[TEST] The Last Guardian / PS4

Publié le par Ryo Hazuki

THE LAST GUARDIAN
Support : PS4
Editeur : Sony
Sortie : 6 décembre 2016

[TEST] The Last Guardian / PS4

Fumito Ueda est unique en son genre. On peut autant aimer que détester ses projets pour bien des raisons mais on ne peut pas ne pas être fasciné par ses œuvres. Avec The Last Guardian, nous sommes clairement fasse à une continuité pure de ses jeux précédents que sont ICO et Shadow of the Colossus et c'est ce qui lui fera autant de défauts que de qualités. Mais nous allons voir ensemble que tous les défauts du jeu sont littéralement gommés par l'incroyable aventure qui nous est offerte. Une histoire raconté à travers l'innocence d'un enfant et la sensibilité d'une créature extraordinaire.

Opacité

Tout comme ICO en son temps, The Last Guardian est un projet ayant débuté sur une génération de console pour arriver sur la génération suivante. La différence, c'est qu'après deux monuments sortis, Ueda était plus qu'attendu.
 
Au fil des années, au fil des informations, beaucoup ont décidé de passer à autre chose. Je suis de ceux-là. Je me suis clairement positionné comme la personne qui regarderait le jeu de loin et y jouerait à la sortie sans en attendre beaucoup.

Il se trouve qu'entre-temps est passé une autre arlésienne (dont le nom ne mérite pas de figurer dans cette critique) et, au vu de son état, je me suis clairement posé la question de savoir comment Fumito Ueda arriverait à rester fidèle à son idée d'origine : le conte d'un enfant et d'une créature chimérique.
[TEST] The Last Guardian / PS4

Ueda a les défauts d'Ueda

La première rencontre avec le jeu a été chaotique. En fait, je n'ai pas senti une sensation pareille depuis 2005 et Shadow of the Colossus.

Le jeu, clairement, est difficile à prendre en main, à maîtriser. Rajoutez à cela une caméra indomptable et vous avez le cocktail parfait pour n'avoir qu'une envie : casser votre manette et partir pleurer dans votre coin. Mais il faut s'accrocher. C'est d'ailleurs l'un des thèmes de Ueda dans tous ces jeux : accrochez-vous et élevez-vous !

Si vous obéissez à cette règle, alors vous allez être largement récompensé et, à l'image des défauts que j'évoque à peine tellement ils sont insignifiant face au reste. Vous ne garderez de ces derniers que le sentiment de frustration et d'impuissance qu'ils ont provoqué et combien, finalement, ils ont participé aussi à vous impliquer émotionnellement d'autant plus dans les épreuves traversées avec les protagonistes.

[TEST] The Last Guardian / PS4

Une fenêtre s'ouvre sur une aube inconnue

Voici l'histoire de deux êtres. L'un est un jeune garçon, vulnérable dans son physique mais fort dans sa volonté de vivre, trébuchant facilement car encore instable. L'autre est Trico, un de ces fameux "aigles mangeur d'homme" qui terrifie tant.

Ils s'éveillent ensemble au fond d'une grotte et décident de s'entre-aider. De s'apprivoiser mutuellement avec objectif clair : trouver comment s'échapper de cette geôle mi-naturelle, mi-construite.

Tout de suite, la crédibilité de la situation est palpable. Les décors sont sublimes, autant grandiloquent qu'étroit et sources de mystères. Mais, surtout, la bête... Trico !
Un jeu donnait l'illusion parfaite de la réaction "naturel" du protagoniste : Journey. La différence, c'est que notre compagnon dans Journey, en fait, c'était un autre joueur derrière son écran.

Ici, l'illusion est aussi réelle mais, surtout, elle est complètement autonome ! Trico bénéficie d'une Intelligence Artificielle absolument unique et ses réactions sont juste incroyable.

Il est impossible à quiconque aime les animaux de ne pas sentir la détresse autant que la compassion du regard, la peur autant que l'amusement dans les gestes, les cris de douleur autant que les cris de joie.

Tandis qu'au départ, il est difficile de cerner la manière "d'utiliser" Trico comme on le veut pour nous permettre de sortir, au fil de l'aventure, au fil de votre compréhension mutuelle, la bête obéira et comprendra plus aisément nos demandes. Une symbiose va s'installer au fur et à mesure en plus de la dépendance qui est immédiate.
[TEST] The Last Guardian / PS4

Toujours plus haut, toujours plus fort

Notre prison n'a qu'une seule échappatoire et celle-ci se trouve toujours plus haut dessus de nous. Il nous faut donc monter. Toujours plus. Mais cette ascension n'est pas sans difficulté. De nombreuses épreuves vont autant nous faire redescendre, nous abattre que finalement nous rendre plus fort. Très vite, le jeu va nous malmener. L'implication émotionnelle est alors plus forte qu'elle ne l'a jamais été ces dix dernières années dans un jeu vidéo.

Une des interrogations est écarté d'emblée : ce conte nous est raconté par un vieil homme et on comprend qu'il s'agit bien sûr du petit bonhomme. Alors tout le long du jeu, nous ne nous posons que cette question : quid de Trico ? Et c'est bien autour de Trico que les événements majeurs se déroulent.

Chaque blessure, chaque pieux plantés dans sa chair et que nous décidons de lui arracher est un acte difficile. Nous sommes aussi blessé que lui.
Mais, à l'image de ses cornes, nous grandissons et devenons, une fois encore, plus fort.

L'histoire va alors encore bien plus haut : comment Trico et le petit garçon (nous) sont arrivés ici ? Que sont ces mystérieuses armures qui veulent nous emmener ? Qui est responsable de cette prison ?

Plus direct dans son propos que jamais, Fumito Ueda conclut cette aventure avec brio. Là encore, vous devez sentir mes mains tremblantes sur mon clavier. Au fil de cette critique, au fil de la réminiscence de cette aventure, toute la logique et la construction claire que je voulais insuffler s'est envolée pour finalement laisser place aux émotions. Aux vraies.

Maintenant, vous êtes seul maître de vos choix : concrètement, le jeu a des défauts techniques et de gameplay et on remarque de la répétition dans les actions. Mais, sincèrement, le jeu vous emmène au-delà de ces considérations finalement "purement jeux vidéo" pour aller tellement plus haut, tellement plus fort.
[TEST] The Last Guardian / PS4
Un jeu attendu pendant presque une décennie, une expérience de quelques heures et des marques qui resteront très certainement à vie. Comme l'a clairement remarqué un bel homme, The Last Guardian, ce n'est pas le jeu de l'année, c'est le jeu de la décennie.

SUPPOS : 6/6

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Publié dans TESTS

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D
Le souci c'est que ce sera certainement le dernier chef d'oeuvre de Uéda car quand on voit la haine de ceux qui n'ont pas aimé, on se dit que le monde est peuplé de crétins qui seront à l'origine du déclin de nôtre société. Encore bravo Ryo pour ton test! Tout les haineux devraient aller faire leurs devoirs, rien ne les force à y jouer. Je ne sais pas, aller faire du vélo, de la couture. De toute façon faire comprendre aux rageux ce qu'il y a de fabuleux dans les jeux de Uéda, se résume à essayer de décrire les couleurs à un aveugle.
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D
oui,oui et oui! c'est LE jeu de cette génération
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S
J'ai adoré shadow of the colossus, je l'ai fini plusieurs fois. Je viens de finir the last guardian, je vais le revendre de suite. Je mets 3 suppos maxi... 10 ans d'attente pour ca !!! Les critiques ne valent vraiment plus rien...
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P
C'est Floyd qui a sélectionné ça !!!!! Je peux pas le croire, c'est de la diffamation !!!!!
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E
Note à moi-même : ne plus jamais lire un test de Ryo Hazuki. Qualifier The Last Guardian, comme ça à l'emporte-pièce, de jeu de la décennie, c'est excuser des tares techniques inacceptables, un gameplay sinon inexistant plutôt minimaliste, des caméras imbuvables en 2016. Et j'en passe...<br /> <br /> Ah mais j'ai compris ! Ce n'est pas un jeu, c'est une expérience, un monument, un reflet de la beauté de l'âme humaine, blabla, une oeuvre d'art, tout ça. Oh la la, comme c'est beau !<br /> <br /> En ce qui me concerne, je déciderai de prendre en compte la valeur d'un jugement portant sur l'Art quand "l'expert" en question sera capable de pondre un texte sans faire des fautes grossières sur l'orthographe et la grammaire, faute qu'un véritable critique ne ferait plus depuis la 3ème s'il avait bien bossé à l'école (mais je suppose que jouer à la Game Boy sous le pupitre devait être bien plus intéressant qu'écouter le cours sur Baudelaire, Descartes, ou Van Gogh. Après tout, on choisit ce qu'on définit comme étant de l'art...).<br /> <br /> Aimer l'art et avoir les compétences d'en faire une bonne critique, c'est aussi aimer et respecter sa langue. Et c'est aussi, pour nous autres lecteurs, un moyen (ou non) de juger de la rigueur de la personne. Rigueur linguistique, rigueur dans le travail, et donc rigueur dans la critique.<br /> <br /> Et qu'on ne me parle pas de subjectivité : ça, c'est l'excuse du pauvre.
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E
C'est marrant ça... Tu parles de jugement de valeurs et de critiques basées sur du flan... tout en affirmant que je n'ai pas joué au jeu.<br /> <br /> ... EN ES-TU VRAIMENT SÛR ???<br /> <br /> <br /> Je dis ça, je dis rien...
E
C'est exactement ça : de la haine, du jugement de valeur, de la condescendance, des attaques personnelles et aucune ouverture d'esprit ni de débat possible autour du jeu puisque le seul avis qui compte pour Elgregou c'est celui d'Elgregou. <br /> Le gars transpire la frustration dans chacune de ses remarques et le pire c'est qu'à chaque fois qu'il critique il n'a pas testé les jeux.<br /> Normal, il est au dessus de tout ça : Il ne joue pas, il sait.<br /> Tu parles d'un imbécile oui !<br /> Je suis en train de jouer au jeu et si la première heure est un peu poussive, on oublie rapidement tout ça pour se laisser porter. Et quand je joue, je n'en demande pas beaucoup plus, mais pour comprendre ça peut-être faut-il encore se donner la peine de jouer.
E
Les tests sont toujours mauvais, quand ils sont sur gamopat. Facile avec elrâlou.<br /> Il y a 2 sorts d'avis et de tests : celui d'elrâlou et les mauvais.
E
Dans ce cas, dis au "taulier" de Gamopat que tu estimes que ton avis (rédigé à chaud, c'est visible) n'est qu'un avis non travaillé, "modeste", non relu, non objectif, et que tu ne veux pas le voir publié sur le net sans l'avoir peaufiné.<br /> A moins que tu ne joues la carte du "responsable mais pas coupable" ?<br /> <br /> Ca évitera de voir des inepties pareilles être prises pour argent comptant.<br /> ... Jeu de la décennie... Pffff....
R
Bah visiblement, si, tu es là pour jouer à qui a la plus grosse. Mais t'inquiète, hein. Je te laisserai le dernier mot, c'est promis. x)<br /> <br /> Cependant, qu'est-ce qui te permets de juger qu'une personne qui ose te résister ne tiens pas compte des critiques qu'on lui fait ? Parce que, clairement, c'est dommage hein, il manque juste un poil de bienveillances dans tes remarques et honnêtement, ça serait passé crème ; je t'en aurais remercié. Là, c'est juste nauséabond, en gros mode "hahaha, il écrit mal". Un grand garçon comme toi, qui ne cesse de rabaisser les autres, de parler de la plus grosse, de se ramener sur sa 3ème... T'as eu une enfance difficile ? Tu veux qu'on en parle ?<br /> <br /> Enfin, et je vais en rester là parce que j'ai pas que ça à foutre : je ne suis rédacteur pour personne et ne prétend pas être plus qu'un joueur tout-à-fait lambda qui donne modestement son avis (ce dont tu peux légitimement n'en avoir rien à branler) sur internet. Dont Gamopat. La publication de "ce torchon" a été fait sur le forum puis sélectionné par le taulier du coin de son propre chef et sans chercher à spécialement me consulter. Je n'ai pas dit non, je n'ai pas dit oui et il y a clairement plus important pour que se prendre le chou pour ça.<br /> <br /> A plus.
E
Désolé, je ne suis pas là pour jouer à qui a la plus grosse. Quand tu achètes une baguette de pain dégueulasse chez ton boulanger, il ne te dit pas "Bah vous n'avez qu'à en faire une vous-même et me la ramener".<br /> <br /> Ton torchon (d'ailleurs bien trop court pour réellement dresser un tableau précis du jeu : on n'apprend rien sinon que "C'est émouvant et beau") est mal écrit : point. Je pourrais te faire l'étalage de toutes les fautes qui te vaudraient la honte devant des personnes un petit peu exigeantes sur un travail "littéraire" de qualité, mais je n'en ferai rien ; je suppose que tu es assez âgé pour qu'on t'en ait déjà parlé et que tu as déjà fait tes choix.<br /> Je dirai juste que lorsqu'on lit d'emblée dès l'introduction "Nous sommes clairement FASSE à une continuité...", ça annonce tout de suite la couleur et le "talent" du rédacteur.<br /> Sois franc : tu t'es relu ?<br /> <br /> Maintenant, drape-toi dans ta dignité si tu le souhaites. C'est pas grave. T'écris trop bien en fait, et t'es trop intelligent, change rien. Comme ça, tu pourras encore nous pondre des trucs comme ça sous couvert des jeux qui "ne sont pas des jeux mais des oeuvres d'art dont les qualités masquent les défauts". Et tu trouveras sans nul doute un autre titre que tu qualifieras de "jeu de la décennie" (lol). Mais à côté de toi, il y aura bien d'autres rédacteurs qui, acceptant la critique et faisant preuve de rigueur dans leur rédaction, iront juste un petit peu plus loin que toi.
R
Cette haine :')<br /> <br /> Cela dit, je n'excuse pas des tares techniques puisque j'en fais un titre majeur ("Ueda a les défauts d'Ueda"). Mais tout comme j'ai des progrès orthographiques à réaliser (je le reconnais avec honte mais c'est un fait que je dois accepter. Quant à vouloir me pendre publiquement pour ça, je me demande si ça n'est pas encore plus pathétique), tu as visiblement des progrès de lectures à faire donc on va reprendre ; "le ressenti est bien supérieur aux défauts et je précise même que les défauts engendre et participe aux sentiments que vous allez ressentir durant le jeu" et je laisse mes fautes pour t'emmerder parce que ça me semble légitime devant le tel déversement de haine que tu viens de me pondre :) <br /> <br /> Le raccourci du "il dit que c'est de l'Art" est ridicule et caduc. Il participe simplement à t'enfoncer dans la gerbe de ta haine pour te donner un argument fondé sur du purin. Mais au moins il a la forme de quelques choses, je te l'accorde. <br /> <br /> Maintenant, si tu désires écrire un test sur The Last Guardian en te focalisant sur ô combien le gameplay est indique de 2016, tu n'as plus qu'à ouvrir ton meilleur outil de traitement de texte et de faire profiter à tout le monde ta vision qui, en soit, peut être tout-à-fait respectable mais certainement pas dans la manière dont tu viens (tenter) de l'imposer.
R
Je résume : si vous n'avez pas aimé Ico / Shadow of the Colossus, je doute que vous appréciez ce The Last Guardian :)<br /> <br /> Quant à critiquer le test parce que je ne met pas en avant les défauts comme vous le voudriez : je suis d'accord sans l'être : j'explique clairement que le ressenti est bien supérieur aux défauts et je précise même que les défauts engendre et participe aux sentiments que vous allez ressentir durant le jeu.<br /> <br /> Ça ne veut pas dire que le gameplay est naze ou inexistant ; il a des problèmes qui sont gommés par les qualités du titre.<br /> <br /> <br /> Enfin, l'aspect "vous êtes des vrais/faux joueurs", en ce qui me concerne, c'est un débat de "true du cul" auquel je ne vais pas participer.
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T
Si on pouvait liker les commentaires sur gamopat, je likerai le tiens. :D
P
''Cela correspond bien aux temps actuels, pauvres et pathétiques. Avec des pratiques et des loisirs nuisibles.''<br /> <br /> Oui ça correspond parfaitement aux temps présent dans lequel on ne plébiscite plus le fun, on ne fait plus vraiment attention au gameplay, on ne sait pas ce qu'est un level design, on se fout de l'IA et on accepte des jeux diapositives. Les ignorants aiment encore le jeu-vidéo, les initiés, les esthètes participent à le torpiller, l'un dans l'autre je préfère pour ma part être un ignorant. Bisous !
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B
Pour avoir terminé le jeu, je comprends tout à fait les réactions du testeur. Ce jeu n'est pas qu'un divertissement et les frustrations qu'il engendre sont minimes par rapport à ce qu'il apporte au final.<br /> Un minimum de patience et de persévérance (une heure tout au plus dans mon cas, donc le début du jeu, donc l'étape qui cumule caméras galères + animal sauvage + apprentissage du gameplay qui glisse) sont nécessaires avant d'être totalement absorbé par l'aventure.<br /> <br /> Trouvez moi un seul jeu de ce type sorti (qui plus est sur les consoles actuelles) et après on discutera. C'est un titre nécessaire par les temps actuels où le JV ne produit que du cliché pour du con-sommateur (on évitera tout jeu de mot supplémentaire avec sodomie).<br /> Ne pas y avoir joué et se prétendre critique... ha ha !<br /> Relever que sous prétexte qu'un jeu a des défauts il ne soit pas bon... mais alors les gars regardez à quoi vous jouez ou bien dîtes moi à côté de quoi je suis passé parce que vraiment ça me rendrait service !<br /> <br /> Dans les jeux qui cartonnent depuis trop longtemps et auxquels vous jouez sans doute, c'est l'ensemble du jeu qui est un défaut. Tout est stéréotypé, standardisé, occidentalisé, superficiel, rebattu, des suites à n'en plus finir, des DLC, des season pass... En fait c'est logique que quand quelque chose renverse ces principes (car oui les éditeurs/développeurs ont érigés tous les défauts cités ci-dessus en principes et en critères) vous ne compreniez pas. <br /> Cela correspond bien aux temps actuels, pauvres et pathétiques. Avec des pratiques et des loisirs nuisibles.<br /> <br /> The Last Guardian appartient à autre chose, il est UNIQUE en son genre. C'est pas un produit mass market, qu'on joue en bouffant des chips. Il y a une démarche artistique derrière, avec un message et des émotions. Donc des risques sont pris, pas de suite pour rentabiliser les ventes insuffisantes ou de fin modifiée pour faire plaisir aux guignols qui twitchent au lieu de sortir de chez eux.<br /> <br /> L'art qui est pourtant accessible à tous n'attire pas à lui tout le monde et c'est bien dommage. Alors qualifier (insulter ?) de pseudo hype ou d'élitisme ceux qui éprouvent l'envie de parler du jeu ou d'y jouer ça me fait glousser.<br /> <br /> Bref... en même temps je parle pour les convaincus finalement, car après tout pourquoi convaincre de jouer à The Last Guardian ? La mauvaise foi c'est sensiblement de l'ignorance. Restez ignorants les enfants, tout va bien.
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S
Tu as raison, excuses nous de nous être fourvoyés ainsi.<br /> Ton message, clairement issu d'un cerveau supérieur, nous a cependant ramenés dans le droit chemin, nous qui osions critiquer le caractère hyperbolique de ce "test".<br /> Merci à toi, homme de lumière.
E
Vos commentaires acerbes sont assez pitoyables je trouve. Car il semblerait que vous n'y avez pas joué, donc pourquoi rejeter vous ce jeu ?<br /> <br /> J'ai une PS4 depuis ... 2ans et j'ai acheté 3 jeux pour elle ! Ben oui, moi les jeux de guerre et les FPS pour décérébrés j'en ai ma claque.<br /> D'où mon choix d'acheter The last guardian.... J'avais des doutes sur le bien dondé de cet achat, mais après 1 heure de jeu je n'en avait plus.<br /> Le jeu est beau (graphiquement), l'ambiance est exceptionelle, l'histoire et le scénario très bien ficelé et prenant.<br /> Le gameplay pourrait être meilleur c'est certain. La gestion de la caméra est parfois chiante, mais jamais je n'ai loupé ue action à cause de cela. Tout le reste masque les quelques défauts techniques.<br /> C'est là que l'on voit qu'un jeu est bon... Quand le concept et la narration arrivent à faire disparaitre les défauts techniques.
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P
Si je peux me permettre, c'est sublime: http://www.noelshack.com/2016-51-1482350782-the-last-guardian-tm-20161221011414.jpg , http://www.noelshack.com/2016-51-1482350782-the-last-guardian-tm-20161221005715.jpg<br /> <br /> Bienvenue sur ps2 HD à 25im/sec. 10 ans de dèv. GOTY 2016.<br /> <br /> Pour le reste comme d'ab, ça parle ''narration'' ''ambiance'' ''concept'' mais dès qu'on touche au gameplay/technique là terminé, so classic, j'ai l'impression d'entendre exactement les mêmes âneries que pour the last of us.
S
"ce n'est pas le jeu de l'année, c'est le jeu de la décennie".<br /> <br /> Où comment décrédibiliser tout son test avec sa seule conclusion.<br /> <br /> Amis testeurs, n'oubliez jamais: ce qui est excessif est insignifiant.
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J
Je me fais la même réflexion... en gros c'est merdique à jouer, il faut s'accrocher, c'est programmé avec la bite (c'est pourquoi ça a pris 10 putain d'années!) mais tu vas kiffer pcq c'est beau... mouais. Je vais attendre que les bobos du jeuxvidéo s'en lassent et le lachent à 15 balles
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F
Gardez vos 15 euros pour un autre jeu, visiblement vous n'êtes pas fait pour jouer à The Last Guardian. C'est un jeu qui se mérite et que vous ne méritez pas, de toute évidence. Je préfère être un "bobo du jeu vidéo" qu'un beauf du jeu vidéo. Et je ne vais pas m'en lasser de sitôt :)
P
''Maintenant, vous êtes seul maître de vos choix : concrètement, le jeu a des défauts techniques et de gameplay et on remarque de la répétition dans les actions. Mais, sincèrement, le jeu vous emmène au-delà de ces considérations finalement "purement jeux vidéo" pour aller tellement plus haut, tellement plus fort.''<br /> Le jeu a un level design catastrophique et un gamplay merdique mais c'est pas grave, c'est pas un jeu, c'est AUTRE chose^^ Les fanboys Play je vous adore, vous êtes merveilleux !
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F
"Level design catastrophique"... "Gameplay merdique"... Vous vous trompez de jeu :) Pas besoin d'être un "fanboy Play" (vous avez quel âge ?) pour profiter de cette expérience extraordinaire. Suffit d'avoir un cœur, et un cerveau.
R
Je conchie sur PlayStation. Ça te va comme réponse ? :p