ACHETER D'OCCASION TUE !
Les jeux d’occasion, tous les Gamopats en achètent. Mais apparemment, nous menons une pratique honteuse. Bou, les vilains !
Et ça c’est David Braben qui le dit. Vous savez le créateur d’Elite ! Non,
pas l’agence de mannequins, le jeu ! Pour lui, les jeux d’occasion nuisent complètement aux jeux neufs. Ah, c’est pas nouveau ça…

Braben s’exprime suite à l’annonce faite par le groupe commercial anglais HMV, qui va désormais accepter de vendre et d’acheter des jeux d’occasion. Braben dénonce les joueurs qui ramènent leur jeux dans les boutiques pour se les faire reprendre une fois finis. Mais il dénonce aussi les boutiques. Pour lui, c’est dégradant de payer un jeu plein pot et se retrouver avec un jeu déjà utilisé. Oui, c’est sur que dans ce cas là, on a l’impression de se faire un peu enfler…
Et c’est l’occasion pour notre brave créateur d’embrayer sur le futur du jeu vidéo.
Lui, il verrait bien un système de location, comme dans l’industrie cinématographique. Avec deux versions de jeu. Une pour une utilisation personnelle, qu’on ne peut pas revendre. Et une autre, spécialement faite pour la location. Il propose aussi de récompenser les joueurs qui posséderaient des jeux originaux, pour les encourager à acheter des jeux neufs en boutique. L’idée serait d’offrir certaines prestations (patches, mises à jour), en échange de la preuve d’achat du jeu neuf.
Pour Braben, si l’industrie vidéoludique n’adopte pas certains changements, nous nous dirigerons alors vers les jeux uniquement en téléchargement et online.
Il est gentil notre cher Braben. Mais les locations des jeux seraient difficile à mettre en place aujourd’hui dans le monde entier en même temps. D’ailleurs, un « not for resale » sur une galette n’a jamais empêché de la revendre sous le manteau (ou c’est pas bien ce que je dis là).
Et la disparition des supports est en marche forcée…
Bref, si l’on adopte la vision de Braben, ce ne sont pas que les joueurs qui achètent ou revendent d’occasion qui sont les méchants. Ce sont aussi les boutiques qui le permettent qui le sont. Et les 3 géants du secteur vidéoludique aussi, avec leurs consoles virtuelles. Mais ça, Braben ne le dit pas…

Braben s’exprime suite à l’annonce faite par le groupe commercial anglais HMV, qui va désormais accepter de vendre et d’acheter des jeux d’occasion. Braben dénonce les joueurs qui ramènent leur jeux dans les boutiques pour se les faire reprendre une fois finis. Mais il dénonce aussi les boutiques. Pour lui, c’est dégradant de payer un jeu plein pot et se retrouver avec un jeu déjà utilisé. Oui, c’est sur que dans ce cas là, on a l’impression de se faire un peu enfler…
Et c’est l’occasion pour notre brave créateur d’embrayer sur le futur du jeu vidéo.
Lui, il verrait bien un système de location, comme dans l’industrie cinématographique. Avec deux versions de jeu. Une pour une utilisation personnelle, qu’on ne peut pas revendre. Et une autre, spécialement faite pour la location. Il propose aussi de récompenser les joueurs qui posséderaient des jeux originaux, pour les encourager à acheter des jeux neufs en boutique. L’idée serait d’offrir certaines prestations (patches, mises à jour), en échange de la preuve d’achat du jeu neuf.
Pour Braben, si l’industrie vidéoludique n’adopte pas certains changements, nous nous dirigerons alors vers les jeux uniquement en téléchargement et online.
Il est gentil notre cher Braben. Mais les locations des jeux seraient difficile à mettre en place aujourd’hui dans le monde entier en même temps. D’ailleurs, un « not for resale » sur une galette n’a jamais empêché de la revendre sous le manteau (ou c’est pas bien ce que je dis là).
Et la disparition des supports est en marche forcée…
Bref, si l’on adopte la vision de Braben, ce ne sont pas que les joueurs qui achètent ou revendent d’occasion qui sont les méchants. Ce sont aussi les boutiques qui le permettent qui le sont. Et les 3 géants du secteur vidéoludique aussi, avec leurs consoles virtuelles. Mais ça, Braben ne le dit pas…