[RETROGAMING] Grand Theft Auto / PS1
Ça y est, GTA V est dans les bacs ! Il me semblait donc intéressant de faire un petit test du premier opus afin de revenir aux sources de cette grande série vidéo-ludique. GTA, acronyme de "Grand Theft Auto" signifie "vol qualifié d'automobiles" dans le jargon policier (source : Wikipédia)
Aux commandes de l'un des 4 criminels disponibles, vous commencez à pieds dans la ville de Liberty City (qui est une réplique de New York). Vous incarnez une petite frappe en bas de l'échelle sociale. Vous devrez accomplir des petits boulots comme voler des voitures ou escorter un voyou pour assurer votre ascension au sein de la mafia locale. Au cours de votre périple, vous aurez l'occasion de visiter Vice City et San Andreas, deux villes qui feront parler d'elle ultérieurement...
A l'ère de la Playstation et de sa 3D, Rockstar a osé faire son jeu en 2D et vue de dessus, dans un style assez dépouillé graphiquement. C'est assez déconcertant de prime abord, surtout qu'on a le droit à de sensibles variations de zoom suivant notre allure, donc surtout handicapant en véhicule. Mais les développeurs ont fait cela pour retranscrire la sensation de vitesse et donc pour rythmer leur jeu.
Ce n'est pas du tout son style graphique qui fait donc la force de ce jeu mais sa formidable liberté d'action qui va poser les bases fondamentales de la série. En effet, libre à vous d'accomplir ou non les missions proposées et parfois dans l'ordre que vous voulez. Vous pouvez très bien vous balader dans la ville et commettre différents méfaits (carjacking, écraser les passants, les tuer à la mitraillette...) juste pour le fun, tout ça est très "politiquement incorrect" et ça, c'est révolutionnaire à l'époque !
Vous vous déplacez soit à pieds, soit à bord de différents véhicules (motos, voitures, camions, bateaux...) avec un système de contrôle très classique pour l'époque ! Comme dans n'importe quel MicroMachines, on doit appuyer sur un bouton pour accélérer et changer de direction avec la croix, toujours dans le sens du conducteur, donc si le véhicule roule vers le bas de l'écran, il faut appuyer sur haut, il faut appuyer sur gauche pour tourner à droite, ce qui paraîtra déstabilisant pour les non-initiés mais diablement efficace pour les spécialistes. Il faut donc parfois un temps d'adaptation afin de gérer au mieux le déplacement de notre véhicule dans la circulation par moment dense de la ville. Vous en aurez besoin lors de vos folles courses poursuites avec la police. Faites attention à ne pas rentrer trop souvent en collision avec les autres véhicules sous peine de voir le vôtre partir en fumée et vous à l'hôpital ou au commissariat !
Vous recevez vos ordres par biper ou par téléphone public. Pour mener à bien vos missions, une petite flèche vous indique la direction à prendre. Ces missions consistent la plupart du temps à relier un point A à un point B, ce qui peut sembler assez répétitif. Il n'en est rien car leur intitulé est assez détaillé et certains détails apportent leur lot de différences (ah là là je récupère un cambrioleur j'ai tous les flics de la ville à mes trousses !)
Ce qui est le plus gênant dans le jeu est l'absence de sauvegarde continue. Car s'il est possible de sauver une fois un chapitre entier accompli, on ne peut pas le faire n'importe quand. La durée de vie est quand même assez importante car outre les missions, le jeu se rejoue facilement tellement la liberté laissée est appétente !
Concernant la musique, il n'y en a pas quand vous explorez la map à pieds. Par contre, dès que vous prenez position dans un véhicule, la radio se met en route, vous proposant différents styles selon le véhicule emprunté. J'adore la petite voix de votre patron lors des appels téléphoniques façon blablabla ! Ça donne une touche très humoristique et renforce la notion décalée du titre, bien loin des simulations actuelles tendant à rendre les softs de plus en plus proche du réel !
Aux commandes de l'un des 4 criminels disponibles, vous commencez à pieds dans la ville de Liberty City (qui est une réplique de New York). Vous incarnez une petite frappe en bas de l'échelle sociale. Vous devrez accomplir des petits boulots comme voler des voitures ou escorter un voyou pour assurer votre ascension au sein de la mafia locale. Au cours de votre périple, vous aurez l'occasion de visiter Vice City et San Andreas, deux villes qui feront parler d'elle ultérieurement...
A l'ère de la Playstation et de sa 3D, Rockstar a osé faire son jeu en 2D et vue de dessus, dans un style assez dépouillé graphiquement. C'est assez déconcertant de prime abord, surtout qu'on a le droit à de sensibles variations de zoom suivant notre allure, donc surtout handicapant en véhicule. Mais les développeurs ont fait cela pour retranscrire la sensation de vitesse et donc pour rythmer leur jeu.
Ce n'est pas du tout son style graphique qui fait donc la force de ce jeu mais sa formidable liberté d'action qui va poser les bases fondamentales de la série. En effet, libre à vous d'accomplir ou non les missions proposées et parfois dans l'ordre que vous voulez. Vous pouvez très bien vous balader dans la ville et commettre différents méfaits (carjacking, écraser les passants, les tuer à la mitraillette...) juste pour le fun, tout ça est très "politiquement incorrect" et ça, c'est révolutionnaire à l'époque !
Vous vous déplacez soit à pieds, soit à bord de différents véhicules (motos, voitures, camions, bateaux...) avec un système de contrôle très classique pour l'époque ! Comme dans n'importe quel MicroMachines, on doit appuyer sur un bouton pour accélérer et changer de direction avec la croix, toujours dans le sens du conducteur, donc si le véhicule roule vers le bas de l'écran, il faut appuyer sur haut, il faut appuyer sur gauche pour tourner à droite, ce qui paraîtra déstabilisant pour les non-initiés mais diablement efficace pour les spécialistes. Il faut donc parfois un temps d'adaptation afin de gérer au mieux le déplacement de notre véhicule dans la circulation par moment dense de la ville. Vous en aurez besoin lors de vos folles courses poursuites avec la police. Faites attention à ne pas rentrer trop souvent en collision avec les autres véhicules sous peine de voir le vôtre partir en fumée et vous à l'hôpital ou au commissariat !
Vous recevez vos ordres par biper ou par téléphone public. Pour mener à bien vos missions, une petite flèche vous indique la direction à prendre. Ces missions consistent la plupart du temps à relier un point A à un point B, ce qui peut sembler assez répétitif. Il n'en est rien car leur intitulé est assez détaillé et certains détails apportent leur lot de différences (ah là là je récupère un cambrioleur j'ai tous les flics de la ville à mes trousses !)
Ce qui est le plus gênant dans le jeu est l'absence de sauvegarde continue. Car s'il est possible de sauver une fois un chapitre entier accompli, on ne peut pas le faire n'importe quand. La durée de vie est quand même assez importante car outre les missions, le jeu se rejoue facilement tellement la liberté laissée est appétente !
Concernant la musique, il n'y en a pas quand vous explorez la map à pieds. Par contre, dès que vous prenez position dans un véhicule, la radio se met en route, vous proposant différents styles selon le véhicule emprunté. J'adore la petite voix de votre patron lors des appels téléphoniques façon blablabla ! Ça donne une touche très humoristique et renforce la notion décalée du titre, bien loin des simulations actuelles tendant à rendre les softs de plus en plus proche du réel !