MIYAMOTO EXASPERE ?
Shigeru Miyamoto, en pleine promo pour son jeu ultra casual Wii Music, enchaîne actuellement les
interviews pour tenter de nous vendre sa galette, et dernièrement c'est aux questions du site Gamedaily qu'il se doit de répondre.
Mais à chaque interview, Miyamoto ne peut pas échapper aux questions sur l'existence ou non de "vrais jeux" en préparation. Le célèbre designer, qui habituellement est souriant et remplit de patience, commence par être exaspéré et répond sèchement : "Ils arrivent. Alors s'il vous plaît, pouvez-vous arrêter de poser ces questions ?"

"Alors toi aussi les journalistes te harcèlent quand tu fais de la merde ?"
Puis il modère le ton et développe : "Depuis 30 ans j'ai fait des jeux, et la plupart du temps, j'ai fait des jeux que les fans de Nintendo ont aimés. C'est sur ce type de jeu dont ma carrière a été basée et nous continuerons de développer ce type de jeu. En fait, nous avons plusieurs titres de la sorte actuellement en développement."
Miyamoto semble donc vraiment exaspéré et se sent harcelé. Mais à qui la faute ?
A Nintendo qui voit le casual gaming fonctionner à merveille et aurait donc "obligé" à Shigeru Miyamoto de développer des titres de la sorte contre son gré ?
Miyamoto est-il obligé de faire une promotion sur un jeu qu'il n'aime peut-être pas ?
A-t-il les mains liées par Nintendo ?
A voir le virage créatif entreprit par Mr Miyamoto, on est en droit de se poser ce genre de questions. De plus, Gamedaily tente de trouver des circonstances atténuantes à ce petit pétage de plomb en concluant que "Miyamoto est une personne agréable, mais semble un peu exaspéré par la situation, comme l'est le gamer fidèle à Nintendo."
La politique de sa firme ne lui taperait pas un peu sur le système à lui aussi ?
Pour conclure, à part 1 ou 2 titres, le planning Nintendo 2009 ne foisonnent vraiment pas de jeux core gamers. Un Castlevania judgment, qui, à la grande déception des fans, est un jeu de baston, un Dead Rising revu à la baisse pour la Wii, un énième remake de resident evil 1, un PES 2009 ainsi qu'un Rock Band 2 six mois à la bourre par rapport aux versions 360 et PS3, y'a pas de quoi casser trois pattes à un canard.
Mais à chaque interview, Miyamoto ne peut pas échapper aux questions sur l'existence ou non de "vrais jeux" en préparation. Le célèbre designer, qui habituellement est souriant et remplit de patience, commence par être exaspéré et répond sèchement : "Ils arrivent. Alors s'il vous plaît, pouvez-vous arrêter de poser ces questions ?"

"Alors toi aussi les journalistes te harcèlent quand tu fais de la merde ?"
Puis il modère le ton et développe : "Depuis 30 ans j'ai fait des jeux, et la plupart du temps, j'ai fait des jeux que les fans de Nintendo ont aimés. C'est sur ce type de jeu dont ma carrière a été basée et nous continuerons de développer ce type de jeu. En fait, nous avons plusieurs titres de la sorte actuellement en développement."
Miyamoto semble donc vraiment exaspéré et se sent harcelé. Mais à qui la faute ?
A Nintendo qui voit le casual gaming fonctionner à merveille et aurait donc "obligé" à Shigeru Miyamoto de développer des titres de la sorte contre son gré ?
Miyamoto est-il obligé de faire une promotion sur un jeu qu'il n'aime peut-être pas ?
A-t-il les mains liées par Nintendo ?
A voir le virage créatif entreprit par Mr Miyamoto, on est en droit de se poser ce genre de questions. De plus, Gamedaily tente de trouver des circonstances atténuantes à ce petit pétage de plomb en concluant que "Miyamoto est une personne agréable, mais semble un peu exaspéré par la situation, comme l'est le gamer fidèle à Nintendo."
La politique de sa firme ne lui taperait pas un peu sur le système à lui aussi ?
Pour conclure, à part 1 ou 2 titres, le planning Nintendo 2009 ne foisonnent vraiment pas de jeux core gamers. Un Castlevania judgment, qui, à la grande déception des fans, est un jeu de baston, un Dead Rising revu à la baisse pour la Wii, un énième remake de resident evil 1, un PES 2009 ainsi qu'un Rock Band 2 six mois à la bourre par rapport aux versions 360 et PS3, y'a pas de quoi casser trois pattes à un canard.