Sea of Stars en préco sur PS5
Sea of Stars, version PS5, meilleur prix trouvé sur Amazon, à 32,99 boules, port gratos. Sortie de cet action-RPG, très attendu en version physique, le 10 mai prochain.
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Sea of Stars, version PS5, meilleur prix trouvé sur Amazon, à 32,99 boules, port gratos. Sortie de cet action-RPG, très attendu en version physique, le 10 mai prochain.
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Le jeu de role néo-rétro SKALD: Against the Black Priory, clairement inspiré de jeux tels que la série Ultima, jusqu'à présent en démo, annonce sa sortie officielle pour le 30 mai sur Steam et GOG ! Le studio de dév' se nomme désormais High North Studios AS. Ce jeu s'annonce génial et le trailer de lancement est vraiement excellent. Le genre de truc qu'on aimerait bien voir sur Switch !
SKALD: Against the Black Priory on Steam
SKALD:Against the Black Priory is a retro-style party-based RPG set in a grim-dark fantasy world of tragic heroes, violent deaths and Lovecraftian horror. Take a chance and roll the dice as you ...
https://store.steampowered.com/app/1069160/SKALD_Against_the_Black_Priory/
GG ALESTE 2 LANCE BIRD
Editeur : SEGA
Developpeur : COMPILE
Support : Game Gear (japon _Europe)
Année : 1993
Pour être franc mes premiers instants avec ce jeu furent un peu décevants ( rassurez vous cela n'a pas duré trés longtemps ) car que je m'attendais en insérant la petite cartouche dans la Game Gear à un remake du MUSHA ALESTE sur Megadrive, c'est à dire un univers qui associe des Monstres d'acier Mecha énormes se livrant bataille dans un univers mixant éléments du folklore japonais féodal et médiéval à celui d' un univers cybernétique et post apocalyptique et surtout une bande son frénétique et dantesque qui faisait cracher tout son venin à la Megadrive et aura marqué et traumatisé toute une génération de joueurs en 1990....
C'est donc un tout autre univers que le jeu vous propose, plus conventionnel, plus familier, vous ne naviguerez donc pas en terre inconnu si je puis dire, votre vaisseau sera ainsi équipé de 4 armes qui pourront bien sur être upgradés tout au long de votre progression, cela va du missile homing à têtes chercheuses au laser pulvérisant tout ce qui se trouvera dans votre ligne de mire en passant par ( et c'est selon moi la meilleure arme du jeu ) un tir au napalm qui aura la faculté d'anéantir les boulettes de l'ennemi, a noter que la 4 éme arme est un champ de force gravitationnel vous procurant un bouclier protecteur qui rappel celui de MUSHA ALESTE, et pour parfaire votre arsenal vous disposez de " méga bombes " réduisant à néant tout ce qui se trouvera à l'écran avec un rendu des plus sensationnel sur une Game Gear.
Voila maintenant je vais passer à la qualité intrinsèque du jeu , je vous avais dit un peu plus haut que j'étais un peu dubitatif lors de mes toutes premières minutes de jeu et bien c'est une sensation qui s'est vite dissipée, ce qui m'a le plus marqué lors du premier level c'est la rapidité du scrolling ! incroyable pour une Game Gear, tellement rapide que les premiers tirs ennemis eurent ainsi raison de moi, il faut dire qu'ils arrivent de tout les cotés et surtout de derrière...autre fait marquant il n'est pas rare pour ainsi dire que l'écran soit submergé de sprites ( au bas mot une bonne vingtaine ) sans pour autant que cela entraine des clignotements intempestifs ou des ralentissements ( notoires mais vraiment très notoires alors ) l'animation de ce jeu est une prouesse technique pour moi, je n'oserai pas pousser la comparaison avec un GUNHED mais je le répéte le résultat est éblouissant pour une console portable.
La maniabilité quand à elle est également de bonne facture, aucun temps de latence,les commandes répondent bien si ce n'est une très légère difficulté avec la touche bas de la croix directionnelle mais sinon RAS.
Au niveau graphique cela reste satisfaisant, le jeu n'est pas super coloré mais en même temps cela donne une certaine cohérence à l'ensemble,il s'agit d'un shoot et non pas d'un petit platformer kawaï, on arrive par ailleurs à distinguer la multitude de détails de bonus et de tirs ennemis ce qui n'est pas une mince affaire sur le petit écran de la Game Gear, mais vraiment l'essentiel du jeu est ailleurs.
A noter que des bonus stages ( au nombre de deux ) ont étés inclus et qu'ils se déroulent dans une " pseudo 3D " sauce 8 bits à la manière d'un feu SPACE HARRIER, il vous sera possible de "locker " vos ennemis en temps réel, ce qui donne une petite touche d'originalité au jeu.
Voici maintenant le registre que je préfère c'est celui de la bande son de ce jeu, je suis désolé mais je ne vais pas du tout être objectif car je l'adore ! elle est vraiment sensationnelle, et vous transporte littéralement dans le jeu,des thémes catchy qui iront chercher les plus belles notes à l'octave, la plus marquante est celle du stage 4, pas du tout conventionnelle pour un shoot je trouve, je ne résiste d'ailleurs pas au plaisir de vous en offrir un petit échantillon...
Les bruitages ne sont vraiment pas en reste, dynamiques et réalistes, les tirs, les bonus, les explosions des vaisseaux ennemis vous feront rougir de plaisir, ajoutés au scrolling ultra rapide et à l'action frénétique du jeu, c'est vraiment un déluge pour les yeux et les oreilles !
GG ALESTE 2 est vraiment un shoot majeur, captivant, qui va à mille à l'heure et qui repousse les limites techniques de la Game Gear, il n'a pour moi aucun autre pendant sur ce support ( même GG ALESTE pourtant auréolé d'une apparition remarqué en 1991 ) et restera ancré dans le roc car il se permet le luxe l'espace de quelques parties de venir empiéter sur le terrain d'une NES, d'une MASTER SYSTEM, et dans une moindre mesure d'une PC ENGINE (on peut toujours rêver hein...)
SUPPOS : 5,5/6
J'adore le homebrew Penguin Attack de la Pat Morita Team sur Amstrad CPC ! 100% arcade comme on aime ! Le voici qu'il déboule sur ZX Spectrum. Bon ok il est moins sexy sur ce support, mais ca reste un bon petit jeu. A noter que si vous disposez d'un modèle 128Ko (espèce de gros bourge !) vous disposerez de bonus et d'une musique. A télécharger sans hésiter.
Penguin Attack (ZX Spectrum 48K / 128K)
The " Black Pingus", a gang of thugs, are terrorizing the lands of Pinwiland with the help of other evil associates. As part of their plans, Pinwi's girlfriend, Ninwina, has been kidnapped and ...
C'est la fête du slip sur Amstrad CPC, voici une preview de Hypernoid Zero à télécharger sur Pouetpouet ! C'est une sorte de Cybernoid (le jeu semble aussi difficile), réalisé par la team qui nous a pondu entre autres le génial shoot'em up horizontal Super Edge Grinder. Magnifique, avec un overscan horizontal s'il vous plait ! On flippe chez les fans du C64 ! L'Amstrad CPC, vers l'infini et au delà !
Rangez votre C64 au placard, votre Amiga au grenier, voici une nouvelle démo pour l'Amstrad, CPC, Ghost NOP, signée Pulpo Corrosivo & Futurs, pour la Revision Party 2024. Ca déchire le slip ! Amstrad vaincra.
Ghost NOP by Pulpo Corrosivo & Futurs
pouët.net - your online demoscene resource
J'adore Dragon's Dogma 2, un nanar magnifique (j'ai envie de le classer dans cette catégorie !), rempli d'idées géniales... mais aussi de gros défauts.... Et donc ce tout premier patch, PS5 et Steam (Xbox à venir dans quelques jours), est bienvenue car il corrige surtout deux gros problèmes : la possibilité de recommencer une partie, et des options visuelles pour stabiliser le framerate.
An update for Dragon's Dogma 2 is out now on PS5 and Steam, with Xbox Series X|S to follow in the next few days. This update adds a new game option when existing save data exists, bug fixes, and more.
— Dragon's Dogma (@DragonsDogma) March 29, 2024
See full details:
🔧https://t.co/ihFlfXhR9B#DD2 #DragonsDogma2 pic.twitter.com/6LWXmTLTPC
PlayStation 5/Steam
Ajout d'une option pour démarrer une nouvelle partie quand un fichier de sauvegarde existe déjà
Changement du nombre de parchemins « Arts de la Métamorphose » disponibles en jeu à 99
La quête permettant aux joueurs d'avoir leur propre logement (pour sauvegarder et se reposer) est disponible plus tôt dans le jeu
Correction de différents affichages de texte
Correction de divers bugs
PlayStation 5
Ajout de l'option pour activer ou désactiver le flou de mouvement
Ajout de l'option pour activer ou désactiver le Ray Tracing
Ajout de l'option pour fixer le framerate à 30 FPS max
Steam
Amélioration de la qualité lorsque le DLSS est activé
Correction d'un problème relatif à l'affichage des modèles en fonction de certains paramètres graphiques
Warriors of the Eternal Sun
Support : Mega Drive
Développeur : Westwood Studios
Sortie : 1992
Premier contact
Pour une fois, je me souviens très bien comment j’ai obtenu ce jeu. Je faisais les courses avec ma mère dans le super méga grand Auchan du Havre (celui qui vend le plus de Pastis en France, en tout cas qui en vendait le plus dans les années 90/2000), un soir de semaine. Peut-être a-t-elle eu pitié de me voir si désespéré dans ce magasin rempli de bouffe et de machines à laver, toujours est-il que j’ai eu le droit d’acheter le jeu vidéo de mon choix, à condition qu’il ne dépasse pas les cent francs. Après avoir fouiné quelques minutes en mettant de côté les hits à presque deux cents balles, j’ai pris la boîte arborant l’image d’un guerrier qui s’apprête à combattre un dragon. Design éculé mais ultra efficace sur un gamin de mon âge qui vivait plus dans sa tête que dans le monde réel. Le résultat affiché sur la télé n’avait rien à voir avec le joli dessin sur lequel j’ai flashé, c’était même super moche ; raison pour laquelle aucun de mes potes n’a souhaité m’accompagner dans cette aventure. Pourtant, jusqu’à mes quinze ou seize ans, j'ai scotché sur cet étrange objet vidéoludique, comme un papillon de nuit à un vieux lampadaire de camping en Ardèche (sans manquer de respect aux Ardéchois).
Retour sur expérience
Sans hésiter, l’aspect “jeu de rôle” m’a foutu dedans, comme dirait l’autre. L'un des premiers RPG, voire le seul que j'aie fait sur console 8/16bits d'ailleurs. La progression des personnages, le gain de niveau, l’achat ou le loot de meilleur équipement, l’apprentissage de nouveaux sortilèges... Mon petit cœur de geek infantile s'est brisé sous l'émotion. Après ça, j’ai classé les jeux en deux catégories : ceux dépourvus de système évolutif (qui ne méritent que peu d’attention de ma part) et les autres (qui ont droit à tout mon amour et à mon temps libre). En théorie, le concept de ce portage d’un scénario Dungeons & Dragons envoie du bois, mais en pratique, les mécaniques ne fonctionnent même pas à moitié. Il existe des dizaines de manières de finir le jeu en exploitant des failles dans le gameplay, et les trois-quarts des pouvoirs magiques à débloquer ou découvrir ne servent à rien.
Mais ça reste l’éclate tout du long ! Car mine de rien, on démarre la partie presque en guenilles, à galérer contre des couleuvres à collier, et on la termine en découpant des hydres et des géants de feu à la pelle. Classe ou pas ? En 1992, je précise. Les combats en extérieur se déroulent au tour par tour, en gros vus du dessus, avec des ennemis qu'on canarde à distance sans enjeu. Enfin moi, j'ai choisi cette voie à la limite de la triche pour avancer. Ben oui, les bestioles s’avéraient trop bêtes pour contourner un buisson camouflant à peine quatre abrutis armés de lance-pierres. On pouvait bien sûr se taper au corps-à-corps aussi, mais ça restait beaucoup plus dangereux, et je n’ai jamais fait partie des gosses téméraires. L’autre facette du gameplay se passe dans des grottes en temps réel, à la première personne, type Dungeon Crawler. Là, on ne fait plus les malins !
Flashback spécial ambiance
J'ai du mal à l'admettre, mais impossible de mentir sans passer pour un gros fumiste pétri de mauvaise foi : ce jeu n’a pas grand chose pour plaire. Graphismes médiocres, potentiel gâché et contenu frustrant. Je suis encore aujourd’hui incapable d’expliquer pourquoi j'ai autant adoré, allant même jusqu’à développer une sorte de syndrôme de Stockholm envers lui. Une énergie surnaturelle m’a poussé à en décortiquer chaque pixel pour essayer de dénicher tous les secrets, comme si ma survie dans le monde réel en dépendait. Le mélange de clichés RPG à l’ancienne et de délires abracadabrantesques, comme la téléportation d’un château entier dans une dimension inconnue où le soleil ne se couche jamais, a donné à ce titre une identité unique, sans doute un peu par miracle. On se passionne pour l'exploration de la map principale (plutôt grande), tandis qu'on flippe à fond dans les cavernes, où n'importe quel scarabée géant peut ruiner notre troupe en surgissant dans notre dos par un passage dérobé. Les deux phases s'équilibrent à la perfection, je dirais là aussi un peu par miracle.
Réécoute de la bande-son
L’OST a été composé par le mythique Frank Klepacki, alors âgé de seulement dix-huit ans et fraîchement employé par Westwood Studios, si j’en crois sa page Wiki. Même si elle peut souvent paraître grinçante et lunaire, la musique annonce déjà le potentiel immense du monsieur. À l’image du reste, je suis aussitôt tombé amoureux de chacun des morceaux, sans retenue. J’avais un seuil de tolérance sacrément élevé, car on frôle parfois le ridicule, avec un choix d’instru pas toujours très pertinent, des guitares très très saturées ou un sample de voix particulièrement drôle. Mais pour le reste, on touche à la grâce pure. Si je passais autant de temps à peaufiner les stats de mes personnages sur la page de formation d’équipe, ça tient en très grande partie à la musique qui l’accompagne, et qui me filait le cafard le plus kiffant du monde. Ou encore le thème de la région qui entoure le château, sa petite flûte traversière qui promet belles découvertes autant que terribles dangers. Parmi les plus fabuleuses créations de la Mega Drive.
Moment Nostalgie
Moments au pluriel, plutôt. Je me revois gamin, seul dans ma chambre les soirs d'hiver, à faire longer des kilomètres de murs à mes personnages pour espérer tomber sur une grotte cachée. L’exact inverse d’une expérience distrayante, à première vue. J'ai fait venir ma mère des dizaines de fois pour me traduire les messages en anglais de PNJ totalement inutiles, convaincu que je pouvais influer sur le déroulement de la partie si je résolvais des énigmes qui n'existaient que dans ma tête (exemple d’anecdote : un habitant du château a perdu son chat. Je me disais qu’en le retrouvant, le gars me donnerait un objet me permettant d’ouvrir un passage dans une caverne qui s’ouvrirait sur un monde encore plus grand… j’en passe et des plus saugrenues). Je lançais des sorts devant des murs infranchissables en espérant creuser une brèche dedans. En gros, je perdais mon temps à essayer de voir au-delà du jeu plutôt que d’y jouer. Jamais un titre ne m'a fait effectuer autant d'actions dénuées de sens. Pas même Worms, ou Toejam & Earl, dans lesquels agir n’importe comment aurait suivi une certaine logique. Aussi surprenant que ça paraisse, j’en ai tiré une satisfaction incroyable un paquet de fois. Enfin, j’étais en pleine partie quand un pote m’a appelé pour me dire de regarder n’importe quelle chaîne d’info, les Etats-Unis venaient de subir un attentat d’ampleur immense, un certain 11 septembre 2001.
Instant le plus stylé
Un jour d'été (j'y jouais aussi en été), j'ai laissé traîner la cartouche par terre dans ma chambre. Soleil à travers la fenêtre + tapis de jeu en lino (celui qui représente la ville et les rues, là) = surchauffe maximale. Quand je m'en suis aperçu, j'ai tout de suite lancé le jeu pour voir s'il fonctionnait encore. Et là… le monde secret que je convoitait tant se dévoila enfin ! Bon, ma troupe s'est retrouvée téléportée en haut d'une montagne inaccessible, à combattre des monstres invisibles et ultra forts, tandis que mes guerriers eux-mêmes agissaient sur le terrain alors qu'ils apparaissaient comme morts dans l'interface. Ajoutez à cela des bugs de textures un peu partout à l'écran et voilà ! Impossible de remporter l'affrontement avec les machins inexistants, là. Je crois que dès que le combat se lançait, je perdais automatiquement (vu que mes persos étaient déjà morts, logique). Du coup la partie se résumait à débarquer, marcher trois secondes et crever. J'ai réitéré l'opération trois ou quatre fois avant de décréter, la mort dans l’âme, que la cartouche était foutue. Puis le lendemain, j'ai rallumé la Mega Drive et tout avait repris sa place, y compris mes sauvegardes et tout. Comme si j'avais tout rêvé.
Star Ocean The Second Story R est surement le meilleur jeu de rôle à la jap' de 2023, même si c'est un remake. Donc, une belle mise à jour en 2024, dispo dès à présent, franchement on prend ! Quoi ? Vous n'avez pas acheté ce jeu ? Quittez Gamopat sur le champs !
Ajout d'un nouveau niveau de difficulté : le mode Chaos
Le mode Chaos est un nouveau niveau de difficulté dynamique et particulièrement éprouvant.
Ajout d'ennemis de raid : les Dix sages
Cette nouveauté vous permet d'affronter individuellement les Dix sages.
Chacun des sages sera pourvu d'une attaque spéciale unique en son genre.
Ajout de personnages d'assaut : les Dix sages
Une fois les nouveaux ennemis de raid vaincus, vous recevrez un joyau correspondant à chaque sage. Ces joyaux permettront d'ajouter les Dix sages aux assauts.
Illustrations
De superbes nouvelles illustrations de personnages réalisées par le concepteur de personnages Yukihiro Kajimoto seront débloquées au cours de divers événements dans le jeu. Ces illustrations représentent les PNJ suivants : Regis, Allen, Mariana, Éléanor, Clyde et Leifath.
Vous aurez la possibilité d’admirer chaque illustration débloquée au fil de l'histoire, y compris les illustrations des personnages jouables, depuis l'écran-titre du jeu.
Ajout des Fins
Vous pouvez désormais consulter tous les schémas de fin débloqués grâce à la nouvelle rubrique Fins, située dans l'option « Spécial » de l'écran-titre.
Objets additionnels
La version 1.10 inclut une variété d'armes, d'équipement et d'accessoires pour les personnages. Ces objets additionnels seront disponibles une fois l'histoire principale terminée.
Vous avez désormais la possibilité de réinitialiser les niveaux de vos personnages tout en conservant les objets obtenus. Ainsi, vos personnages continueront d'évoluer en Nouvelle partie +.
En attendant le retour de F-Zero sur Switch en 2038, après la 3ème guerre mondiale, pourquoi ne pas jouer à F-Zero: Maximum Velocity, l'excellent opus de la Gameboy Advance ? Pour toi public, si tu es abonné au Nintendo Switch Online.