[RANDOMIZE] Alisia, dresseuse de dragon
Alisia, jeune et sémillante magicienne, fille de magicien, doit se débarrasser du vilain démon qui revient sur terre et de ses
serviteurs, suivant en cela les traces de son père... [Lire la
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Nanochess, le Einstein de la scène MSX/Coleco
Michel Louvet, alias Bfg sur le forum, le serial-développeur sur Coleco (et maintenant MSX) nous présente aujourd'hui un développeur de génie : Oscar Tolédo, connu sous le pseudo
de Nanochess sur la scène MSX/Coleco. Vous ne le connaissez peut-être pas ? Le Michel va nous faire découvrir ses jeux fabuleux !
[RETROGAMING] Arcanum: Engrenages et Sortilèges / PC
Arcanum: Engrenages et Sortilèges
Support : PC (2 Cdrom)
Éditeur : Sierra
Développeur : Troika
Genre : RPG
Nombre de joueurs : un à huit joueurs à la sortie, un maintenant
Sortie : 2001
Sorti en 2001, Arcanum nous offre une plongée dans le steampunk, un genre pas très commun dans l'univers vidéoludique et encore
moins représenté que son lointain cousin le cyberpunk. Le steampunk est une variante de la science-fiction généralement basée sur le début du 20ième siècle et la Révolution Industrielle, avec ses
machines à vapeurs, sa pollution débutante et ses dames en jolies robes. Le point sur lequel le steampunk se distingue de notre histoire, c'est par les anachronismes : la technologie y est plus
avancée, mais basée sur le charbon et la vapeur (d'où le "Steam" associé à "punk"). Le genre steampunk est une source régulière d'inspiration : on le retrouve en bande-dessinée ("Le Régulateur"
et un épisode de "Sillage") en animation ("Steamboy") ou le jeu de rôle ("Castle Falkenstein").
Le jeu vous met dans l'ambiance avant même l'écran titre avec un très courte cinématique. On y voit un champs de bataille avec un
combattant utilisant une épée visiblement magique s'approcher d'un des rares survivants essayant de reprendre son souffle. Avant que l'agresseur n'ait pu frapper, le deuxième guerrier récupère,
dégaine rapidement un revolver et tire à bout portant : Arcanum n'est pas juste un monde de science anachronique mais un jeu où magie et technologie se côtoient et s'opposent. Sortilèges et
Engrenages, comme le titre l'indique.
En commençant le jeu, vous assisterez à une autre cinématique vous montrant à bord du dirigeable "Le Zéphyr" qui se fera attaquer par
un groupe d'orcs pilotant de petits avions de chasse. Après un crash vous vous relèverez et recueillerez les dernières volontés d'un gnome qui vous demandera de trouver "le garçon". Vous serez
aussitôt rejoint par Virgile qui voit en vous l’Élu de sa religion et insistera pour vous suivre et vous aider.
Dans Arcanum, vous jouerez en vue du dessus comme dans un Fallout, chose pas vraiment étonnante car une partie de l'équipe qui a conçu
les deux premiers jeux post-apocalyptique a rejoint Troika.
En passant le curseur sur un NPC, vous apercevrez plusieurs choses dans la zone d'information située au centre en bas de l'écran
:
- son nom
- sa réaction à votre encontre : elle peut aller de l'amour à la haine
- son niveau
- sa barre de santé en rouge
- sa barre de fatigue en bleu
- en combats, vous verrez également vos chances de toucher.
Les combats dans Arcanum se font au choix en temps réel ou en tour par tour, où vous utiliserez des points d'action comme dans un
Fallout. Vous pourrez infliger des dégâts de vie mais également de fatigue : un personnage dont la barre de fatigue sera épuisée s'évanouira et les chances de le toucher seront bien plus grande.
C'est pratique contre les ennemis, c'est moins sympa quand ça vous arrive. Les utilisateurs de magie devront faire attention, car les sortilèges utilisent cette jolie barre bleue. L'avantage de
ce système est que la fatigue se rechargeant régulièrement hors-combat, vous pourrez faire appel aux arcanes sans multiplier les repos intempestifs.
Un petit détail sympathique : vous gagnerez de l'XP non à la fin de l'affrontement, mais pour chaque coup réussi. Du coup, vous pourrez
gagner des niveaux durant un affrontement ce qui a des avantages certains.
Comme dans Fallout, Il est également possible de cibler une partie du corps de l’adversaire, mais cette fois uniquement sur trois
endroits et de manière un peu moins évidente à utiliser : on préférera généralement les coups simples mais ça a le mérite d'exister.
Un autre compteur vous sera utile, tout en haut de l'interface sous le symbole de l'infini : il s'agit des points de destin. Ces points
se gagnent en accomplissant un acte majeur, comme une quête importante. Ils peuvent être utilisés à tout moment et auront plusieurs effets au choix : forcer une réaction positive à votre
encontre, retrouver le maximum de points de fatigue, ou faire des réussites critiques dans plusieurs compétences (utile pour voler un objet spécifique sans avoir de talents de
chapardeur).
Mais avant de vous lancer dans ce voyage en dirigeable, vous devrez avoir un personnage. Lorsqu'on aborde un RPG, on se demande souvent
"combien y a t'il de classes ?" : la réponse est ici "zéro" .
Lorsque vous commencerez la partie, vous pourrez choisir un personnage pré-tiré ou créer le votre. En suivant la deuxième option, vous
aurez à déterminer votre nom, sexe, portrait et race : humain, elfe, demi-elfe, nain (pas de naine), orc, demi-orc, demi-ogre ou halfelin.
Vous pouvez également choisir un antécédent optionnel, et là encore il y a du choix : cela va du bandit en passant par l'enfant unique,
et jusqu'à la créature (ou sa fiancé) de Frankenstein. Chacun a ses avantages et ses inconvénients, et certains moduleront de manière drastique le gameplay : un personnage ayant vendu son âme au
diable sera un puissant magicien, mais ne pourra jamais avoir une réputation de saint.
La feuille de personnage proprement dite est particulièrement riche. Pas de carcan strict, de limitations liées au sexe, vous êtes
entièrement libre de vos choix, et c'est là que réside la beauté de ce jeu : vous êtes entièrement libre de faire le personnage de votre choix et d'aborder l'aventure à votre guise. On avait déjà
ça dans les Fallout, mais ici la dimension est poussée encore plus loin.
A chaque niveau, vous recevrez un point à mettre où vous le désirez, deux si le niveau est un multiple de cinq. Vous pourrez aussi bien
monter vos caractéristiques que vos compétences ou vos barres vitales.
Au niveau des stats, nous avons la Force, la Constitution, la Dextérité, la Beauté (influe sur la réaction des gens à votre encontre),
l'Intelligence, la Volonté, la Perception, et le Charisme. Monter un d'eux à 20 vous donnera un bonus particulier. Avoir 20 en Perception vous permettra de voir l'invisible par exemple, et vos
compagnons ne contesteront jamais vos actes avec 20 en charisme.
Pour monter une compétence, vous devrez avoir un score minimum dans l'attribut qui lui est lié : pour les armes à feu, il s'agit de la
perception. Il existe plusieurs compétences d'armes : armes à feu, corps à corps, arcs, arme de jet (qui sert aussi à lancer des explosifs). On trouve aussi les compétences de persuasion, de jeu,
de repérage et désamorçage de pièges et de premiers soins. Vos choix pourront faire évoluer la barre verticale à droite qui est le magietechnomètre. J'y reviendrai plus tard.
Une dernière chose au sujet des compétences : en plus de leur valeurs, il existe des rangs tels qu'apprenti, expert et maître. Ces
rangs vous apportent des effets supplémentaires : un expert en réparation ne pourra jamais abîmer l'élément sur lequel il travaille tandis qu'un maître marchand pourra acquérir des objets que le
vendeur n'aurait jamais voulu vendre.
Devenir apprenti est facile et beaucoup de NPC vous le permettront moyennant finance. L'expertise ne se fera qu'auprès d'une poignée de
personnages et pour la maîtrise, vous devrez impérativement voir une personne spécifique qui vous donnera une quête à accomplir.
Si vous désirez être mage, il vous faudra aller dans la section magie de la feuille de personnage : vous y trouverez 16 branches comme
la nécromancie, le mysticisme ou les invocations, comprenant chacune 5 sortilèges. Ça fait du choix.
L'amateur de technologie quant à lui ira dans la section associée et pourra étudier 8 disciplines comme la mécanique, l'électricité, la
pharmacologie, la chimie, ou l'armurerie. Dans chacune de ces disciplines, vous pourrez acquérir 7 recettes. Au contraire de la magie directement utilisable, les recettes technologiques
(schématiques) demanderont que vous ayez les composants pour les réaliser : vous aurez beau savoir faire un revolver de qualité, vous ne pourrez pas en faire un s'il vous manque un
barillet.
Le jeu vous propose également des schématiques uniquement accessibles auprès des vendeurs voire dans des endroits particuliers. Ces
schématiques feront souvent appel à plusieurs disciplines. Ainsi un heaume de perception demandera des méca-lorgnons (mécanique) et un heaume de vision (forge). De même un fusil à lunette
(armurerie) associé à un bâton tesla (électricité) donnera un fusil tesla dévastateur.
Acquérir des sorts ou développer votre profil technologique fera basculer l'indicateur du magietechnomètre : sous ce nom barbare se
cache un témoin de votre affinité avec l'un des deux domaines. Si vous êtes neutre, vous pourrez utiliser les deux à votre guise. Un pur technologiste par contre ne pourra quasiment pas être
affecté par la magie, y compris les sorts de soins et les objets enchantés. Même chose pour un pur mage qui, lui, verra ses pouvoirs renforcés par rapport à un personnage neutre, mais multipliera
les échecs s'il porte des objets technologiques.
Notez toutefois que ce n'est en aucun cas une contrainte : vous pouvez toujours prendre des disciplines technologiques et maîtriser
certaines arcanes, simplement vous serez moins efficace.
L'écran d'inventaire rappelle un peu Fallout, mais vous aurez, en plus du poids, à gérer l'encombrement de chaque objet. Parmi les
éléments notables, on peut voir sur la droite la somme d'or que vous possédez et les quatre types de munitions : flèches, balles, batteries et carburant (pour les joujoux comme le
lance-flamme).
Lorsque vous disposerez de compagnons, vous pourrez accéder à leur inventaire et vous délester un peu de votre fardeau sur eux. Si vous
leur donnez du meilleur équipement qu'ils n'ont, ils le mettront automatiquement. Rappelez vous que vos personnage aussi auront un alignement magico-technologique : ne vous étonnez pas qu'un mage
soit moins efficace avec une cuirasse à vapeur ou qu'il refuse de la mettre.
Au niveau du poids, vous aurez plusieurs degrés : après une petite charge, l'encombrement sera léger et votre vitesse peu réduite, mais
ça ira progressivement jusqu'à rendre vos déplacements lents voire impossible. De fait lors des explorations importantes, préparez bien votre barda : n'ayez pas peu de stocker dans les coffres de
lieux que vous aurez "nettoyé", ils y resteront. Évitez toutefois les poubelles : si on trouve des choses sympa parfois, leur contenu est régulièrement renouvelé, et ce serait dommage de perdre
cette belle hache pyrotechnique, non ?
Au niveau technique, j'ai été un peu surpris de voir que le jeu n'avait pas trop mal vieilli. Certes, il m'a fallu trouver un patch
d'une centaine de Mo pour faire tourner ma version, mais une fois parvenu, c'est toujours agréable.
Lorsque vous approcherez des limites d'une zone, l’icône de carte en haut à gauche passera au bleu et vous aurez accès à la carte du
monde pour vous déplacer. Au gré de vos déambulations, vous pourrez trouver des endroits inconnus.
Je l'ai déjà dit plusieurs fois et je le redis : le maître mot ici est "liberté". Vous êtes libres d'aller où vous le voulez (bien que
certaines zones soient inaccessibles au début) de faire ce que bon vous semble car les quêtes ont souvent plusieurs façons d'être résolues.
Vous pouvez aussi faire le mal à votre guise. Marre de faire le gentil mage ? Étudiez la science : grâce aux effets admirables du
nécromiseur , vous pourrez faire de votre prochain massacre en ville la première base de votre empire nécromantique en transformant vos victimes (compagnons et péons) en de fidèles zombies
!
Si par contre votre dada c'est le métal, le tank nain équipé d'une armure méca-assistée, d'un heaume de perception et d'un pistolet
longue-portée couplé à un fabuleux bouclier disrupteur de flux pourra mener ses légions d'automates tandis qu'il se fera soigner par sa fidèle médic-arachnide et se gaussera des blessures
! A moins que vous ne préfériez une sulfureuse aventurière dont les charmes sont aussi dangereux que les explosifs et le
tranche-tête volant. Et quand je parlais de compagnons, il y en a de nombreux recrutables (dont un chien) et vous pourrez en
avoir jusqu'à 5, sans compter les automates, invocations et zombies.
Cette liberté ne se fait toutefois pas au détriment de l'histoire qui aura son lot de révélations et d'exploration. Le dénouement
pourra d'ailleurs être abordé de plusieurs manières. Y aboutir vous demandera du temps, ainsi que les quêtes de maîtrise qui se révèlent particulièrement variées (notamment ahum... celle du
maître pickpocket). Il y a même une quête dont le résultat n'est rien moins que de devenir un dieu.
Et ça, ce n'est que la partie officielle. Les développeurs du jeu ont eu la charmante idée de fournir un éditeur d'aventure, permettant
ainsi aux fans de concevoir eux-même leurs aventures et antécédents : on trouve de très bonnes choses sur le web de ce côté-là, ce qui rallonge d'autant plus le plaisir.
J'ai indiqué au début du test "Nombre de joueurs : un à huit joueurs à la sortie, un maintenant". Arcanum comporte par défaut, en plus
de l'aventure officielle, un module appelé "Vormantown" : ce module était en fait jouable en multijoueur via des serveurs spécifiques. Ce module n'était pas d'un grand intérêt et les serveurs ont
fermé depuis, mais ça a existé.
Un dernier mot pour conclure sur l'aspect technique : la musique. Il s'agit en majorité de compositions de quatuor à cordes : 21 pistes
chacune dédiée à un endroit ou une situation. L'ensemble colle merveilleusement à l'ambiance et s'écoute avec plaisir. L'éditeur a même rendu la bande-son publique, vous pouvez donc la
télécharger légalement.
Arcanum est au bilan un jeu assez original par son thème assez peu commun. On y jouera d'abord pour connaitre le fin mot de
l'histoire, on rejouera ensuite à plusieurs reprises pour tester de nouveaux personnages et de nouvelles approches. Pour peu que vous accrochiez au genre steampunk, vous devriez passer un long et
bon moment. Par chance, la réalisation technique, sans être exceptionnelle, ne vient pas plomber l'immersion. Les quelques problèmes techniques que l'on voyait à l'époque semblent avoir disparu
avec les systèmes plus récents et plus stables. Un jeu à découvrir, donc. Moi, je ne compte plus les personnages que j'ai créés dessus depuis sa sortie et j'ai bien envie de reprendre tout
ça.
SUPPOS : 5,5/6
World of Warcraft Warlords of Draenor
Nous sommes au temps d’une Horde ancestrale, forgée dans le fer et non dans le gangresang. L’union d’éminents clans orcs, La Horde de
Fer, conquiert les terres de la planète Draenor à l’aide de terrifiantes machines de guerre. Azeroth sera la suivante sur une liste de mondes innombrables.
Au cœur de cette tourmente, c’est vous qui devrez mener une charge désespérée sur Draenor, le sauvage foyer des orcs et le bastion
d’adoption des stoïques draeneï. Vos alliés seront les légendes du temps jadis, et votre forteresse un poste avancé sur le terrain ennemi.
Prenez la tête des armées d’un monde contre un autre… et empêchez l’avenir d’être modifié.
Le livre sacré du Game Boy à 28,50€ sur Amazon
Disponible il y a quelques jours, la Bible Game Boy (des apôtres Pix'n Love Editions) est déjà en rupture de stock chez le Dieu Amazon mais notée "bientôt disponible". A réserver
d'urgence pour tous les fans du Game Boy qui ont loupé le coche, car ça pourrait faire un beau petit cadeau de Noël pour fêter le divin enfant ;)
Microsoft vers un abandon du jeu vidéo ?!!!
Microsoft se casse la gueule depuis quelques temps, il faut dire qu'ils l'on bien cherché avec Windows 8 RT, les tablettes Surface hors de prix et le clash marketing Xbox
One.... et du coup Steve Ballmer, le patron incompétent, se sauve avec l'oseille ! Mais qui pour le remplacer ? Le challenger n°1 reste Stephen Elop, ex big-boss de Nokia...
et qui selon Bloomberg, pourrait vouloir se débarrasser de la branche Xbox ! Une rumeur qui enfle de plus en plus et qui ferait le bonheur des gros actionnaires.
La division jeux vidéo ne rapporte pas assez de pognon, et Microsoft voudrait se recentrer sur l'aspect logiciel et bureautique, en
proposant même des applications sur support iOS et Android ! Il est certain que si la Xbox One prend un mauvais départ (quasi assuré selon moi) les choses vont rapidement
accélerer... Un repreneur ? Un abandon total de la Xbox One façon Dreamcast ? Les fanboys Xbox peuvent trembler !
Toujours est-il que cela serait un sacré gâchis, Microsoft ayant réussi entre 2001 et 2007 à conquérir le coeur des gamers, avant de péter un câble (merci les actionnaires) en lançant Kinect et
en casualisant le catalogue de jeux pour copier la Wii. Depuis, plus rien, Microsoft a coupé le lien avec les communautés de gamers (je suis bien placé pour le savoir), et ne sort plus de
"killer-ap" sur Xbox 360... Bouquet final cette année avec le "DonMatrickGate".
Une affaire à suivre de prêt, à commencer par les chiffres de vente de Xbox One à Noël... Be afraid.
[RANDOMIZE] La force du tonnerre c'est plus fort que toi !
En 1990 la Megadrive cherche encore son "Killer-ap", le jeu au gameplay imparable et qui exploite à fond les capacités de
la console... C'est alors que débarque Thunder Force III, le nouveau shoot'em up de Techno Soft, pas vraiment attendu après un quelconque Thunderforce 2... Et pourtant
!
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[NERD] Star Wars Episode VII : la date !
C'est l'info du jour : Star Wars Episode VII sortira au cinéma le 18 décembre 2015 ! Si la Terre existe encore d'ici là ?
Alan Horn, le boss de Disney Studios se dit... excité :
"We’re very excited to share the official 2015 release date for Star Wars: Episode VII, where it will not only anchor the popular
holiday filmgoing season but also ensure our extraordinary filmmaking team has the time needed to deliver a sensational picture."
[PS4] L'aventure intérieure
Etonnant, Sony himself qui nous démonte la PS4 pour montrer ce qu'il y a à l'intérieur ! Je ne comprend pas trop ce qu'ils ont voulu prouver... et puis
bon ça lève un mystère, et ce n'est pas terrible à mon sens d'un point de vue marketing.
[SPEEDTESTING] WRC 4 / PSVita
WRC 4
Support : PSVita
Existe également sur X360 et PS3
Editeur : Bigben Interactive
Développeur : Milestone
Sortie : 25 octobre 2013
Speedtesting de 3 heures
On le sait, la licence WRC manque d'ambition et Milestone n'est pas le meilleur studio du monde. Cependant j'avais envie de voir ce que cet opus donnerait sur une PSVita en manque de jeux. Tout a
été amélioré par rapport à WRC3, ce n'était pas difficile : menus, gameplay, contenu, graphismes gagnent en qualité. Mais cela reste un titre de seconde catégorie qui ne propose pas une
simulation poussée ni des textures de grande qualité (on sent bien le grain à l'écran qui rappelle la PSP). Mais c'est assez agréable à jouer, pas trop punitif, pas trop arcade, le tout avec un
framerate moyen mais suffisant. J'utilise la vue capot qui reste ma préférée et désactive toutes les aides pour bien sentir la route. Un défaut un peu pénible : les temps de chargement trop
longs. Trouver la meilleure trajectoire, rester concentré, éviter les accidents pour garder une voiture en bon état, battre les temps mondiaux en live, etc... Je m'éclate bien plus sur ce jeu de
conduite solitaire que sur Wipeout 2048 par exemple.
SUPPOS : 4/6