RETROGAMING : BUFFERS EVOLUTION / WONDERSWAN
Nom : Buffers Evolution
Editeur : Bandai
Année : 1999
Système : Wonderswan N&B
Genre : Plate-forme/Course
Editeur : Bandai
Année : 1999
Système : Wonderswan N&B
Genre : Plate-forme/Course
Lorsque j’ai acheté Buffers Evolution je pensais me retrouver face à un jeu de plate-forme banal. Ce n’est pas tout à fait faux
mais des subtilités le transforme en un intéressant jeu hybride mi-plate-forme, mi-course.
A l'allumage de la console on est accueilli par une petite intro (avec une musique vraiment sympa) qui présente le scénario fabuleux : En gros il faut sauver le monde grâce a des animaux robotisés (!), trop fort...
Arrivé à l’écran titre, on a le choix entre deux types de jeux : enduro ou SS. Le mode enduro n’est autre que le parcours du niveau le plus rapidement possible pour avancer dans le jeu mais aussi pour améliorer ses propres records. Le mode SS, quant à lui, nous demande de réduire en poussière tous les ennemis du niveau le plus vite possible puis d'atteindre la sortie.
Une fois le mode choisi, on doit ensuite sélectionner son personnage parmi les trois existant : le lion, le rhino et l’aigle. Petit point intéressant, chaque animal a un avantage : l’aigle saute plus haut, le rhino est plus résistant… Il faudra donc bien choisir suivant les niveaux et son mode de jeu.
Nous avons ensuite le choix entre deux cases vide (pour l’instant) qui contiendront les nouveaux modules. En effet, durant la partie on peut trouver 10 « items» et 3 modules dash dans chaque niveau. Une fois tout ceci obtenu, on se retrouve avec un nouveau module que l’on pourra fixer à notre animal. Celui ci pourra alors se transformer (de l’avion au poisson en passant par le jet ski…) ce qui permettra bien entendu de pulvériser tout ses records de temps, si ces transformations sont utilisées correctement...
Passons maintenant à la réalisation. Commençons par les graphismes (noir et blanc je le rappelle) qui sont assez fins et agréables, mais les décors sont assez souvent assez vide !
En ce qui concerne la jouabilité, les personnages répondent au doigt et à l’œil. De plus celle ci est simple et efficace : un bouton pour sauter et l’autre pour se transformer (deux pressions pour la deuxième transformation) et bien entendu la croix pour se diriger.
Au niveau de l’animation, rien a dire. Çà ne ralenti à aucun moment (les décors vides y sont peut être pour quelque chose !). Ce n’est malheureusement pas aussi rapide qu’un Sonic ce qui est dommage. Par contre les persos sont un peu trop robotisés a mon goût (on dirait qu’il manque quelques stades d’animations) mais rien de bien méchant.
Les musiques sont quant à elle géniales, bien rythmées et collent parfaitement au genre. Elles sont toutefois un peu répétitives. Les bruitages sont assez succincts mais il faut toutefois noter la présence de voix digits d’assez bonnes facture.
La durée de vie est correcte (18 niveaux enduro et SS). Si on veut obtenir toutes les transformations et obtenir un record potable, elle devient assez conséquente. Par contre le jeu peu lasser à la longue (comme beaucoup de jeux de plate-forme).
C’est donc un bon petit jeu sympa qui change de l’ordinaire et que je vous recommande vivement si vous voulez pas trop vous prendre la tête.
SUPPOS : 4/6
A l'allumage de la console on est accueilli par une petite intro (avec une musique vraiment sympa) qui présente le scénario fabuleux : En gros il faut sauver le monde grâce a des animaux robotisés (!), trop fort...
Arrivé à l’écran titre, on a le choix entre deux types de jeux : enduro ou SS. Le mode enduro n’est autre que le parcours du niveau le plus rapidement possible pour avancer dans le jeu mais aussi pour améliorer ses propres records. Le mode SS, quant à lui, nous demande de réduire en poussière tous les ennemis du niveau le plus vite possible puis d'atteindre la sortie.
Une fois le mode choisi, on doit ensuite sélectionner son personnage parmi les trois existant : le lion, le rhino et l’aigle. Petit point intéressant, chaque animal a un avantage : l’aigle saute plus haut, le rhino est plus résistant… Il faudra donc bien choisir suivant les niveaux et son mode de jeu.
Nous avons ensuite le choix entre deux cases vide (pour l’instant) qui contiendront les nouveaux modules. En effet, durant la partie on peut trouver 10 « items» et 3 modules dash dans chaque niveau. Une fois tout ceci obtenu, on se retrouve avec un nouveau module que l’on pourra fixer à notre animal. Celui ci pourra alors se transformer (de l’avion au poisson en passant par le jet ski…) ce qui permettra bien entendu de pulvériser tout ses records de temps, si ces transformations sont utilisées correctement...
Passons maintenant à la réalisation. Commençons par les graphismes (noir et blanc je le rappelle) qui sont assez fins et agréables, mais les décors sont assez souvent assez vide !
En ce qui concerne la jouabilité, les personnages répondent au doigt et à l’œil. De plus celle ci est simple et efficace : un bouton pour sauter et l’autre pour se transformer (deux pressions pour la deuxième transformation) et bien entendu la croix pour se diriger.
Au niveau de l’animation, rien a dire. Çà ne ralenti à aucun moment (les décors vides y sont peut être pour quelque chose !). Ce n’est malheureusement pas aussi rapide qu’un Sonic ce qui est dommage. Par contre les persos sont un peu trop robotisés a mon goût (on dirait qu’il manque quelques stades d’animations) mais rien de bien méchant.
Les musiques sont quant à elle géniales, bien rythmées et collent parfaitement au genre. Elles sont toutefois un peu répétitives. Les bruitages sont assez succincts mais il faut toutefois noter la présence de voix digits d’assez bonnes facture.
La durée de vie est correcte (18 niveaux enduro et SS). Si on veut obtenir toutes les transformations et obtenir un record potable, elle devient assez conséquente. Par contre le jeu peu lasser à la longue (comme beaucoup de jeux de plate-forme).
C’est donc un bon petit jeu sympa qui change de l’ordinaire et que je vous recommande vivement si vous voulez pas trop vous prendre la tête.
SUPPOS : 4/6