LES FEMMES AU CENTRE DE TOUTES LES CONVOITISES !
N'en déplaise à certains, Sony a décidé de miser un peu plus sur la gente féminine en
matière de conception de ses jeux vidéos.
Pour cela, le groupe japonais a annoncé la semaine dernière à la GDC (Game Development Conference), la création d'une bourse de 10 000 dollars correspondant aux frais de scolarité et de stages rémunérés. Ceci ayant pour but pour d'encourager les femmes vers un métier jusque là propriété de l'homme.
En effet, selon un sondage lancé par Sony en janvier auprès d'étudiantes inscrites dans le programme du game design de l'Art Institutes, davantage de femmes joueraient à des jeux vidéo si ces derniers étaient conçus par elles. Et oui, les jeux sentent trop la testostérone apparemment… Selon cette même étude la perception d'un domaine dominé par les hommes dissuade les femmes d'en faire partie.
Les étudiantes scolarisées sur les 35 campus de l'Art Institutes pourront donc déposer leur dossier auprès de leur école qui le transmettra, et les candidates retenues pour ce programme auront la chance d'effectuer dans le cadre de leur formation un stage rémunéré au sein de Sony.
Après l'annonce de cette création, Devra Pransky, une des responsables de Sony Online Entertainment (SOE) a osé déclarer « nous sommes sous-représentées », et « la fabrication des jeux vidéo est dominée par les hommes et nous devons changer cela ». Autre image forte, celle de Taina Rodriguez, autre responsable de SOE, vêtue d'un tee-shirt ayant l'inscription G.I.R.L. (Gamers In Real Life), qui estime que « c'est une erreur de penser que les femmes n'aiment pas les jeux vidéo », et « si plus de femmes font des jeux, alors plus de femmes joueront et seront passionnées par ces jeux. Nous voulons renforcer ce cycle ».
Mais attention, sous couvert de soutenir la cause féminine, c’est peut-être plutôt le cycle vertueux du marketing et de la vente que Sony veut défendre et renforcer !
Elodiebo
Pour cela, le groupe japonais a annoncé la semaine dernière à la GDC (Game Development Conference), la création d'une bourse de 10 000 dollars correspondant aux frais de scolarité et de stages rémunérés. Ceci ayant pour but pour d'encourager les femmes vers un métier jusque là propriété de l'homme.
En effet, selon un sondage lancé par Sony en janvier auprès d'étudiantes inscrites dans le programme du game design de l'Art Institutes, davantage de femmes joueraient à des jeux vidéo si ces derniers étaient conçus par elles. Et oui, les jeux sentent trop la testostérone apparemment… Selon cette même étude la perception d'un domaine dominé par les hommes dissuade les femmes d'en faire partie.
Les étudiantes scolarisées sur les 35 campus de l'Art Institutes pourront donc déposer leur dossier auprès de leur école qui le transmettra, et les candidates retenues pour ce programme auront la chance d'effectuer dans le cadre de leur formation un stage rémunéré au sein de Sony.
Après l'annonce de cette création, Devra Pransky, une des responsables de Sony Online Entertainment (SOE) a osé déclarer « nous sommes sous-représentées », et « la fabrication des jeux vidéo est dominée par les hommes et nous devons changer cela ». Autre image forte, celle de Taina Rodriguez, autre responsable de SOE, vêtue d'un tee-shirt ayant l'inscription G.I.R.L. (Gamers In Real Life), qui estime que « c'est une erreur de penser que les femmes n'aiment pas les jeux vidéo », et « si plus de femmes font des jeux, alors plus de femmes joueront et seront passionnées par ces jeux. Nous voulons renforcer ce cycle ».
Mais attention, sous couvert de soutenir la cause féminine, c’est peut-être plutôt le cycle vertueux du marketing et de la vente que Sony veut défendre et renforcer !
Elodiebo