RETROGAMING : ECCO THE DOLPHIN / MEGADRIVE
Développeur : SEGA - Novotrade - Apaloosa
Editeur : SEGA
Année : 1993
Support : Megadrive
Existe également sur Master System, 32X et Game Gear
Ecco… Une des mascottes qui ont marqué l’aventure Sega. Ce jeu superbe et atypique sort sur la Megadrive en 1993, et représente une véritable révolution à l’époque.
Dans ce jeu d’aventure, développé par Novotrade, vous incarnez Ecco, un dauphin (non, sans blague) qui doit retrouver sa famille, suite à une catastrophe dont il doit découvrir l’origine. Il doit pour cela se renseigner auprès des autres mammifères amis, et même traverser le temps pour retrouver ses proches. La tache n’est évidemment pas facile puisque de nombreux ennemis vont lui barrer la route. Mais Ecco est loin (très loin même) de se douter que ceci est simplement du à une invasion d’extra-terrestre à têtes d’Alien… Bref, le scénario est un peu tiré par les cheveux, mais l’histoire se laisse conter… en anglais !
Vous commencez le jeu en train de barboter avec vos amis, et vous devez faire un saut à l’air libre pour déclencher la tornade, et donc l’aventure. Tout le monde vous le dira, enchainer les acrobaties hors de l’eau est un véritable plaisir. Outre ces sauts de fou, notre dauphin sait charger les ennemis pour les éliminer, adopter un rythme de croisière en pleine vitesse, mais aussi se repérer grâce à son echosonar dans les niveaux plutôt labyrinthiques. En résumé, un gameplay plutôt complet et une animation sans défaut.
Oh, un dauphin volant
Un petit coup de sonar !
Ce qu’on remarque de suite, c’est la beauté du soft. Ses graphismes magnifiques exploitent parfaitement les capacités de la 16-bit de Sega. Les décors se montrent réalistes et participent pleinement à l’ambiance calme et reposante d’Ecco. Le bleu profond des premiers niveaux fait place à la beauté glacée des mers polaires, aux couleurs chatoyantes de la Préhistoire, puis à l’atmosphère extra-terrestre pesante et stressante.
Il fait un peu froid ici..
Les dauphins existaient à la préhistoire ???
Les animaux marins rencontrés au cours du jeu, requins, baleines et orques, sont superbement représentés ainsi que les créatures préhistoriques comme les trilobites et le ptéranodon. Cette palette graphique bien utilisée est renforcée par une musique des plus douces et mélancoliques qu’il soit.
Réponse du Pténarodon : non !
Mais être un beau jeu ne rime pas toujours avec bon jeu. La difficulté d’Ecco se concentre sur l’étendue des niveaux. Ceux-ci sont un mélange d’exploration et de shoot them’up, en scrolling multi-directionnel s’il vous plait !
Encore un satané glyphe !
La plupart des énigmes se résument à trouver le cristal glyphe adéquat pour se doter d’un super pouvoir et libérer ainsi le passage. Ces cristaux sont évidemment bien dissimulés dans des labyrinthes sophistiqués, gardés par une horde d’ennemis, et loin de toute poche d’air. Et oui, Ecco reste un mammifère qui a besoin de respirer à la surface ou dans des grottes. En effet en plus de la jauge de vie de cinq unités que vous pouvez recharger en mangeant des poissons, vous avez une jauge de respiration à surveiller régulièrement, ce qui augmente fortement le challenge ! Heureusement, pour sauvegarder, chacun des 25 niveaux dispose d’un mot de passe.
Ecco est un jeu innovant, envoûtant, fascinant avec une durée de vie longue pour l’époque mais vraiment très dur.
SUPPOS : 5/6
Il existe une version Master System, moins chatoyante, et une avec le MegaCD, identique à celle de la Megadrive, avec des niveaux supplémentaires et une bande son en qualité CD.
A noter que Novotrade a voulu se montrer pédagogique pour les enfants en donnant de nombreuses informations sur les dauphins et leur mode de vie dans le livret du jeu.
Editeur : SEGA
Année : 1993
Support : Megadrive
Existe également sur Master System, 32X et Game Gear
Ecco… Une des mascottes qui ont marqué l’aventure Sega. Ce jeu superbe et atypique sort sur la Megadrive en 1993, et représente une véritable révolution à l’époque.
Dans ce jeu d’aventure, développé par Novotrade, vous incarnez Ecco, un dauphin (non, sans blague) qui doit retrouver sa famille, suite à une catastrophe dont il doit découvrir l’origine. Il doit pour cela se renseigner auprès des autres mammifères amis, et même traverser le temps pour retrouver ses proches. La tache n’est évidemment pas facile puisque de nombreux ennemis vont lui barrer la route. Mais Ecco est loin (très loin même) de se douter que ceci est simplement du à une invasion d’extra-terrestre à têtes d’Alien… Bref, le scénario est un peu tiré par les cheveux, mais l’histoire se laisse conter… en anglais !
Vous commencez le jeu en train de barboter avec vos amis, et vous devez faire un saut à l’air libre pour déclencher la tornade, et donc l’aventure. Tout le monde vous le dira, enchainer les acrobaties hors de l’eau est un véritable plaisir. Outre ces sauts de fou, notre dauphin sait charger les ennemis pour les éliminer, adopter un rythme de croisière en pleine vitesse, mais aussi se repérer grâce à son echosonar dans les niveaux plutôt labyrinthiques. En résumé, un gameplay plutôt complet et une animation sans défaut.
Oh, un dauphin volant
Un petit coup de sonar !
Ce qu’on remarque de suite, c’est la beauté du soft. Ses graphismes magnifiques exploitent parfaitement les capacités de la 16-bit de Sega. Les décors se montrent réalistes et participent pleinement à l’ambiance calme et reposante d’Ecco. Le bleu profond des premiers niveaux fait place à la beauté glacée des mers polaires, aux couleurs chatoyantes de la Préhistoire, puis à l’atmosphère extra-terrestre pesante et stressante.
Il fait un peu froid ici..
Les dauphins existaient à la préhistoire ???
Les animaux marins rencontrés au cours du jeu, requins, baleines et orques, sont superbement représentés ainsi que les créatures préhistoriques comme les trilobites et le ptéranodon. Cette palette graphique bien utilisée est renforcée par une musique des plus douces et mélancoliques qu’il soit.
Réponse du Pténarodon : non !
Mais être un beau jeu ne rime pas toujours avec bon jeu. La difficulté d’Ecco se concentre sur l’étendue des niveaux. Ceux-ci sont un mélange d’exploration et de shoot them’up, en scrolling multi-directionnel s’il vous plait !
Encore un satané glyphe !
La plupart des énigmes se résument à trouver le cristal glyphe adéquat pour se doter d’un super pouvoir et libérer ainsi le passage. Ces cristaux sont évidemment bien dissimulés dans des labyrinthes sophistiqués, gardés par une horde d’ennemis, et loin de toute poche d’air. Et oui, Ecco reste un mammifère qui a besoin de respirer à la surface ou dans des grottes. En effet en plus de la jauge de vie de cinq unités que vous pouvez recharger en mangeant des poissons, vous avez une jauge de respiration à surveiller régulièrement, ce qui augmente fortement le challenge ! Heureusement, pour sauvegarder, chacun des 25 niveaux dispose d’un mot de passe.
Ecco est un jeu innovant, envoûtant, fascinant avec une durée de vie longue pour l’époque mais vraiment très dur.
SUPPOS : 5/6
Il existe une version Master System, moins chatoyante, et une avec le MegaCD, identique à celle de la Megadrive, avec des niveaux supplémentaires et une bande son en qualité CD.
A noter que Novotrade a voulu se montrer pédagogique pour les enfants en donnant de nombreuses informations sur les dauphins et leur mode de vie dans le livret du jeu.