ELECTRONIC ARTS : TOUS LES COUPS SONT PERMIS !
Selon Michael Pachter, analyste chez Wedbush Morgan Securities, Electronic Arts ne devrait finalement pas attendre la fin du développement de GTA IV pour racheter Take
Two.
En effet, EA est passé à la vitesse supérieure, et mène une véritable campagne publique autour de cette transaction. EA est même allé jusqu’à ouvrir un site web spécialement dédié à cette affaire : (http://www.eatake2.com) et à publier des lettres adressés aux administrateurs de Take Two. L’éditeur en appelle donc au public pour faire pression sur les actionnaires. Et ça marche !
Après avoir proposé 25$ par action, EA a augmenté son offre à 26$, valorisant ainsi Take Two à environ 2 milliards de dollars. Offre une nouvelle fois refusée par le conseil d'administration de la société. Ce qui a mis en colère les actionnaires de Take Two, dont certains sont même allés jusqu'à porter plainte contre la direction.
Allez Cliff, 26$ l'action et on en parle plus !
D'après Pachter, en rendant l'affaire publique, EA laisse penser que l’affaire est conclue. La seule raison qui permettrait à Take Two de rejeter l'offre est d’en avoir une meilleure. Or, personne d’autre ne pourrait payer autant ou plus pour ces actions. Electronic Arts, vraiment déterminé, laisse même planer la menace d'une OPA hostile en dernier recours.
JR, c'est 27$ plus une nuit avec Sue Ellen ou rien !
EA est prêt à tout pour conquérir sa cible rapidement, afin d’utiliser son propre réseau plus développé pour exploser les ventes de GTA IV. Mais selon les analystes, c’est plus la division sport de Take Two qui intéresse EA : une éventuelle fusion permettrait à l’éditeur d'éliminer son principal et dernier véritable concurrent sur ce créneau. Patcher va même jusqu’à dire que si EA n’arrive pas à acquérir sa cible, l’entreprise ira chercher les meilleurs développeurs chez Take two et Rockstar pour exploiter soi-même la licence de Grand Theft Auto.
Le rouleau compresseur EA est en marche… A suivre.
En effet, EA est passé à la vitesse supérieure, et mène une véritable campagne publique autour de cette transaction. EA est même allé jusqu’à ouvrir un site web spécialement dédié à cette affaire : (http://www.eatake2.com) et à publier des lettres adressés aux administrateurs de Take Two. L’éditeur en appelle donc au public pour faire pression sur les actionnaires. Et ça marche !
Après avoir proposé 25$ par action, EA a augmenté son offre à 26$, valorisant ainsi Take Two à environ 2 milliards de dollars. Offre une nouvelle fois refusée par le conseil d'administration de la société. Ce qui a mis en colère les actionnaires de Take Two, dont certains sont même allés jusqu'à porter plainte contre la direction.
Allez Cliff, 26$ l'action et on en parle plus !
D'après Pachter, en rendant l'affaire publique, EA laisse penser que l’affaire est conclue. La seule raison qui permettrait à Take Two de rejeter l'offre est d’en avoir une meilleure. Or, personne d’autre ne pourrait payer autant ou plus pour ces actions. Electronic Arts, vraiment déterminé, laisse même planer la menace d'une OPA hostile en dernier recours.
JR, c'est 27$ plus une nuit avec Sue Ellen ou rien !
EA est prêt à tout pour conquérir sa cible rapidement, afin d’utiliser son propre réseau plus développé pour exploser les ventes de GTA IV. Mais selon les analystes, c’est plus la division sport de Take Two qui intéresse EA : une éventuelle fusion permettrait à l’éditeur d'éliminer son principal et dernier véritable concurrent sur ce créneau. Patcher va même jusqu’à dire que si EA n’arrive pas à acquérir sa cible, l’entreprise ira chercher les meilleurs développeurs chez Take two et Rockstar pour exploiter soi-même la licence de Grand Theft Auto.
Le rouleau compresseur EA est en marche… A suivre.