TEST : GEARS OF WAR 2 / XBOX 360
GEARS OF WAR 2
Editeur : Microsoft
Developpeur : Epic Games
Support : Xbox 360
Année : 2008
Prix Jeu GEARS OF WAR 2 XBOX 360 avec Twenga

Gears of War 2 était attendu comme le messie sur xbox 360 en cette fin d’année 2008. Pourquoi ? Car depuis Halo 3 et Call of Duty 4, aucun jeu n’avait vraiment fait l’unanimité chez les joueurs… Pourtant, nombreux sont les titres d’action de qualité à être sortis courant de cette année (Unreal Tournament 3, Battlefield Bad Company,…) Mais aucun n’a eu le potentiel d’addiction apporté par Gears of War premier du nom, Halo 3 et Call of Duty 4. Mais soyez en paix, GoW2 et bien arrivé et pour y avoir joué, je peux vous dire que l’attente valait le coup !
La campagne solo
Ici, pas de mauvaise surprise. Le fonctionnement est le même que GoW1. Le jeu est jouable en solo ou en coop, elle-même dispo en local ou sur le live. Tous les succès de la campagne sont d’ailleurs déblocables à deux. Dès le départ, 3 modes de difficultés sont disponibles : novice, normal et vétéran. Ce dernier une fois terminé débloquant le mode dément.

Dans l'escouade Delta, on est pas des rigolos...
De prime abord, on pourrait penser que le moteur graphique n’a été que peu revu depuis la précédente version… Un peu de clipping par ci par là (le lot du moteur d’Epic) mais un réalisme et une qualité à toute épreuve. Sauf qu’une fois passé le premier niveau de didacticiel, se passant quasi exclusivement dans les couloirs, les choses sérieuses commencent. Et là, attention à la claque… Des décors immenses avec une profondeur de champ rarement vu, des détails à foison, des textures fouillées, des lieux imposants,… Bref, Epic a bichonné sont bébé.

Le pitch de la campagne est simple : l’utilisation de la bombe lumière dans le premier épisode, plutôt que d’annihiler la Horde des locustes, l’a au contraire renforcée. Elle est désormais capable de rayer purement et simplement des villes entières de la carte. Seule demeure intouchable la ville de Jacinto, dernier bastion de l’Humanité, en raison de son emplacement : un plateau de granit, matière que les locustes ne parviennent pas à creuser. Mais cet état de fait est en train de changer. Pour éviter de s’éteindre, la race humaine est donc obligée d’attaquer. Elle envoie donc les escouades de Gears de la CGU directement dans les profondeurs de la planète pour tuer les locustes dans leur propre bastion. C’est là que vous intervenez, en prenant le contrôle de l’escouade Delta, commandée par Marcus Fenix. Autant vous le dire tout de suite, ces mecs n’ont peur de rien… Ils renvoient le Major d’Halo au rang de fillette apeurée (ils ne sont pourtant pas abrités sous une armure ces malades !!!).
Petit ajout à ce scénario plein de testostérone, Dominic Santiago, membre de l’escouade, est à la recherche de sa femme disparue sur le champ de bataille, insufflant un peu de fragilité au milieu de cette bande de brutes.

La damoiselle en détresse...
Autant vous le dire tout de suite, cette campagne est une bombe. Ça pète de partout et il n’y a aucun temps mort. Quelques bugs de collision viennent cependant entacher ce beau tableau mais rien de bien méchant.
Les décors sont variés, les ennemis nombreux et colossaux, bref, je le redis, du tout bon. Seule ombre au tableau : c'est un peu court (je conseille de jouer directement au rang vétéran afin de se donner un peu de challenge !). Mais nous ne sommes pas non plus dans un RPG et Gears of War, nous le savons, prend tout son sens en multi…

Toi, t'as pas une gueule de porte-bonheur...


Le mode multijoueur
Jouable en ligne comme en local, il y a 6 modes : exécution (il faut venir achever l'ennemi qui rampe à terre), zone de guerre (un simple tir permet d'achever l'ennemi), annexion (une sorte de capture de zone), fugitif (capture de drapeau, mais ici le drapeau est humain et se défend... au fusil à pompe !), roi de la colline et ailier (multiples équipes de 2). Cà change des 3 modes du premier et cela lui promet donc un avenir encore plus grand en ligne.
Autre mode multi joueur : le mode Horde. Jouable à 5, il s'agit de 50 vagues d'ennemis successives, de plus en plus résistantes et de plus en plus puissantes, par tranche de 10. Pour information, les gens de chez Epic, qui connaissent tout de même leur bébé sur le bout des sticks, ne parviennent pas à passer la 25ème vague d'ennemis en mode dément, le mode le plus difficile du jeu. Voilà qui assure un beau challenge...
Les ennemis ont aussi changé... Outre les grenadiers munis de fusil à pompe, les rebuts qui sautillent partout et les drones et leur mitraillettes, nous retrouvons aussi nos amis Boomer et leur lance-grenades, mais aussi les même avec d'immenses hachoirs ou encore des fléaux d'armes et un bouclier (et je peux vous dire que les voir arriver de loin derrière leur bouclier et se mettre à vous charger en courant quand ils sont à 5 mètres de vous, ça fait tout drôle...). D'autres bestioles inédites apparaissent : Les mages kantus, qui réveillent les locustes tombés au combat, des saleté de bestioles à 4 pattes qui se kamikazent en explosant sur tout humain de passage (les Tickers), des locustes sur d'atroces montures bipèdes ayant d'immenses griffes, des bestiaux à mi-chemin entre predator et les floods de Halo (les Sires)... Bref, le mode Horde n'est pas de tout repos... Ici, le travail d'équipe prime et s'en sortir seul est proche de l'impossible.
Autre point important : les bots ! Enfin un jeu next gen avec des bots agressifs, intelligents, autrement dit donnant du fil à retordre, même dans les modes de difficultés les plus bas... Et oui ! Si vous jouez en partie non classée en ligne ou en local, vous pouvez paramétrer l'ajout de bots et fixer leur niveau.

Gears of War 2: les locustes sont de retour et ils ne sont pas contents...
Reste les parties publiques, correspondant aux parties classées. Contrairement au premier Gears of War, le matchmaking est possible. Cependant, c'est bien tout ce que l'on peut maitriser à coup sûr. Nous sommes ensuite rejoints par 5 adversaires et les deux équipes doivent voter entre deux maps puis entre deux modes de jeux... Ce principe est bien pensé est devrait permettre d'éviter les tricheurs...
Petit point technique : dans Gears of War, sur le live, c'était un des joueurs qui hébergeait la partie et pour peu que le joueur en question ait une connexion de qualité et un bon niveau, il était quasiment invincible. Pour cette suite, afin d'équilibrer la donne, en partie classée, les parties sont hébergées par des serveurs dédiés. Pour les parties privées, le mode de fonctionnement est cependant le même qu'initialement.
Des ajouts sympathiques ont aussi été faits dans les possibilités ludiques du jeu. Désormais, d'une simple pression du bouton LB, vous pourrez voir tous vos contacts étant sur Gears of War 2 en même temps que vous, le mode de jeu qu'ils pratiquent dans l'instant,... Vous pouvez aussi, une fois mort en partie multijoueur, utiliser la caméra fantôme et vous déplacer sur la map comme vous le voulez (comme dans Halo 3 sauf qu'ici, la partie est en cours) et prendre des photos qui seront stockées dans votre journal de guerre... bref, ce jeu est vraiment bien pensé et il me tarde déjà de m'y remettre.
Enfin, les armes: tourelles sulfator (énorme sulfateuse que l'on peut poser où l'on veut pour tirer, mitraillette, lanzor (hum! Chainsaw! good!), Colt six coup surpuissant, tir de mortier, lance flammes, grenades, fumigènes paralysants, grenades empoisonnées, mitraillettes, sniper,... Tout y est ! De quoi se trucider dans la joie et la bonne humeur !

J'aime passer les locustes au barbecue...
Au final, les ajouts de gameplay sont présents mais subtiles… Les déplacements des personnages sont similaires mais les ajouts ne se font pas ici. Outre les armes supplémentaires, des ajouts de gameplay bien pratiques sont disponibles. La possibilité de ramper prend par exemple tout son sens lors des longues fusillades à couvert. Cela vous permettra de vous mettre à l’abri pour faciliter la tâche de vous réanimer à vos coéquipiers. La possibilité de prendre un otage est elle aussi bien pratique pour enfoncer les lignes ennemies. Qu’il est jouissif de s’abriter derrière ses ennemis pour aller débusquer les derniers survivants du camp adverse !!! Le combat de tronçonneuses est lui aussi bien pensé. Finie la cinématique de tronçonnage empêchant d’interagir avec le tronçonneur. Maintenant, la tronçonneuse n’est plus un aspirateur à ennemi et vous n’êtes donc plus intouchable. De plus, petite subtilité, même si un combat de tronçonneuse s’amorce, il est possible pour un autre ennemi de venir vous achever par derrière pendant ce laps de temps, assurant la survie de votre adversaire et votre mort par la même occasion.
Bref, ce mode multi a été repensé et bien repensé. C’est vraiment du tout bon.

Ce n'est pas le moment d'avoir les genoux qui flageolent...
Pour conclure, je ne dirai qu'une chose : pour peu que vous aimiez l'action et que l'hémoglobine ne vous effraie pas, filez acheter ce jeu. Ce n'est pas juste un add-on. Il a entièrement était repensé, recalibré. Nombreux sont les ajouts et nombreuses seront vos nuits blanches. Sur ce, j'y retourne. J'ai encore des locustes à tronçonner !
SUPPOS : 5,5/6






L'AVIS DU DOC
Gameplay fignolé, graphismes encore plus fins et plus colorés, violence exacerbée, dynamisme fulgurant, rage de combattre décuplée, et réalisation technique époustouflante, Gears of War 2 représente la vitrine technologique ultime de la Xbox 360, et pour une fois ceci est compatible avec le mot 'gameplay' ! Un jeu fabuleux, maîtrisé du bout des doigts. La PS3 peut sérieusement s'inquiéter face à une telle oeuvre, et face à une console qui démontre définitivement sa supériorité technique.
Editeur : Microsoft
Developpeur : Epic Games
Support : Xbox 360
Année : 2008
Prix Jeu GEARS OF WAR 2 XBOX 360 avec Twenga

Gears of War 2 était attendu comme le messie sur xbox 360 en cette fin d’année 2008. Pourquoi ? Car depuis Halo 3 et Call of Duty 4, aucun jeu n’avait vraiment fait l’unanimité chez les joueurs… Pourtant, nombreux sont les titres d’action de qualité à être sortis courant de cette année (Unreal Tournament 3, Battlefield Bad Company,…) Mais aucun n’a eu le potentiel d’addiction apporté par Gears of War premier du nom, Halo 3 et Call of Duty 4. Mais soyez en paix, GoW2 et bien arrivé et pour y avoir joué, je peux vous dire que l’attente valait le coup !
La campagne solo
Ici, pas de mauvaise surprise. Le fonctionnement est le même que GoW1. Le jeu est jouable en solo ou en coop, elle-même dispo en local ou sur le live. Tous les succès de la campagne sont d’ailleurs déblocables à deux. Dès le départ, 3 modes de difficultés sont disponibles : novice, normal et vétéran. Ce dernier une fois terminé débloquant le mode dément.

Dans l'escouade Delta, on est pas des rigolos...
De prime abord, on pourrait penser que le moteur graphique n’a été que peu revu depuis la précédente version… Un peu de clipping par ci par là (le lot du moteur d’Epic) mais un réalisme et une qualité à toute épreuve. Sauf qu’une fois passé le premier niveau de didacticiel, se passant quasi exclusivement dans les couloirs, les choses sérieuses commencent. Et là, attention à la claque… Des décors immenses avec une profondeur de champ rarement vu, des détails à foison, des textures fouillées, des lieux imposants,… Bref, Epic a bichonné sont bébé.

Le pitch de la campagne est simple : l’utilisation de la bombe lumière dans le premier épisode, plutôt que d’annihiler la Horde des locustes, l’a au contraire renforcée. Elle est désormais capable de rayer purement et simplement des villes entières de la carte. Seule demeure intouchable la ville de Jacinto, dernier bastion de l’Humanité, en raison de son emplacement : un plateau de granit, matière que les locustes ne parviennent pas à creuser. Mais cet état de fait est en train de changer. Pour éviter de s’éteindre, la race humaine est donc obligée d’attaquer. Elle envoie donc les escouades de Gears de la CGU directement dans les profondeurs de la planète pour tuer les locustes dans leur propre bastion. C’est là que vous intervenez, en prenant le contrôle de l’escouade Delta, commandée par Marcus Fenix. Autant vous le dire tout de suite, ces mecs n’ont peur de rien… Ils renvoient le Major d’Halo au rang de fillette apeurée (ils ne sont pourtant pas abrités sous une armure ces malades !!!).
Petit ajout à ce scénario plein de testostérone, Dominic Santiago, membre de l’escouade, est à la recherche de sa femme disparue sur le champ de bataille, insufflant un peu de fragilité au milieu de cette bande de brutes.

La damoiselle en détresse...
Autant vous le dire tout de suite, cette campagne est une bombe. Ça pète de partout et il n’y a aucun temps mort. Quelques bugs de collision viennent cependant entacher ce beau tableau mais rien de bien méchant.
Les décors sont variés, les ennemis nombreux et colossaux, bref, je le redis, du tout bon. Seule ombre au tableau : c'est un peu court (je conseille de jouer directement au rang vétéran afin de se donner un peu de challenge !). Mais nous ne sommes pas non plus dans un RPG et Gears of War, nous le savons, prend tout son sens en multi…

Toi, t'as pas une gueule de porte-bonheur...


Le mode multijoueur
Jouable en ligne comme en local, il y a 6 modes : exécution (il faut venir achever l'ennemi qui rampe à terre), zone de guerre (un simple tir permet d'achever l'ennemi), annexion (une sorte de capture de zone), fugitif (capture de drapeau, mais ici le drapeau est humain et se défend... au fusil à pompe !), roi de la colline et ailier (multiples équipes de 2). Cà change des 3 modes du premier et cela lui promet donc un avenir encore plus grand en ligne.
Autre mode multi joueur : le mode Horde. Jouable à 5, il s'agit de 50 vagues d'ennemis successives, de plus en plus résistantes et de plus en plus puissantes, par tranche de 10. Pour information, les gens de chez Epic, qui connaissent tout de même leur bébé sur le bout des sticks, ne parviennent pas à passer la 25ème vague d'ennemis en mode dément, le mode le plus difficile du jeu. Voilà qui assure un beau challenge...
Les ennemis ont aussi changé... Outre les grenadiers munis de fusil à pompe, les rebuts qui sautillent partout et les drones et leur mitraillettes, nous retrouvons aussi nos amis Boomer et leur lance-grenades, mais aussi les même avec d'immenses hachoirs ou encore des fléaux d'armes et un bouclier (et je peux vous dire que les voir arriver de loin derrière leur bouclier et se mettre à vous charger en courant quand ils sont à 5 mètres de vous, ça fait tout drôle...). D'autres bestioles inédites apparaissent : Les mages kantus, qui réveillent les locustes tombés au combat, des saleté de bestioles à 4 pattes qui se kamikazent en explosant sur tout humain de passage (les Tickers), des locustes sur d'atroces montures bipèdes ayant d'immenses griffes, des bestiaux à mi-chemin entre predator et les floods de Halo (les Sires)... Bref, le mode Horde n'est pas de tout repos... Ici, le travail d'équipe prime et s'en sortir seul est proche de l'impossible.
Autre point important : les bots ! Enfin un jeu next gen avec des bots agressifs, intelligents, autrement dit donnant du fil à retordre, même dans les modes de difficultés les plus bas... Et oui ! Si vous jouez en partie non classée en ligne ou en local, vous pouvez paramétrer l'ajout de bots et fixer leur niveau.

Gears of War 2: les locustes sont de retour et ils ne sont pas contents...
Reste les parties publiques, correspondant aux parties classées. Contrairement au premier Gears of War, le matchmaking est possible. Cependant, c'est bien tout ce que l'on peut maitriser à coup sûr. Nous sommes ensuite rejoints par 5 adversaires et les deux équipes doivent voter entre deux maps puis entre deux modes de jeux... Ce principe est bien pensé est devrait permettre d'éviter les tricheurs...
Petit point technique : dans Gears of War, sur le live, c'était un des joueurs qui hébergeait la partie et pour peu que le joueur en question ait une connexion de qualité et un bon niveau, il était quasiment invincible. Pour cette suite, afin d'équilibrer la donne, en partie classée, les parties sont hébergées par des serveurs dédiés. Pour les parties privées, le mode de fonctionnement est cependant le même qu'initialement.
Des ajouts sympathiques ont aussi été faits dans les possibilités ludiques du jeu. Désormais, d'une simple pression du bouton LB, vous pourrez voir tous vos contacts étant sur Gears of War 2 en même temps que vous, le mode de jeu qu'ils pratiquent dans l'instant,... Vous pouvez aussi, une fois mort en partie multijoueur, utiliser la caméra fantôme et vous déplacer sur la map comme vous le voulez (comme dans Halo 3 sauf qu'ici, la partie est en cours) et prendre des photos qui seront stockées dans votre journal de guerre... bref, ce jeu est vraiment bien pensé et il me tarde déjà de m'y remettre.
Enfin, les armes: tourelles sulfator (énorme sulfateuse que l'on peut poser où l'on veut pour tirer, mitraillette, lanzor (hum! Chainsaw! good!), Colt six coup surpuissant, tir de mortier, lance flammes, grenades, fumigènes paralysants, grenades empoisonnées, mitraillettes, sniper,... Tout y est ! De quoi se trucider dans la joie et la bonne humeur !

J'aime passer les locustes au barbecue...
Au final, les ajouts de gameplay sont présents mais subtiles… Les déplacements des personnages sont similaires mais les ajouts ne se font pas ici. Outre les armes supplémentaires, des ajouts de gameplay bien pratiques sont disponibles. La possibilité de ramper prend par exemple tout son sens lors des longues fusillades à couvert. Cela vous permettra de vous mettre à l’abri pour faciliter la tâche de vous réanimer à vos coéquipiers. La possibilité de prendre un otage est elle aussi bien pratique pour enfoncer les lignes ennemies. Qu’il est jouissif de s’abriter derrière ses ennemis pour aller débusquer les derniers survivants du camp adverse !!! Le combat de tronçonneuses est lui aussi bien pensé. Finie la cinématique de tronçonnage empêchant d’interagir avec le tronçonneur. Maintenant, la tronçonneuse n’est plus un aspirateur à ennemi et vous n’êtes donc plus intouchable. De plus, petite subtilité, même si un combat de tronçonneuse s’amorce, il est possible pour un autre ennemi de venir vous achever par derrière pendant ce laps de temps, assurant la survie de votre adversaire et votre mort par la même occasion.
Bref, ce mode multi a été repensé et bien repensé. C’est vraiment du tout bon.

Ce n'est pas le moment d'avoir les genoux qui flageolent...
Pour conclure, je ne dirai qu'une chose : pour peu que vous aimiez l'action et que l'hémoglobine ne vous effraie pas, filez acheter ce jeu. Ce n'est pas juste un add-on. Il a entièrement était repensé, recalibré. Nombreux sont les ajouts et nombreuses seront vos nuits blanches. Sur ce, j'y retourne. J'ai encore des locustes à tronçonner !
SUPPOS : 5,5/6







Gameplay fignolé, graphismes encore plus fins et plus colorés, violence exacerbée, dynamisme fulgurant, rage de combattre décuplée, et réalisation technique époustouflante, Gears of War 2 représente la vitrine technologique ultime de la Xbox 360, et pour une fois ceci est compatible avec le mot 'gameplay' ! Un jeu fabuleux, maîtrisé du bout des doigts. La PS3 peut sérieusement s'inquiéter face à une telle oeuvre, et face à une console qui démontre définitivement sa supériorité technique.