Xbox One, la MAJ qui tue !

Publié le par Valvalboss

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Microsoft
continue de creuser sa tombe avec une news pour le moins insolite. En effet, les acheteurs de la Xbox One devront s'acquitter de pas moins de 15 à 20 minutes de mise à jour lors du premier allumage ! Et pourquoi donc? Pour court-circuiter la volonté première de la firme de Redmond de rendre la connexion à internet obligatoire. En gros, vous devez télécharger un patch qui nécessite une connexion internet obligatoire pour empêcher la console de rendre la connexion à internet obligatoire, sans quoi vous ne pouvez pas jouer à vos jeux offline puisque la console estime que la connexion à internet est obligatoire. Vous comprendre ?


Cette info nous vient tout droit de la bouche de Marc Whitten qui, à l'occasion d'une série de questions/réponses sur IGN, a déclaré ceci: "l’objectif de Microsoft est que le téléchargement de la mise à jour prenne entre 15 et 20 minutes pour la plupart des utilisateurs"

"Pour la plupart des utilisateurs" signifie bien évidemment "les riches qui disposent d'une connexion haut débit", les autres devront probablement faire face à une attente bien plus conséquente. La question est : pourquoi ne pas inclure cette mise à jour DIRECTEMENT dans la machine ? Et pourquoi ne pas donner la taille exacte de ce fichier à télécharger ? Parce que balancer une durée potentielle comme ça au hasard ne veut rien dire. Sans parler du fait que les serveurs risquent, au lancement, d'être saturés/instables (ce qui est normal) et qu'il faudra, après téléchargement, INSTALLER cette màj...

Cette news veut donc dire à priori que la connexion obligatoire est inscrite "en dur" dans la console et qu'il était a priori trop tard pour faire marche arrière... D'ou ce patch ! Bref, Microsoft continue à s'engluer dans sa communication plus qu'hasardeuse après avoir pris ses clients pour des pigeons !


Bande de nazes

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Un sextoy contre une photo de GTA V !

Publié le par Vavalboss

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C'est coquin-malin.com qui a eu cette idée pour le moins originale. Il vous suffit, Mesdames, de vous prendre en photo avec le jeu GTA V pour recevoir un magnifique sextoy d'une valeur de 16 euros, histoire de combler le manque affectif créé par le titre de Rockstar.


Le site en question n'est pas peu fier de ce coup de pub: "400 femmes ont déjà participé à l'opération en à peine une semaine.

L'idée nous est venue en constatant que plusieurs jeunes femmes se plaignaient que leurs chéris ne s'occupent que de leur console et plus du tout d'elles depuis l'arrivée du jeu.

Beaucoup se sont prises au jeu et nous ont envoyé des photos plutôt sympas. Certaines mimant de jeter le jeu aux toilettes, d'autres de rayer le CD avec un couteau."


Vous savez ce qu'il vous reste à faire maitenant. Vous pouvez faire parvenir vos clichés directement sur la page facebook du revendeur, ou en passant par le site internet

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[RETROGAMING] Earthworm Jim / Game Gear

Publié le par Sylesis

EARTHWORM JIM
Support: Game Gear
Existe aussi sur Megadrive, Mega CD, Super Nintendo, Game Boy, PC
Éditeur : Playmates
Développeur : Shiny Entertainment
Conversion : Eurocom
Distributeur Europe : Virgin Interactive
Genre : plateforme
Nombre de joueurs : un joueur
Sortie : 1995

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En 1994, le zoo vidéoludique est déjà rempli : des oiseaux, des hérissons, des renards, des tigres, des singes, un opossum... Pourtant rien ne nous avait préparé à l'arrivée de ce ver de terre psychotique. A cette époque, ceux qui ne possédaient pas de console 16 bits bavaient devant ce titre. Eurocom leur offrit en 1995 une version sur Game Boy et la petite portable de Sega : c'est d'ailleurs cette version que j'ai traqué dans les magasins (il a fallu que j'en fasse trois).

Un écran sobre sur lequel on choisit sa difficulté parmi trois. La musique de la version originale est présente, on est dans l'ambiance. Mais au fait, de qui parle-t-on ?

Jusqu'à peu, Jim était un simple ver de terre, dont la vie se résumait à une course pour sa survie, afin d'échapper aux corbeaux affamés et aux vaches qui ne manqueraient pas de le manger par accident, en broutant. Puis un beau jour, une combinaison ultra-puissante lui tomba dessus. Jim entra dedans, se mit à grandir, et découvrit qu'il pouvait la contrôler et utiliser le blaster accroché à sa ceinture : la vengeance contre les corbeaux pouvait commencer ! Oh, et aller sauver la ravissante princesse WhatsHerName aussi.

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Après avoir passé l'écran indiquant le nom du niveau, nous somme dans le jeu : c'est bien le héros que j'admirais sur les captures d'écran Megadrive. Si les graphismes ont été édulcorés, capacités de la machine et taille de la cartouche obligent, il faut reconnaitre que l'essentiel est là : des personnages reconnaissables, une animation souple, et de l'humour en permanence. Exemple ici où Jim se prépare à faire un lancé de vache.

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Les possesseurs d'une version 16 bits ne seront pas (trop) dépaysés car l'essentiel des niveaux a été retranscrit. Par rapport à la version Megadrive, on note deux absents : le laboratoire et Intestinal Distress. Pour le reste tout est là, y compris le niveau intermédiaire Andy Asteroid qui se trouve être une course dans l'espace. Dans d'autres niveaux, vous aurez à promener le chien ou faire du saut à l'élastique.

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Dans la version 16 bits, Jim peut utiliser deux armes : son blaster et sa tête en guise de fouet. Avec le bouton saut, ça fait trois boutons. Problème, la GG n'en comporte que deux : comment faire ? Réponse : en étant subtil. Le bouton 1 sert aux deux attaques : une pression brève donne un coup de fouet, une prolongée sert à tirer. Malheureusement, ce système manque un peu de souplesse et il n'est pas facile de tirer à l'instant où on veut, il faut anticiper un peu la manœuvre. Ça gène mais est-ce que c'est handicapant ? Réponse : non. J'ai fini le jeu en hard, donc c'est faisable. Ce jeu est une adaptation : il suffit de s'adapter.

Au niveau des actions, Jim pourra utiliser son corps de ver pour s’agripper à divers crochets, mais également faire tourner sa tête comme une hélice pour ralentir et diriger sa chute. Oui, le héros ne manque pas de ressources. Si l'animation est bien détaillée, donnant à Jim une démarche souple, il faut également avouer que des ralentissements se font parfois sentir. C'est léger et peu gênant, mais ils sont là.

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A la décharge d'Eurocom, on notera l'excellent travail sur les graphismes pour restituer l'ambiance complètement barrée de l'original. Il a fallu rogner sur l'arrière plan mais la perte n'est pas dramatique. La même chose vaut pour la musique : la qualité du chipset sonore de la GG n'atteint pas celle de sa grande sœur, mais les musiques sont reconnaissables et mettent dans l'ambiance. Les voix digitalisées sont passées à la trappe, par contre. Au niveau du déroulement du jeu, les niveaux emblématiques sont là et finir certains sera toujours aussi corsé. Et puis si voulez suer un peu, vous avez le mode Hard.

Il n'est pas aisé de juger honnêtement Earthworm Jim, car on a automatiquement les versions 16 bits qui nous viennent à l'esprit. C'est sûr, la version MD est plus nerveuse et plus longue de deux/trois niveaux. Maintenant, prenons un autre point de vue et regardons si le jeu exploite les capacités de la portable : dans ce cas, la réponse est oui. Oui le jeu nous montre de quoi la Game Gear est capable, et là on peut rien lui reprocher. On aurait pu tomber sur largement pire, mais on a au bilan un jeu très jouable, bourré d'humour et qui tient dans une poche (l'autre étant réservée au stock de pile pour la petiote), et ça, c'est déjà très bien.

SUPPOS : 5/6
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The show must Xbox One ?

Publié le par Dr Floyd

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Après le MattrickGate et toutes les polémiques autour de la connexion internet et du verrouillage de la Xbox One, Microsoft est au fond du trou avec sa console un peu fumeuse. Alors pour se racheter les marketeux en chef ont imaginé un truc délirant : le Xbox One Tour.


Comme des stars du rock has-been Microsoft va ainsi sillonner les USA et l'Europe pour une opération séduction afin de rendre la Xbox One... sexy. Ainsi ils seront avec leurs guitares à Paris le 10 et 13 octobre puis à Strasbourg (date non précisée), ainsi qu'au Paris Games Week du 30 octobre au 3 novembre. Les fans pourront alors tester les jeux du line-up, assister à de petits concerts bien craignos, et mater les babes intérimaires... Sex, Rock & Xbox One ? Bon courage pour remonter l'image de marque...

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[GEEK] Les 4 règles fondamentales pour un bon Star Wars

Publié le par Dr Floyd

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Des fans de Star Wars ont eu une idée originale pour "écrire" à JJ Abrams (qui réalise le prochain opus)... Et en tant que fan de la première trilogie je ne peux qu'être d'accord avec les 4 principes évoqués. Espérons que le JJ en tienne compte... et puisse en tenir compte car les actionnaires de Disney ne seront surement pas d'accord...

Publié dans GEEK

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Killzone Shadow Fall va ramer sur votre PS4 du futur...

Publié le par Dr Floyd

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Que faut-il attendre de la prochaine génération de consoles ? La chose évidente c'est un framerate satisfaisant dans tous les jeux... Et bien même pas ! Sony et Guerrilla vient de balancer que le futur Killzone sera en 30 images/Sec  :


"Nous avons dit que nous n'avons pas besoin de 60 fps, et nous voulons une hausse graphique." Lead Casu Designer chez Guerrilla Games.

 

Whaouu !!! Ca a le mérite d'être clair non ? Je vais traduire : "on veut séduire les casu avec de superbes graphismes, rien à battre des gamers qui réclament 60 images/sec."

Sachant que beaucoup d'autres jeux sont annoncés à 30 img/sec comme Watch Dog. Drive Club semble lui aussi se diriger vers les 30 img/sec, ce qui serait catastrophique pour un jeu de caisse !

Il est bien loin le temps où les jeux étaient fluides, en 1998 sur Dreamcast, ou en 2001 sur Gamecube... C'est donc reparti à priori pour une génération de jeux qui rament avec de beaux effets de flou, comme sur PS3 ou comme sur les mauvais jeux X360...

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[RETROGAMING] Arena: Maze of Death / Game Gear

Publié le par Sylesis

ARENA: MAZE OF DEATH
Support : Game Gear
Éditeur : Sega
Développeur : Eden Entertainment Software
Genre : Survival en 3D iso
Nombre de joueurs : un joueur
Sortie : 1995


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Mon premier contact avec Arena a été un magazine : Megaforce. Un test de ce jeu y avait été realisé sur une page, l'ensemble semblait alléchant. Plus tard j'ai vu le jeu à Micromania pour 50 francs et je me suis dit "Pourquoi pas ?" Constat numéro 1 : d'après la boite, on est pas au pays des merveilles. Ni au Kansas, Toto.

Un sympathique écran d'intro, suivi rapidement par un menu : on y peut y entrer un mot de passe pour reprendre sa progression, choisir le niveau de difficulté parmi 3, et désactiver la musique (mais ce serait dommage).

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Nous sommes en 2026 et le pays est en paix. Le gouvernement est en place depuis 19 ans et la société audiovisuelle Astralnet abreuve les masses de sa messe cathodique. Sauf qu'en y regardant de plus près, la situation n'est pas si joyeuse que ça et le gouvernement s'accroche au pouvoir en contrôlant les médias. Un groupe de rebelles a d'ailleurs mis la main sur une cassette vidéo montrant les autorités et les dirigeants d'Astralnet décider des informations à diffuser et à censurer. Pour réveiller la population, il faudrait que la cassette soit diffusée via les émetteurs du centre d'Astralnet, baptisé "The Arena", mais l'endroit est lourdement protégé. Il faudrait quelqu'un de courageux pour cette mission.

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Ce quelqu'un, c'est vous : Guy Freelander. Vous commencez votre infiltration armé simplement d'un couteau et d'une mitraillette, mais vous trouverez de l'équipement. Le jeu est en 3D isométrique, chose peu commune sur la Game Gear. De ce point de vue, on peut dire que la petite se débrouille bien. La 3D est bien rendue et l'ensemble est coloré, malgré des sprites manquant un peu de détails au niveau des visages.

Les commandes sont relativement simples : un bouton pour l'arme principale, un bouton pour la secondaire. Je précise "relativement" car les déplacements se font en 3D iso, et donc demandent de l'entrainement pour bien prendre les plateformes mobiles. Le plus difficile est encore de se positionner dans la direction voulue pour tirer. Moi j'ai trouvé un truc : je tire en courant sur ma cible.

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L'interface est sobre afin de ne pas gêner la vue et ne pas distraire le joueur. En appuyant sur Start, vous obtiendrez cet écran. On y voit notamment :
- votre nombre de vies.
- les cartes d'accès trouvées dans le niveau.
- votre arme principale et ses munitions. Il existe 5 armes principales allant de la mitraillette (bouh) au canon ionique (ouch!) en passant par le fusil diffuseur.
- votre arme secondaire. Au début c'est un couteau, puis vous trouverez des grenades.
- votre santé.
- votre armure. L'armure n'est pas juste une barre de santé supplémentaire : plus elle est élevée, moins votre santé diminuera face aux impacts.

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Et justement, vous allez courir. Le but n'est pas de tuer tout le monde mais d'atteindre la sortie entier. D'ailleurs certains ennemis "respawnent" et vos munitions sont limitées. Et puis vous aurez affaire à forte partie : le garde de base se dézingue facilement, mais les gardes blindés et les grenadiers vous mèneront la vie dure. Sans compter les mutants, les bêtes, les divers robots et l'environnement lui même.

Atteindre la sortie nécessitera généralement de trouver diverses clés d'accès, mais également d'activer des interrupteurs. Parfois en passant dans un endroit vide, vous entendrez un son : ça veut dire que quelque chose est apparu, bonus (cool!) ou ennemis (un peu moins). Les bonus apparus ne sont souvent pas visibles dans l'environnement immédiat et vous devrez chercher un peu. Au passage, il existe de multiples zones secrètes à trouver : dans les murs, dans certains téléporteurs... A vous donc d'explorer, d'autant que les niveaux deviennent vite labyrinthiques, vous poussant à faire de multiples aller-retour pour débloquer votre chemin vers la sortie.

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Le jeu comporte une vingtaine de niveaux, selon la difficulté choisie. Vous obtiendrez un mot de passe régulièrement, de mémoire tous les quatre niveaux. Le jeu évite l’écueil de la monotonie en renouvelant les environnements : on trouve des entrepôts, des zones remplies d'eau, des égouts, des cavernes et des complexes chimiques, et le quartier général d'Astralnet, mais tout à la fin et avec un boss en guise de cerise sur le gâteau. Au début de chaque niveau, un briefing défilant en bas de l'écran vous indique ce que vous allez rencontrer par la suite. On apprécie. De mémoire, le briefing de mon niveau favori disait que c'était un endroit changeant : il comporte une vaste salle principale changeant en fonction des interrupteurs activés à un autre endroit, ce qui est assez original.

L'ambiance sonore du jeu est très réussie : bons bruitages et surtout excellentes musiques dont le rythme vous incite à ne pas lambiner. La durée de vie elle aussi est très bonne. Finir le jeu en "easy" demandera un peu de travail mais rien d'insurmontable. En "hard", le jeu reste finissable (je le sais, je l'ai fait!), mais vous devrez redoubler de prudence : un grenadier pourra vous tuer en un coup même avec une bonne armure. Au max de santé et de blindage, vous supporterez un tir, mais pas deux!

Arena fait partie de ces jeux pas forcément connus mais qui méritent le détour. Il a peu de confrères sur la console, il est bien foutu et vous tiendra un moment. Vous avez une Game Gear ? Offrez lui ce titre, à cette petite puce.


SUPPOS : 5/6
(la maniabilité plombe un peu)
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Publié dans RETROGAMING

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[RESULTAT CONCOURS] Rayman Legends Wii U / RueduCommerce

Publié le par Concours

Gamopat et RueduCommerce vous proposent ce mois ci de remporter Rayman Legends sur Nintendo Wii U ! le jeu de plateforme de l'année sans aucun doute possible !

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Pour cela répondez à la question subjective suivante dans les commentaires (sans oublier de laisser votre email dans le formulaire) :

Quel est votre jeu de plateforme 2D préféré, tous supports et époques confondues ? Pour compliquer la chose vous devez exclure les jeux de la licence Rayman et de la licence Super Mario !

Une réponse sera sélectionnée et l'heureux élu repartira avec le jeu ! Vous pouvez jouer jusqu'au samedi 28 septembre 23h59.

RESULTAT
Le gagnant est LastGamerHero pour Bubble Bobble. Merci à tous les participants et à RueduCommerce pour ce superbe lot.

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[C'ETAIT IL Y A 30 ANS] TILT teste le Commodore 64

Publié le par Dr Floyd

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Septembre 1983 le magazine TILT (qui reste encore la seule référence grand public) teste un peu à la bourre le Commodore 64... en noir et blanc car la couleur ça coute cher !

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Ils mettent tout de suite en avant ses capacités sonores et graphiques exceptionnelles, imaginant que de nombreux jeux seront disponibles à l'avenir...

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En 1983 on parle déjà de HD... pour du 320x200 en 16 couleurs qui permet de dessiner un hélicoptère en détail...

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...la preuve avec Choplifter !

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En 1983 quand un micro-ordinateur a plus de 16ko, un clavier mécanique et des capacités sympa, on parle tout de suite d'ordinateur "professionnel", terme pompeux pour faire croire aux enfants qu'ils allaient acheter une bombe de technologie.


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Le marché est totalement flou à cette époque, il sort quasiement toutes les semaines une nouvelle sorte d'ordinateur, et personne ne peut dire qui l'emportera. Tilt se contente de conclure que ce modèle est très cher.

Au final le Commodore 64 deviendra l'ordinateur 8 bit le plus vendu au monde (25 millions ?) et des jeux sortiront jusqu'en 1994 !

Publié dans FLASH-BACK

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[BONNES AFFAIRES] Un artbook gratuit avec Dragon's Crown

Publié le par Dr Floyd

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Pour avoir essayé le jeu en import je peux vous assurer que Dragon's Crown est une bombe vidéoludique absolue ! Et bonne affaire en ce moment : Précommandez-le sur PS3 et recevez en cadeau l'artbook collector. Soit l'ensemble pour 44€ port gratuit ! Le jeu sort le 10 octobre.

> Lien vers l'offre

 

Publié dans BONNES AFFAIRES !

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[CLIP] My Astro City BREAKTHRU

Publié le par Dr Floyd



Vous hésitez à vous payer une borne d'arcade ? Voici un clip réalisé par notre Gamopat fou Ataré2600 (avec la complicité de Freddie Mercury) qui devrait finir de vous convaincre à vous payer une Astro City !


Publié dans INSOLITE

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Valve annonce le Steam Controller !

Publié le par Barbarian Bros



Voici donc la 3eme étape des révélations Steam (après Steam OS et les Steam Machines) :
Le Steam Controller, ou la manette vue par Valve. Quoi de plus normal après avoir annoncé les Steam Machines (nouveau nom de la Steambox). On se souvient que l'an dernier Valve avait annoncé travailler sur un nouveau contrôleur encore jamais vu, alors à l'heure ou Microsoft et Sony n'annonce pas de changements majeurs sur leur contrôleurs mais plutôt de simples évolutions, qu'en est-il de la manette Steam ?




- Au lieu des 2 ministicks auxquels nous sommes habitués depuis l'antique manette Dualshock de la Playstation 1ere du nom, on trouvera 2 trackpads ultra-précis, pour permettre de jouer confortablement aux jeux prévus pour une souris. Ce qui inclue déjà tous les jeux avec un curseur : gestion, stratégie, mais aussi les FPS avec enfin une précision équivalente à celle d'une souris. Ces trackpads sont évidemment cliquables pour faire office de boutons supplémentaires.

- A la place des moteurs de vibrations habituels, lourds et manquant de finesse dans leur rendu, des électroaimants interagiront directement avec la surface des trackpads, assurant un retour tactile selon différentes fréquences, amplitudes et même localisation (la zone qui vibre devrait pouvoir se déplacer sur la surface d'un trackpad). Ce retour tactile se fera directement dans les pouces au lieu de toute la main. Le système est suffisamment précis pour que les trackpads puissent servir de mini enceintes audio.

- Ecran tactile au milieu de la manette, pouvant servir comme un ensemble de 4 boutons supplémentaires.




- 4 gâchettes, 2 'boutons' (plutôt des zones activables au toucher) sous la manette, 4 boutons en façade, la disposition des boutons de façade peut paraitre déroutante : 2 a gauche et 2 à droite, mais Valve assure avoir travaillé l'ergonomie et qu'il est possible d'activer 8 des 16 boutons de la manette sans enlever les pouces des trackpads.

Exemple de configuration pour Portal :




Il faudra bien sûr voir la maniabilité de la chose une fois en main, chose qui sera possible aux 300 beta-testeurs des steam-machines, qui recevront un prototype du contrôleur (ce proto n'aura pas d'écran tactile mais un bloc de 4 boutons et sera filaire avec branchement en USB).
En tout cas si Valve réussi son pari et que sa manette est aussi précise qu'ils le prétendent, ça sera la fin du débat entre la précision des souris et le manque de précision des manettes.

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