[RETROGAMING] Wonderboy in Monsterland / Master System
Wonderboy in Monsterland
Support : Sega Master System
Adapté de l'arcade (1987)
Editeur : SEGA
Développeur : WestOne Bit Entertainment
Année : 1988
Le p’tit Wonderboy a bien grandi depuis le premier épisode sorti en 1986, ce n’est plus un rustre gamin des cavernes,
mais un preux chevalier désormais ! Il est donc temps de commencer une quête épique qui vous amènera face à un terrible dragon.
Techniquement, même si le jeu n’est pas hyper détaillé, il est propre et très coloré. C’est un véritable plaisir d’explorer villes, donjons, plages et châteaux, le tout dans un level design non linéaire et tout en écoutant des compositions sonores très réussies. Si les phases de plateforme peuvent paraître un poil pénibles au début, elles se feront vite les doigts dans le nez une fois la bonne paire de bottes acquise. La maniabilité sera alors exemplaire (hormis lors d'un passage optionnel du dernier niveau).
Ce qui fait la grande force de Wonderboy c’est l’ajout d’éléments propres aux rpg. Votre équipement complet est upgradable. Vous trouverez du nouveau matos dans les boutiques ou en explorant des passages secrets. Les fonds nécessaires pour financer tout cela seront à ramasser sur les dépouilles des ennemis vaincus. Vos achats influeront directement sur votre stratégie. En effet, privilégiez l’upgrade des bottes pour améliorer votre mobilité, ou blindez vous niveau armures et boucliers pour assurer vos arrières. Les épées quant à elles sont à récupérer après avoir défait certains mini-boss, pour la plupart bien planqués.
Vous disposerez également de divers sorts utilisables en appuyant sur de basiques combinaisons de boutons. Au fil des niveaux votre niveau de vie progressera. Il vous est également possible de vous soigner en ville moyennant finance. Les combats sont essentiellement basés sur le timing, et lorsque vous verrez un ennemi foncer droit sur vous, votre marge de manœuvre la plupart du temps sera réduite à quelques dixièmes de seconde.
Le jeu présente également un excellent replay value, dans la mesure où les niveaux fourmillent de passages secrets. Ces derniers vous permettront notamment de découvrir les meilleurs équipements du jeu.
Techniquement, même si le jeu n’est pas hyper détaillé, il est propre et très coloré. C’est un véritable plaisir d’explorer villes, donjons, plages et châteaux, le tout dans un level design non linéaire et tout en écoutant des compositions sonores très réussies. Si les phases de plateforme peuvent paraître un poil pénibles au début, elles se feront vite les doigts dans le nez une fois la bonne paire de bottes acquise. La maniabilité sera alors exemplaire (hormis lors d'un passage optionnel du dernier niveau).
Ce qui fait la grande force de Wonderboy c’est l’ajout d’éléments propres aux rpg. Votre équipement complet est upgradable. Vous trouverez du nouveau matos dans les boutiques ou en explorant des passages secrets. Les fonds nécessaires pour financer tout cela seront à ramasser sur les dépouilles des ennemis vaincus. Vos achats influeront directement sur votre stratégie. En effet, privilégiez l’upgrade des bottes pour améliorer votre mobilité, ou blindez vous niveau armures et boucliers pour assurer vos arrières. Les épées quant à elles sont à récupérer après avoir défait certains mini-boss, pour la plupart bien planqués.
Vous disposerez également de divers sorts utilisables en appuyant sur de basiques combinaisons de boutons. Au fil des niveaux votre niveau de vie progressera. Il vous est également possible de vous soigner en ville moyennant finance. Les combats sont essentiellement basés sur le timing, et lorsque vous verrez un ennemi foncer droit sur vous, votre marge de manœuvre la plupart du temps sera réduite à quelques dixièmes de seconde.
Le jeu présente également un excellent replay value, dans la mesure où les niveaux fourmillent de passages secrets. Ces derniers vous permettront notamment de découvrir les meilleurs équipements du jeu.
Wonderboy in Monsterland est un excellent jeu de plateforme A-RPG comme on les aime sur 8 bits. Que demander de plus ? C'est
wonderful.
SUPPOS : 5/6