chaque jeu sur ce support, et même tous les jeux mythiques qui ont plus de 2 ou 3 ans. Vous voulez un exemple édifiant ? Pour ses débuts chez Tilt voici ce que pense AHL de Galaga sur Nes :

GALAGA / NES
" Les japonais doivent vraiment nous prendre pour des arriérés pour nous envoyer leurs fonds de tiroirs. Note : 3/20 "

Galaga, un des plus grands jeux de l'histoire, noté 3/20... Ça fait peur. Et chez Tilt à cette époque un test flash c'est 3 phrases. Comment voulez-vous qu'un magazine survive à de telles inepties ??? Tout ça pour vous dire que ce AHL survit aujourd'hui sur Gameblog, concurrent direct de Jeuxvidéo.com dans la course au site le plus kéké-gamer de la toile, et que Monsieur ose donner des conseils à tous les joueurs consoles d'aujourd'hui... C'est notre Michael Pachter à nous quelque part non ?! Le tout en compagnie du gogo de service, Cyril Drevet, le fils de Patrice (celui qui nous conseillait d'acheter des To7 à la télé dans les années 80...). Les deux font vraiment la paire.

Publié dans FLASH-BACK

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Comment résister à Mario Kart 3DS ?

Publié le par Dr Floyd

Ok la Nintendo 3DS ressemble à un croque-monsieur, ok le line-up est finalement assez moyen, ok le prix de la console et des jeux est élevé, ok la 3D c'est pour les kékés, ok la batterie est trop faible... Mais bordel de sprite, comment résister à Mario Kart 3DS si celui-ci sort bel et bien en 2011 ?!

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Kinect Hardcore Gamer

Publié le par Dr Floyd

Kinect, ça n'a rien à voir avec la Wiimote du casual ou le Playstation Move du kéké, Kinect c'est pour les hardcore gamers ! Des pros du jeu vidéo aux reflexes aiguisés qui sont capables de se surpasser et qui réagissent au quart de seconde face à n'importe quelle situation. La preuve en images :

Publié dans HUMOUR

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PS3 : Le planning Sony de 2011

Publié le par Dr Floyd

Avant d'envisager d'aller sur Mars ou de guérir le cancer grâce à la surpuissance de la PS3, Sony va quand même encore proposer quelques jeux en 2011 pour alimenter sa console. Voici la liste actuelle avec les dates de sortie estimées :

  • Ar tonelico Qoga: Knell of Ar Ciel (mars 2011)
  • Hyperdimension Neptunia (février 2011)
  • The Ico and Shadow of the Colossus Collection (printemps 2011)
  • inFAMOUS 2 (2011)
  • Journey (2011)
  • Killzone 3 (22 février 2011)
  • The Last Guardian (fin d'année 2011)
  • LittleBigPlanet 2 (18 janvier, 2011)
  • MLB 11 The Show (8 Mars 2011)
  • MotorStorm Apocalypse (printemps 2011)
  • No More Heroes: Heroes’ Paradise (automne 2011)
  • PixelJunk Shooter 2 (2011)
  • PlayStation Move Heroes (printemps 2011)
  • Ratchet & Clank: All 4 One (automne 2011)
  • Resistance 3 (6 septembre 2011)
  • SOCOM 4 (2011)
  • Sorcery (2011)
  • Twisted Metal (2011)
  • UNCHARTED 3: Drake’s Deception (1er novembre 2011)
  • Yakuza 4 (15 mars 2011)


Bon ok beaucoup de suites, trop de suites, mais deux jeux qui devraient faire parler d'eux : Journey et The Last Guardian. A noter le retour sympa de Twisted Metal et la fameuse compil HD Ico + Shadow of the Colossus.
Les kékés eux n'auront de yeux que pour Uncharted 3, Killzone 3 et InFamous 2.

A Microsoft de faire mieux, mais actuellement aveuglés par le succès casual du ridicule Kinect, je ne suis pas trop confiant !



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