Je ne sais pas pourquoi je vous passe cette vidéo, sûrement parce que ce patient est un grand malade, et qu'il a besoin de soins ?
Quitte à faire des conneries pareilles il devrait se porter volontaire pour Fukushima... il pourrait beugler avec son Karcher à essayer de refroidir la centrale...
MICKEY MANIA Support : Super Nes Existe également sur Megadrive et MegaCD Éditeur : Sony Imagesoft Développeur : Traveller's Tales Sortie : 1994
Finir Mickey Mania en une seule vie et en mode difficile tout en causant à sa copine ? Une formalité pour notre gamopat fou, Psyhodelik
? Va t-il réussir son nouveau pari ? Retour en tout cas sur l'un des plus beaux jeux de plateforme de la génération 16/32 bits !
PES dans un line-up, sur une console 3D relief, et pour la première fois en cartouche (si on excepte les versions bas de gamme
sur DS qui n'ont pas grand chose à voir avec le vrai jeu). Cela suffit à me décider à en faire l'acquisition sans réfléchir ! Attention danger : je suis un pro-PES anti-FIFA
;)
Et d'entrée, avant même de jouer, on comprend aussitôt que c'est un jeu de line-up : pas d'intro vidéo, titre du jeu sans effet relief,
menus ridicules voire honteux car pas adaptés à la console : on peine à distinguer les logos et textes, c'est tout de même limite scandaleux ! Aussi des temps de chargements apparents
(rapides certes mais ils auraient pu être caché !) et des modes de jeux limités : amical, champion's league, ou carrière. Par contre pas de soucis niveau équipes disponibles et nombres de stades
(25). Vous êtes déçu ? Oui mais bon c'est PES, et PES restera toujours PES...
Et cela reste donc un très bon jeu de foot, je ne vais pas vous refaire le test du jeu, tout le monde connaît, on est ici quelque part
entre les versions PS2 et les versions "next-gen" en terme de gameplay. Une version qui est axée sur le spectacle et l'attaque, avec une IA assez costaud en mode normal. La perte par rapports aux
versions PS3 ou X360 vient essentiellement du manque de possibilités de dribbles. C'est un plaisir que de jouer au "vrai" PES sur une console portable de Nintendo avec un vrai stick
(convaincant), des commentaires et une réalisation de qualité. Seuls bémols : la prise en main un peu pénible du fait de la gestion des gâchettes L et R, on fatigue assez vite, et la
map située sur l'écran du bas, et qui de ce fait sert assez peu, car trop éloignée de l'action.
Revenons sur la réalisation. Celle ci se situe aux alentours de celle de PES sur Wii, mais en tout cas au dessus des versions PS2 et bien sûr PSP. Les graphismes sont d'une
finesse surprenante (finesse renforcée en 3D), le jeu est fluide, et les visages sont étonnants. La bande son est correcte, avec des chants de qualité et des commentaires corrects. Bon après
l'absence de détails et d'animations autour du terrain, c'est hélas la marque de fabrique de PES (et de FIFA pour ne pas faire de jaja)... Enfin les différentes vues ne servent à rien et il
faudra se contenter de la vue "tv" habituelle, mais bon de toute façon c'est la seule potable pour devenir un bon joueur.
Et la 3D relief dans tout ça !? Et bien... on s'en passera, sauf à posséder une vue extra-terrestre. Car même si la vue s'adapte au bout de quelques secondes pour un résultat convaincant, le
moindre corner, changement de plan, ou coup d'oeil sur la map, vous oblige à vous reconcentrer pour "récupérer" cet effet 3D, et c'est finalement très pénible. Certains supporteront, moi
pas. C'est malgré tout frustrant de s'en passer car je vous promet que le résultat est convaincant quand la vue est bien calée
Ce premier PES sur 3DS souffre du symptôme des jeux de line-up : manque de finition, manque de modes de jeux. Aussi la 3D dans ce jeu n'est pas vraiment
indispensable, voire gênante, et la prise en main très délicate, même si le stick répond à la perfection. Cependant il faut relativiser car il devient malgré tout le meilleur jeu de foot jamais
produit sur une portable Nintendo.
L'article consacré à la comparaison de TOS/Amiga OS a fait couler beaucoup de pixels... L'Amiga largement
supérieur à l'Atari ST ? Huhu beaucoup le contestent, notamment notre patient Oiseau de Proie, qui a rebranché son vieil Amiga pour tenter une opération très délicate : formater une disquette !
Oui ok c'est très simple sur Atari ST, mais sur Amiga ?
Oiseau de Proie, ta mission : formater une disquette Amiga ! Go ! Go ! Go !
La première étape fut la recherche de mon Workbench dans mes 5 coffrets de disquettes... Pas de bol elle se trouvait dans le dernier...
Il s'agit du Workbench 1.3.2.
Deuxième étape, j'allume la machine et je chronomètre le temps mis pour arriver sur le bureau. Premier choc : 2 min 26
secondes!!! (j’ai recommencé 3 fois pour être sûr). En plus je suis magnanime, je n'ai pas compté la recherche de la disquette du Workbench....
Premier constat et première barrière, la langue qui s'offre à moi ! Le bureau est en anglais et je ne vois pas de commande
''Format'' à défaut du verbe formater dans le menu. En fait c’est assez cocasse quand on sait que l’étiquette sur la disquette mentionne que vous avez une version française/belge du système
d’exploitation; peut-être que les américains de chez Commodore pensaient que dans nos pays on parlait anglais et pas français ? Au passage je me dis : "tiens où est la corbeille ?!"
Deuxième choc, le bureau m'indique qu'il ne reste plus que 362912 octets de mémoire sur les 512ko de base !Avant de formater je décide d'aller voir par curiosité ce qu'il y a dans le RAM disque présent sur le bureau... J'ai le droit à un bon chargement
(sic !) avant de pouvoir observer les infos. Je ferme la fenêtre et là je constate que j’ai perdu de la mémoire, il ne me reste que 349144 octets. 12Ko disparu, envolé, il n’a pas restitué ce
qu’il avait emprunté le sagouin !!!
Encore par curiosité j'ouvre le Workbench, le chargement est long et les icônes apparaissent dans le désordre, une à une et ne sont
même pas alignés, de plus la couleur du fond de la fenêtre est identique au bureau, on a l'impression que les icônes ne sont pas dans la fenêtre mais sur le bureau, c'est un beau bordel...
Ah bah tiens, voilà ma corbeille !
Et oui la corbeille sur Amiga n'est pas sur le bureau mais dans la fenêtre du programme (sic !), par conséquent si vous voulez
supprimer un fichier et que la corbeille se trouve hors-champs, vous ne pourrez pas faire de drag & drop !Il faudra d'abord
la chercher en priant que le fichier à supprimer soit à coté visuellement, sinon il faudra passer par le menu pour supprimer le fichier ! Plus anti-ergonomique tu meurs...
En fait l’Amiga OS c’est le seul système d’exploitation de la planète où tu cherches la poubelle...
Bref revenons au but de l'exercice, le formatage ! Je retire la disquette du Workbench, tiens, l'icône Workbench reste sur le bureau
?! Je clique dessus, peut être qu'il a gardé des outils en mémoires (cool), il me demande de réinsérer la disquette... (Cancel évidement). J'insère une disquette à formater, ça commence
mal, il m’affiche une boite de dialogue avec un message obscur (je me mets à la place du néophyte) :
Error validating disk key
880 checksum error
Retry "ou" Cancel
Allez, je suis de nature optimiste donc je réessaye en cliquant Retry, rebelote même boite de dialogue… Changeons de choix en faisant Cancel et là une nouvelle boite de dialogue apparait :
Disk structure corrupt
Use DISKDOCTOR to correct it
Retry "ou" Cancel
!!? kesako, c’est quoi diskdoctor, vais-je pouvoir formater cette disquette ?! Je clique sur Cancel… Le bureau me rend la main mais je
suis bien décidé à la formater cette disquette ! Allez j’y crois, je clique sur la disquette apparue sur le bureau, je me rends dans le menu déroulant et clique sur Initialize (en supposant
que ça veut dire formater); une nouvelle boite de dialogue apparait :
Please replace volume
Workbench1.3
In any drive
Retry "ou" Cancel
Le choc ! Il me demande de réinsérer la disquette du Workbench !!! Je retire donc ma disquette à formater, réinsère ma disquette
du Workbench puis une nouvelle boite de dialogue apparaît :
Please insert disk
to be initialized in
drive DF0:
Continue "ou" Cancel
Drive DF0… "sympa" comme nom pour indiquer le lecteur de disquette. En tous les cas ça commence à sentir bon, même si je collectionne
les boites de dialogues j’ai l’air d’avancer. Je retire donc la disquette du Workbench (elle va finir par avoir plus d’empreintes qu’un distributeur de billets si ça continue) et insère de
nouveau la disquette à formater, Je clique sur continue, nouvelle boite de dialogue, quoi que, pas si nouvelle que ça :
Error validating disk
Key 880 checksum error
Retry "ou" Cancel
You’re talking to me ?
J’ai l’impression qu’il se fout de moi cet ordi ! Je clique sur Cancel et là une "nouvelle" boite de dialogue apparaît :
Disk structure corrupt
Use DISKDOCTOR to correct it
Retry "ou" Cancel
Tiens celle là aussi je la connais ! Je clique sur Cancel, une boite de dialogue apparait (ça me rappelle un jour sans fin)
:
Please insert disk
to be initialized in
drive DF0:
Continue "ou" Cancel
Je clique sur continue et là au miracle une toute nouvelle boite de dialogue fait son apparition :
Ok to Initialize disk in drive DF0 :
(all data will erased) ?
Continue "ou" Cancel
Un peu que je veux continuer, allez zou, clique sur continue et là une nouvelle boite apparait et m’affiche la progression du
formatage, ENFIN !!!
Pour ceux qui se sont perdus en route, je résume : J’insère la disquette du Workbench (chargement), je retire la disquette du
Workbench, j'insère la disquette à formater (chargement+message d'erreur), je retire la disquette à formater, je réinsère la disquette Workbench (chargement), la retire de nouveau et enfin je
réinsère une nouvelle fois la disquette à formater (chargement+message d'erreur)
CONCLUSION...
Il m'a fallu 7 manipulations de disquettes (et 9 boites de dialogues) pour formater une disquette !!! Temps du formatage : 1m50s, bien
sûr avec toutes les manipes évoquées précédemment c’est bien plus que ça comme vous vous en doutez. J’ai au final dépassé les 5 minutes pour arriver au résultat final. Tout en sachant ce que
je faisais, un novice aurait mis bien plus de temps… Au passage après toutes ces manipulations gaudriolesques je suis descendu à 347760 octets…
Ma conclusion sur ce long et douloureux périple sera la suivante :
Après Puzzli et Bomb'n Blast, Lock'n Chase, le nouveau jeu de Michel Louvet, notre gamopat fou amoureux de la
Colecovision, avance bien ! Voici la dernière version en vidéo. Il y a encore du boulot mais il bosse jour et nuit dessus... et notamment sur l'IA, point essentiel du jeu.
Bon ok il y a Street Fighter IV et Pilotwings Resort, mais le gamer fou en veut plus pour sa 3DS et lorgne déjà vers les futures
sorties.
Et je crois qu'après avoir maté cette vidéo de Resident Evil : The Mercenaries 3D vous n'allez plus tenir ! A noter que Mercenaries était un mode de jeu présent dans Resident
Evil 4.
Et pourtant il faudra bien tenir... jusqu'au 6 mai prochain. La 3DS s'affirme bel et bien comme aussi puissante que la Gamecube et la Wii à la vue de ces images, et Capcom comme un éditeur phare
sur la portable de Nintendo, du moins techniquement... car l'intérêt de ce jeu, on demande quand même à voir !
BurgerTime HD, le remake du jeu d'arcade ancestral (voir notretest sur Intellivision), se précise ! MonkeyPaw vient de
l'officialiser sur XBLA, PSN, PC et WiiWare. Le jeu propose ainsi des niveaux cylindriques, et jouables à 4 en local. Attention une saucisse derrière vous ! Cornichon droit devant !
FAST STRIKER Support : iPhone Développeur : NG:DEV.TEAM Sortie : 2011 Site officiel
Speedtesting de 30 minutes
Fast Striker c'est le second titre de NG:DEV.TEAM, les développeurs de Last Hope. Il est sorti sur NeoGeo MVS puis sur
Dreamcast et c'est assez étonnant de le retrouver aujourd'hui sur iPhone... Quoi que plus rien ne nous étonne sur iPhone, support n°1 du retrogaming avec un gros soucis cependant : l'absence de
pad ! Un peu gênant non ?
Pas le peine de parler de scénario : c'est un jeu de maniac shooting où vous pilotez un vaisseau suivant un scrolling vertical et devez
tout dégommer en évitant les boulettes. La maniabilité du vaisseau au tactile est plutôt satisfaisante et le tir automatique vous facilite la tâche. On est loin de la précision du pad mais bon il
faut faire avec, et on fini par s'y habituer. Un bouclier est aussi disponible pour vous tirer de situations critiques. Le tout sur 6 niveaux avec bien sûr les classiques boss de fin de niveau et
un tableau de scoring.
Quatre modes de jeu : Novice, facile, trop facile, un mode pour découvrir le jeu. Original, le mode principal, avec un
mode de scoring très intéressant car favorisant ceux qui prennent des risques (vous gagnez des points en frôlant les ennemis). Maniac, où il faut enchaîner les combos, et enfin un mode Omake
hyper difficile. Techniquement le jeu n'a rien d'extraordinaire : le jeu n'occupe pas tout l'écran (afin de ne pas déformer l'image), les décors en 3D sont assez froids et répétitifs, mais le jeu
est fluide en permanence avec une lecture très facile des paternes. Quant à la bande son techno, elle n'est franchement pas terrible.
Fast Striker fût un shoot'em up correct sur NeoGeo et Dreamcast, il le reste donc également sur
iPhone, avec cependant un support pas du tout adapté. A voir si vous êtes en manque de shoot ! Les fans de maniac shooting et de scoring élaborés ne seront en tout cas pas déçus.
Et flop c'est au tour du cultissime Left 4 Dead de se transformer en court-métrage, mais avec une grosse
originalité ici : c'est vous qui choisissez comment faire évoluer le scénario sur la fin.