TEST : SILENT HILL 2 / PS2
Editeur : Konami
Plateforme : Playstation 2, Xbox et PC
Date sortie Eu : 23 novembre 2001
A l’époque, après avoir fini les Resident Evil jusqu’au Code Veronica sur Dreamcast et Alone in the dark the new nightmare, et étant affamé de Survival Horror, une série que je n’avais pas testé me titillais, depuis les échos que j’avais eu sur Silent Hill 1. Donc je m’empressais d’aller acheter Silent Hill 2 le jour de sa sortie, et quelle ne fut pas la claque, non le mur, que je me pris en pleine poire. Devant moi se tenait un monument du jeu video.
Dès le moment où le jeu débute, une impression de mal être se fait sentir. La première scène du jeu se déroule dans des toilettes où Mr Propre a démissionné depuis longtemps et où le héros James Sunderland se tient.
Une fois sorti des toilettes, James lit une lettre qu’il a reçu de sa femme décédée, qui lui dit qu’elle l’attend à Silent Hill. Donc en gros l’histoire du jeu est de retrouver la femme de James décédée plus tôt, d’emblée l’ambiance est posée.
Le gameplay repose sur un système très proche de celui de Resident Evil avec un inventaire tres complet et lisible. Les personnages sont moins raides que dans la série phare de Capcom. Pour s’aventurer dans des lieux sombres, James dispose d’une lampe torche ainsi que d’une radio qui grésille à chaque monstre qui se trouve à proximité. De plus la caméra est plus souvent derrière le personnage ce qui permet de se déplacer plus facilement contrairement à son concurrent. De plus de nombreuses énigmes ponctuent le jeu mais ne sont pas non plus prises de tête.
Niveau graphisme le jeu éclate la rétine en tout cas à l’époque, des ombres tres bien gérée, une modélisation des personnages excellente ainsi qu’une expression des visages exemplaires. Le chara design des monstres est quant à lui tres réussi, il est tortueux, malsain et installe immédiatement un sentiment de mal aise ( la scene de viol avec Tête de Pyramide au début du jeu est tres explicite). Le jeu en extérieur donne une impression de liberté et parait tres vaste, étonnant pour une PS2 mais le brouillard est là pour empécher les baisses de frame rate mais il est surtout indispensable pour l’ambiance du jeu. Lors du passage dans le monde alternatif, l’angoisse et omniprésente par la modélisation des lieux et installe une peur et une envie de fuir présente tout le long de cet univers parallele.
Un des points fort du jeu : la bande originale. Elle est composée par Akira YAMAOKA. Que dire de la musique du jeu à part qu’elle est tout simplement somptueuse, divine, touchante, prend aux tripes lors des scènes cultes que ce soit avec Maria ou la petite Laura à la fin du jeu lors du visionnage de la VHS. La B.O. fait partie de la puissance du soft, installe le joueur dans un univers désolé, repoussant mais à la fois fascinant. Les bruitages sont quand à eux tres bien retranscrits et installe le joueur dans un univers oppressant.
La durée de vie est tres raisonnable, pour un Survival Horror, qui avoisine la dizaine d’heures pour finir le jeu une premiere fois. Mais le jeu comporte 5 fins différentes qui allongent la durée de vie et qui permettent de voir des fins alternatives non dénuées d’intêrets bien au contraire.
Donc que dire sur ce soft à part qu’il est magnifique, indispensable, qu’il possede une histoire magistrale, des personnages secondaires psychologiquement très instables et torturés, que l’on s’attache à cet univers malsain ainsi qu’au peu d’habitants qu’il reste dans cette ville maudite.
Honnêtement je conseille vivement à tous les joueurs qui n’ont pas encore essayé ce jeu de le faire le plus vite possible car c’est pour moi le meilleur jeu de la console, je le qualifierai même de plus qu’un jeu mais d’une véritable œuvre émotionnelle. Je tiens aussi à dire pour ceux qui ont peur de jouer au 2 sans avoir fait le 1, que les Silent Hill ne se suivent pas scénaristiquement à part le 1 et le 3, donc vous n’aurez pas d’excuses. La note est amplement méritée pour l’un des meilleurs jeux au monde, je serais tenté de mettre la note parfaite mais aucun jeu ne le mérite.
SUPPOS : 5,5/6
Testé par Jimbo182
Plateforme : Playstation 2, Xbox et PC
Date sortie Eu : 23 novembre 2001
A l’époque, après avoir fini les Resident Evil jusqu’au Code Veronica sur Dreamcast et Alone in the dark the new nightmare, et étant affamé de Survival Horror, une série que je n’avais pas testé me titillais, depuis les échos que j’avais eu sur Silent Hill 1. Donc je m’empressais d’aller acheter Silent Hill 2 le jour de sa sortie, et quelle ne fut pas la claque, non le mur, que je me pris en pleine poire. Devant moi se tenait un monument du jeu video.
Dès le moment où le jeu débute, une impression de mal être se fait sentir. La première scène du jeu se déroule dans des toilettes où Mr Propre a démissionné depuis longtemps et où le héros James Sunderland se tient.
Une fois sorti des toilettes, James lit une lettre qu’il a reçu de sa femme décédée, qui lui dit qu’elle l’attend à Silent Hill. Donc en gros l’histoire du jeu est de retrouver la femme de James décédée plus tôt, d’emblée l’ambiance est posée.
Le gameplay repose sur un système très proche de celui de Resident Evil avec un inventaire tres complet et lisible. Les personnages sont moins raides que dans la série phare de Capcom. Pour s’aventurer dans des lieux sombres, James dispose d’une lampe torche ainsi que d’une radio qui grésille à chaque monstre qui se trouve à proximité. De plus la caméra est plus souvent derrière le personnage ce qui permet de se déplacer plus facilement contrairement à son concurrent. De plus de nombreuses énigmes ponctuent le jeu mais ne sont pas non plus prises de tête.
Niveau graphisme le jeu éclate la rétine en tout cas à l’époque, des ombres tres bien gérée, une modélisation des personnages excellente ainsi qu’une expression des visages exemplaires. Le chara design des monstres est quant à lui tres réussi, il est tortueux, malsain et installe immédiatement un sentiment de mal aise ( la scene de viol avec Tête de Pyramide au début du jeu est tres explicite). Le jeu en extérieur donne une impression de liberté et parait tres vaste, étonnant pour une PS2 mais le brouillard est là pour empécher les baisses de frame rate mais il est surtout indispensable pour l’ambiance du jeu. Lors du passage dans le monde alternatif, l’angoisse et omniprésente par la modélisation des lieux et installe une peur et une envie de fuir présente tout le long de cet univers parallele.
Un des points fort du jeu : la bande originale. Elle est composée par Akira YAMAOKA. Que dire de la musique du jeu à part qu’elle est tout simplement somptueuse, divine, touchante, prend aux tripes lors des scènes cultes que ce soit avec Maria ou la petite Laura à la fin du jeu lors du visionnage de la VHS. La B.O. fait partie de la puissance du soft, installe le joueur dans un univers désolé, repoussant mais à la fois fascinant. Les bruitages sont quand à eux tres bien retranscrits et installe le joueur dans un univers oppressant.
La durée de vie est tres raisonnable, pour un Survival Horror, qui avoisine la dizaine d’heures pour finir le jeu une premiere fois. Mais le jeu comporte 5 fins différentes qui allongent la durée de vie et qui permettent de voir des fins alternatives non dénuées d’intêrets bien au contraire.
Donc que dire sur ce soft à part qu’il est magnifique, indispensable, qu’il possede une histoire magistrale, des personnages secondaires psychologiquement très instables et torturés, que l’on s’attache à cet univers malsain ainsi qu’au peu d’habitants qu’il reste dans cette ville maudite.
Honnêtement je conseille vivement à tous les joueurs qui n’ont pas encore essayé ce jeu de le faire le plus vite possible car c’est pour moi le meilleur jeu de la console, je le qualifierai même de plus qu’un jeu mais d’une véritable œuvre émotionnelle. Je tiens aussi à dire pour ceux qui ont peur de jouer au 2 sans avoir fait le 1, que les Silent Hill ne se suivent pas scénaristiquement à part le 1 et le 3, donc vous n’aurez pas d’excuses. La note est amplement méritée pour l’un des meilleurs jeux au monde, je serais tenté de mettre la note parfaite mais aucun jeu ne le mérite.
SUPPOS : 5,5/6
Testé par Jimbo182