Madame va pouvoir ranger son jouet...
Un support pour votre sex Toys PS Move ? C'est la grande classe quand même... pour
Madame...
Un support pour votre sex Toys PS Move ? C'est la grande classe quand même... pour
Madame...
C'est la fête du slip sur PSN à partir de demain et jusqu'au 2 février avec des soldes monstres ! Hum... des jeux soldés à 19,99€ en téléchargement de qui se moque t-on ?!). Franchement
on ne risque pas de se battre comme les bonnes femmes pour un bout de chiffon en centre commercial car, sur les dizaines de jeux et add-on "soldés", je n'ai trouvé que deux titres intéressants et
à prix modéré :
Final Fight Double Impact à 4,99€, une excellente conversion de Final Fight.
(voir notre
test)
GTI Club + (pour les fan du cultissime jeu d'arcade... et de Renault 5 !) à 4,99€ également.
Voilà, c'est tout. Ça pourrait être pire.
Le blog GameSheep a mis en ligne une vidéo, où leur avatar sur Playstation Home est une femme aux forme généreuses. Résultat,
à peine arrivée qu'elle est déjà assaillie par une horde de mâles en rut... Remarquez c'est un peu la même chose dès qu'une fille s'inscrit sur le forum de Gamopat non ?
Konami a chargé le studio Mercury Steam de créer le premier opus HD de Gabriel Belmont, héros de cette licence culte du monde
vidéoludique. Kojima production s'étant immiscé dans le projet sur le tard, afin de valider quelques détails ! Le scénario est
plutôt classique à la base. Gabriel, membre de la confrérie de la lumière, a perdu sa femme, assassinée par des adorateurs de l'ombre. Il va tenter de ramener à la vie sa dulcinée, grâce aux
pouvoirs d'un masque mystérieux censé ressusciter les morts. Bien entendu, autour de cela, s'articulera tout un tas de rebondissements, trahisons et rencontres plus ou moins heureuses.
Il faut bien avouer que la réalisation est très Hollywoodienne et plutôt réussie. Les environnements traversés sont variés aussi bien dans leurs ambiances, que dans l'époque sur laquelle le studio s'est basé pour nous réaliser
des décors absolument époustouflants de beauté, de détails et de profondeur. Je me suis surpris plusieurs fois à lâcher la manette de ma 360 pour admirer le panorama. Vous traversez aussi bien
les ruines d'une vieille cité que le traditionnel château juché sur un pic rocheux, sans oublier le désert, la forêt et tant d'autres. Rien d'original, mais le niveau de réalisation est tel que
pas une seule fois votre esprit sera détourné du jeu pour vous dire que tout cela a un petit goût de « déjà-vu ». A noter, mais à de très rares occasions, quelques effets de
scintillement. Seul gros défaut graphique, la modélisation des visages. La bande son, quoi que répétitive, est de qualité, de
belles symphonies ainsi que des chants religieux rendent l'ensemble relativement homogène et concluant. J'y ai joué en VO, les doublages sont réussis. Je ne peux par contre me prononcer sur la
version Française.
L'ambiance est un mélange du Seigneur des Anneaux, de la mythologie Grecque (Pan), sans renier une pincée de Devil May Cry et une
louche de God of War. Secouer fort et vous vous retrouvez face à un jeu qui a su s'inspirer du meilleur pour en tirer la crème de la crème. Le chemin est codé et il est quasiment impossible de se perdre (même dans le seul labyrinthe du jeu), mais pour autant l'impression d'être sur des
rails n'existe pas, car des routes de traverse existent partout, afin d'y découvrir des objets cachés plus ou moins utiles pour la suite de votre quête.
Venons-en au gameplay. Votre arme principale (une croix) sera upgradable tout au long du jeu, aussi bien au niveau des combos
débloquables grâce aux points acquis lors de vos combats, que par des améliorations en tant que telles de votre arme suite à la destruction de certains boss, vous ouvrant ainsi la voie vers de
nouvelles capacités (ouvrir des mécanismes, etc...). Vous obtiendrez aussi, après des combats acharnés, des accessoires des plus utiles (bottes pour courir plus vite, gants de puissances, etc
etc). A noter aussi, la possibilité d'utiliser dagues, fioles d'eau bénite ou invocation d'un dragon, tous aux pouvoirs dévastateurs selon le type d'ennemis rencontrés. Ceux-la sont variés, du loup garou, en passant par la goule, les trolls, les chauve-souris, etc... Les boss sont absolument fabuleux, alternant le
gigantisme du Titan des Glaces, le dégout le plus profond pour le Boucher du château, en passant par une difficulté certaine pour Cornell ! Certains de vos ennemis seront étourdis pendant
quelques instants, à vous d'en profiter, afin de les chevaucher et ainsi franchir des zones impossibles sans leur aide.
Les combats sont dirigés par trois absolues nécessités : Les esquives, la variété des coups portés et la gestion de deux barres de
magie (l'une de la lumière, l'autre de l'ombre). Et c'est pour moi LA grande force de Castlevania. En effet la magie de la lumière vous sert à vous régénérer en absorbant l'énergie des ennemis
lorsque vous leur portez des coups. Alors que celle de l'ombre multiplie votre force et permet ainsi de terrasser vos adversaires plus rapidement. Bien entendu, ces magies ne sont pas illimitées
(bien qu'augmentable grâce aux objets cachés, tout comme votre barre de vie d'ailleurs). Le moyen de préserver ou régénérer votre barre de lumière ? Effectuer de beaux combats et surtout ne pas
se faire toucher. Si vous y arrivez, une troisième barre sera entièrement remplie et vous permettra donc, à chaque coup porté, de récupérer des orbes de magie de lumière et donc régénérer votre
vie. A partir de là, hors de question de vous cacher ou de fuir afin de reprendre vie (à l'instar de Gears Of War ou Call Of Duty), que nenni ! Seule solution, vous battre avec style !
Très à la mode, les QTE sont bien présents pour finaliser certains de vos combats. Peut être pas aussi impressionnant que ceux de GOW
mais tout de même très efficaces. Les rares énigmes à résoudre afin de continuer votre quête sont relativement simples à
quelques exceptions (boites à musiques ou la gestion des couleurs est importantes et le jeu de boules relativement « tordu »).
Le reste de votre périple se composera de zones de plateformes et d'escalade, cette dernière étant extrêmement réussie ! Vous
virevoltez de corniches en corniches sans difficulté et votre croix, upgradée en grappin vous sera d'une grande utilité pour virevolter au dessus d'impressionnants abîmes. Les personnages annexes
qui vous aideront dans votre quête sont relativement nombreux et intéressants. Deux seront récurrents, Pan, qui fera office de maître et Zobek, membre lui aussi de la confrérie qui aura un rôle
important à jouer.
Certes Castlevania LOS tourne le dos à ses ancêtres, certes LOS s'inspire librement des grands succès cinématographiques et
vidéoludiques de ces dernières années. Mais plutôt que de parler de plagiat, j'y vois une forme d'hommage! Qui plus est, ces inspirations ont été bonifiées et magnifiées par le studio Espagnol.
La réalisation, le bestiaire, les graphismes ébouriffants et une durée de vie conséquente (+/- 30 hrs) en font un titre majeur. Si vous y ajoutez un système de combat ingénieux, vous obtenez un
hit incontournable !
SUPPOS : 6/6
Oulàlà ça va être chaud pour sortir votre combo préféré avec ce nouveau stick arcade !!! Mais je vous rassure cette "manette" est en fait un pavé de contrôle pour DJ, réalisé à partir d'éléments
de borne d'arcade :
Sony aurait mieux fait de présenter son Playstation Phone au CES de las Vegas Parano. Car pendant ce temps là les
chinois ridiculisent la firme en publiant des vidéos de l'engin un peu partout ! Et là c'est le choc : le bousin est monstrueusement obèse !!! Ils espèrent vraiment vendre un téléphone aussi
grossier ???!!!
Allez hop c'est la fête du slip chez Electronic Arts sur XBox Live avec 50% de remise sur pas mal de leurs jeux et DLC, et ce à partir d'aujourd'hui jusqu'au 24 janvier ! Au
programme :
Bon ok, finalement c'est pas si génial que ça...
Si vous êtes amateur de jeux "underground", de jeux assez rares, jamais sorti en France, ou sortis dans l'indifférence la plus totale,
vous connaissez peut-être le jeu de snow Stoked, sur Xbox 360, datant de 2009.
Les développeurs de Bongfish vont même récidiver très vite avec Stoked Big Air Edition, non sorti chez nous jusqu'à présent, mais que Namco Bandai vient justement de décider à
distribuer en France ! Très bonne nouvelle car cette suite s'annonce excellente et a récolté de très bonnes notes aux USA (même si le jeu est toujours totalement méconnu !). Allez petite
démonstration :
PINK SWEETS (IBARA SOREKARA)
Support : Arcade
Développeur : Cave
Editeur : AMI
Sortie : 2006
Après IBARA que j’ai adoré (voir mon test), j’étais obligé de me trouver PINK SWEETS (IBARA SOREKARA), sortit 1 an après, et qu’on peut considérer comme le 2e volume de la trilogie IBARA, PINK
SWEETS, MUCHI-MUCHI PORK. Et ce n'est pas la peine que je vous dise que j’attendais beaucoup (trop ?) cette "suite".
Le jeu est toujours sur un PCB de petite taille dite de 3e génération. Installation fébrile du PCB dans ma borne avec mon Jamma 6in1…
je lance le jeu ! Après des menus édulcorés comme il faut, on a le choix entre 4 vaisseaux. ils sont assez différents mais c’est surtout l’armement qui est très varié d’un vaisseau à
l’autre.
La partie commence, les musiques sont très olé olé, genre techno amusante (il faut aimer). Les graphismes sont moyens, dans certains
niveaux, les décors sont même très répétitifs. Je vais commencer par parler des modes de tirs très spéciaux du jeu. Ici pas de "save bomb", c'est déjà c’est un gros changement dans le gameplay.
Le vaisseau dispose à l'avant d'une boule d’énergie qui peut aspirer les tirs laser (pas les missiles) des ennemis, ce qui a pour effet de faire grossir la boule d’énergie. Une fois au maximum,
vous pouvez la déclencher, ce qui provoque une mega bombe qui sert aussi de "save zone". Les ennemis tués laissent des bonus d’upgrade pour l’armement, classique donc. Par contre, ce qui me gène
beaucoup, c’est que lorsqu'on meurt, l’armement revient à zéro sans moyen de le récupérer (contrairement à Ibara où les bonus sortent du vaisseau avec possibilité de les reprendre). Donc sachez
que lorsque vous perdez une vie, vous vous retrouvez tout nu... la galère.
Les boss. ils sont très mignons, en général des jouets géants, avec un armement de MALLLLAAAADE. Pour en venir à bout il faut une
technique spéciale… et une fois trouvée, c’est une formalité, car les paths des tirs sont cycliques. Au début on meurt cent fois, puis après ça passe tout seul. Les niveaux sont assez longs, voir
très longs et chiants, comme le niveau dans les nuages, nul, trop long, et trop dur.
Bizarrement, quand mes copains viennent jouer chez moi, ils préfèrent ce jeu plutôt qu’un Futari ou Ddp Daifukkatsu ? En fait, ils aiment en prendre plein la figure, avec une difficulté énorme…
D’un autre côté on est en free to play, donc ce n'est pas vraiment gênant de mettre 50 crédits pour finir le jeu comme un bourrin…
Pink Sweets est pour moi un jeu plutôt loupé… graphiquement en dessous d’Ibara (un comble pour une suite), avec un gameplay de
dingue à la difficulté mal dosée… 4/6 car c'est quand même un sacré bon shoot par rapport à la concurrence. Est-ce que le jeu ultime que j'attends sera MUCHI MUCHI-PORK ? On le verra dans mon
prochain test.
Ce que je n’aime pas :
- certains niveaux trop longs et répétitifs,
- un système d’arment perfectible,
- certains décors loupés (le dernier niveau Lego est quant à lui magnifique),
- pas la suite d’IBARA que j’attendais.
Ce que j’aime :
- avoir osé le style cartoon/jouet,
- certains niveaux assez jolis quand même,
- des boss assez gros et au look de jouet.
SUPPOS : 4/6
Tiens, voici que sort de nulle part un jeu "unreleased" de Square datant de 1987 pour Nes ! Ou plus exactement pour le Famicom
Disk System. Et chose étonnante il s'agit d'une adaptation du film Aliens. Et en cherchant bien on retrouve une version MSX de ce jeu.
C'est un jeu de plateforme-tir assez classique où vous jouez le rôle de Ripley. Mais trêve de blabla, il y a deux vidéo qui traînent ici... et là on comprend pourquoi le jeu n'est jamais sorti.